Elles se sont rencontrées dans un café. L'une est timide. L'autre a l'air de l'être aussi.
La première s'appelle Lisa. La seconde s'appelle Donna.
Donna plait beaucoup à Lisa. Elle l'a remarqué. A priori les deux femmes sont hétérosexuelles.
Lisa a invité sa nouvelle amie dans sa maison.
Et là, Donna avance : "Je te plais n'est-ce pas ?"
Lisa n'ose pas démentir. Elle est juste impressionnée par Lisa. Pourquoi ? Elle seule le sait.
Mais Donna a envie d'en profiter : "Ouvre ta chemise que je te regarde."
Lisa a un mouvement de recul. Donna se lève et s'approche : "Fais ce que je viens de te demander".
Lisa est troublée. Elle obéit à Donna et en éprouve un étrange plaisir.
C'est le début d'une histoire dont elle n'imagine pas l'issue.
- Sors tes seins de ton soutien gorge et soulève les de tes mains pour me les présenter.
Donna rit : "Peut-être reviendrais-je te voir."
Elle prend sa veste et s'en va.
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Plusieurs jours passent et Donna a disparu. Elle est partie et n'a pas donné de nouvelles.
Lisa n'a pas de numéro de téléphone pour la joindre, pas d'adresse. Juste un prénom.
Une image, une apparition dans son univers. Elle commence à craindre ne jamais la revoir.
Elle en rêve le jour. Elle en rêve la nuit. Elle ignore que parfois il vaut mieux que les rêves ne se réalisent pas.
Et Donna réapparait à plusieurs jours de là. Elle est telle un rayon de lumière dans la morne vie de Lisa.
Et tel un rayon de lumière, personne ne peut l'attraper.
Lisa se précipite à sa venue : bonjour Donna, tu vas bien ? Tu m'as manqué. Veux-tu que je t'offre un verre ?
As-tu le temps de passer un moment avec moi ?
Donna accepte le verre. Mais elle boira seule. Lisa doit rentrer à la maison et l'attendre. C'est La condition pour que Donna consente à passer un peu plus de temps avec elle.
Lisa fait donc comme en a décidé Donna : elle paie le verre et rentre vite chez elle. Elle l'attend. Une heure. Deux heures. Trois. Elle s'inquiète : Donna viendra t-elle ?
Et Donna arrive. Elle s'offusque : Comment ? Rien n'est prêt pour la recevoir ?
Pas de plateau de fruit sur la table ? Ni de bouquet de fleur ? Pas de repas en train de chauffer dans la cuisine ?
- Je n'ai pas l'impression que tu avais tant que cela envie de me revoir. Tu comptes faire quoi pour me donner envie de rester.
Lisa la regarde, les yeux interrogateurs. Un peu éberluée...
Elle ouvre sa chemise. Elle sort ses seins de son soutien-gorge. Elle les soulève de ses mains pour les lui présenter.
Elle se met à genoux : je t'en prie, reste. Je ferai tout ce que tu voudras.
- Tout ? C'est ce que l'on verra. Pour l'instant lèche mes pompes.
Et Lisa s'éxecute.
" Debout maintenant. Baisse la tête. Baisse les yeux. Tourne toi." Elle lève sa jupe et la maintient retroussée par la ceinture. Elle baisse sa culotte à mi-jambes. "Reste comme ça : tu es bien les seins ballotant à l'air et le cul bien visible. Va me préparer à manger. Et je ne veux pas entendre un seul mot. Si tu es sage, peut-être que la prochaine fois je te gratifierai d'une caresse.
Et maintenant dépêche toi. Je ne veux pas te voir sortir de la cuisine avant d'avoir terminé et de revenir pour me servir.
Lisa obéit et lorsqu'elle revient dans le salon avec son plateau repas Donna est partie.
Elle a laissé sur la table un numéro de téléphone écrit au rouge à lèvres .
(A suivre)
(plusieurs suites possibles à écrire)