Dimanche 31 août 7 31 /08 /Août 08:00

 

 

Toi que j'aime, tu me manques tant. Je t'ai vu passer ce matin et je suis entrée chez toi. Par la fenêtre ouverte. J'ai atteri dans ton salon. Je me suis déshabillée et je t'ai attendu. Nue, j'ai pris un couteau. Je t'aime et je vais te baiser. Je vais te baiser comme j'ai envie que tu me baises.

 

Tu es entré chez toi et je t'attendais. Je me suis glissée derrière ton dos. J'ai posé ma lame sur ton cou. Tu n'as plus bougé. Je t'ai embrassé la nuque. Tu t'es déshabillé. Je t'ai passé des menottes aux poignets. Je t'ai emmené dans la chambre. Sur le lit je t'ai allongé. Je t'ai caressé, embrassé. J'ai fait glisser mon couteau sur ta peau. Je me suis allongée sur toi. J'ai goûté ton corps avec ma bouche. Tu m'as tellement manqué.

 

J'ai glissé ma main sur ton sexe. J'ai caressé tes couilles. Je les ai serrées très fort à te faire mal. Puis j'ai pris ta bite dans ma bouche et je l'ai avalée.

 

Envie de Toi. Envie que tu me baises.

 

Je t'ai giflé. Une fois. Deux. Puis trois.

 

Je veux tes mains. Je veux tes doigts dans ma chatte.

 

Je m'accroupis sur toi : allez, vas-y, fouille moi. Et tu le fais.

 

Oh, tes doigts sur mon sexe, dans mes lèvres. Tes doigts pattes d'insectes. Remuent, palpent, tapottent, pénètrent.

 

Oh, mon cul aussi. Je n'en puis plus : baise moi, baise moi fort.

 

Je me mets sur le ventre. Tu passes sur mon dos. De tes mains menottées tu m'attrapes les cheveux.

 

Et puis ta queue me prend, par le cul. Tu me pénètres fort, brutalement. Je crie.

 

Tu me pénètres encore. Je n'ai plus mal. Alors tu me retournes, tes mains menottées frappent mon visage.

 

Puis tu enfonces ta queue souillée dans ma gorge : « Bouffe ta merde, salope ! »

 

Et tu la fait pénétrer encore plus profond : « « Allez nettoie, sors ta lange ! »

 

J'ai des hauts le coeur.

 

Puis, durement, tu me pinces les têtons. Je crie. Tu pinces plus fort : « Ferme ta gueule »

 

Tu attrapes le couteau et le plantes juste à côté de ma tête.

 

Tu me fais enlever tes menottes.

 

Tu colles mon visage devant ta bite. Tu me pisses dessus. Tu frottes tes couilles sur mon visage.

 

Puis tu me colles la tête au sol, m'ordonne de rester ainsi. Tu attrapes une règle plate, en fer, posée à proximité. Tu me corriges vigoureusement les fesses : « Bouge pas où ce sera pire. » Mais je bouge et tu n'attendais que cela : « Met toi sur le dos. Ecarte tes jambes. Montre ta chatte ». Et c'est là que s'abat la règle. Je crie, me débats.

 

Tu me colle au sol et me fais ramper. Jusqu'au toilettes. La tête dedans, tu tires la chasse.

 

Puis tu m'encules. Puis tu me bas avec ta ceinture. Puis tu m'enfiles le manche de la ventouse dans le cul.

 

Tu me lies, ainsi sur les wc.

 

Puis tu me laisses là, longtemps.

 

Très longtemps.

 

Très très longtemps.

 

Je n'en puis plus. Mon cul est en feu. Je souffre.

 

Je m'endors d'épuisement.

 

Brutalement le pieu est oté de mon cul. Ma fiente dégouline sur mes fesses.

 

J'ai toujours la tête dans les chiottes.

 

J'entends une voix de femme. J'entends une voix d'homme.

 

Une culotte remplie d'orties m'est enfilée. Je supplie.

 

J'entends des rires.

 

Un trou est aménagé dans la culotte.

 

Quelqu'un m'encule

 

 

Je souffre.  

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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