Attention : les histoires de ce blog peuvent comporter des passages violents et choquants.
Malone est entré par l'arrière de la maison. Il a surpris Mercédes dans sa cuisine. Elle ne l'avait pas entendu arriver. Il s'est jeté sur elle. Il lui a arraché ses vêtements. Il l'a dévêtue. Mise nue. Foutue à poil. Malone est excité comme une sale bête. Et puis, il trouve ça très drôle. Et puis, il se sent puissant, ainsi.
Malone est un salopard. Et il bande. Malone veut la baiser. Mais avant il veut l'humilier. Il trouve ça trop bon.
Malone a donc mis à poil cette salope de Mercédés. Salope, oui... car toutes les femmes sont des salopes pour lui... Sinon elles ne seraient pas responsables de tant le faire bander.
Malone a donc chopé Mercédés nue. Il l'a collée contre le mur. Avec son pied il lui a fait écarter les jambes. Puis il lui a ordonné de ne surtout pas bouger, de ne pas émettre un mot, pas un cri.
Il s'est reculé de quelques pas, puis il l'a observée. Il l'a regardé tout en faisant d'horribles commentaires. Il s'est à nouveau approché. Il lui a pincé durement les tétons :
« Chutttt... Et ne bouge pas ! ». Puis il a commencé à la tripoter. Il a touché ses seins. Il a touché sa chatte. Il lui a mis un doigt dans le sexe, puis lui a fait sucer. Puis il a commencé à la lécher : d'abord les deux gros globes de sa poitrine de chienne. Il passe sa langue, largement. Il les prend à pleine bouche. Il les aspire goulument. Puis il remonte vers le visage : les larmes silencieuses de Mercédés ont un goût de sel. Il redescend. Il redescend. Il lui bouffe la chatte. Puis il vient terminer dans la bouche de Mercédés. Il introduit largement et généreusement sa langue.
Il s'arrête. Il recule. Satisfait et souriant, il mate ses pleurs.
Il prend un marqueur. Il écrit « Bonne pute ». Il dit : « C'est bien : tu es une bonne salope qui comprend vite, une bonne chienne prête à se laisser faire n'importe quoi. Salope : tu te laisses faire en plus ! Une femme normale, une femme respectable se défendrait. Mais toi, tu es une vraie merde. »
Il lui crache au visage. Il recommence, deux, trois, cinq fois. Il introduit sa main dans la gorge de Mercédés. Elle dégorge. Il étale avec sa main le liquide gluant sur son visage.
Il est fier de lui. Il exige et Mercédés remercie en ces termes : « Merci Monsieur »
Il recule de quelques pas. Il l'observe en se tripotant la queue.
Il fait mettre Mercédés à genoux et lui urine à la gueule. Cette pétasse ne bronche pas.
Il rit : « Maintenant tu vas boire ma pisse, salope ! Et tu as intérêt à bien tout avaler. »
Il dit cela en lui collant la pointe de son couteau sous la gorge. De l'autre main il lui tient la tête en arrière, par les cheveux. Il met sa bite molle dans sa bouche. Mercédés boit la mixion immonde, mais elle en reçoit plus qu'elle ne peut en avaler. L'urine déborde en flot.
Malone a le regard brillant de colère : « Catin ! Je t'avais ordonné de Tout boire !... »