Dimanche 16 mars 7 16 /03 /Mars 08:00

 

Ils te poussent au milieu d'une autre salle. Tu atterris, bien plus qu'effrayée au centre d'une assemblée. Des personnes, combien ? Habillées. Toutes le visage couvert. Terrifiantes. Hommes et femmes observant ta nudité. Faisant un cercle autour de toi. J'observe. Comme de l'extérieur. Moi, l'instigatrice.

 

Tu es debout, au centre. Sans possibilité de te protéger de leur vue. Leurs yeux sont comme des mains. Tu peux les sentir toucher ta peau. Je le sais. Tu me cherches et je ne ferai pas un geste pour te venir en aide. J'énonce : « Fais ce qu'il te disent. ». Tu ne veux pas. Je le sais. Oseras-tu résister ? Jusqu'où ?

 

Tu tentes de sortir du cercle, mais ils t'en empêchent. Ils n'ont pas encore prononcé de parole. La peur monte en toi. Puis d'un coup ils se mettent à rire. Commencent à s'amuser à te pousser. De l'un à l'autre. De l'une à... Comme un jouet. Une vulgaire balle. Tu te laisses tomber sur le sol pour arrêter ça. L'homme au masque de diable te relève, par les cheveux. Sa voix résonne : « Reste debout ! ». Puis une femme : « Ecarte tes jambes ! ». Tu ne le fais pas. Un rire mauvais éclate : « Elle va apprendre à obéir... ».

 

A quoi penses-tu ? Plus à rien probablement. Déjà... Je ne parviens pas à percer ton esprit. Et tes yeux ne me cherchent plus. Je suis là, pourtant. Tout près. Mauvaise. Tellement. Je n'interviendrais pas. Je pourrais arrêter ça, pourtant. Si je le voulais.

 

Une sangle est passée autour de ton cou, tenue vers le haut. Ce doit être un géant qui te tient. Des mains attrapent tes chevilles, les éloignant l'une de l'autre. Tes bras battent l'air. Pas longtemps. Quelqu'un attrape tes poignets et les maintient serrés dans ton dos. Une femme ôte son masque. Maintenue de la sorte, tu ne peux voir son visage. Mais elle s'avance sous toi. Approche sa bouche de ton sexe. Puis choisis de se reculer. Elle pince tes lèvres entre ses doigts et les tire. Puis tu es penchée. Un ou une autre arrive par derrière. Tu le sens arriver sans en savoir plus. Et d'un coup, une décharge te vrille. Moi je peux voir. C'est un bâton électrique qui t'a été apposé. Une fois. Deux. Trois. Peut-être que c'est moi qui fais ça. Puis des mains empoignent tes fesses. Les écarte à leur tour. Et c'est ton anus qui est visé. Pile contre lui. Deux fois.

 

Bien sur, chaque choc te fait crier et te débattre. Mais que pourrais-tu faire d'autre ? Ceci n'était que pour te montrer. Tu es lâchée. Avec ordre de te tenir à genoux. Puis coude et front au sol. Bien cambrée. L'assemblée rit et s'amuse. Tu pleures. Quelle bande de porcs ! Et moi, que suis-je ?

Cela ne suffit pas. Il faut que tes jambes soient écartées aussi. Brusquement, deux godes emplissent tes orifices, te faisant mal. Du second dépassent des lanières, te faisant une queue d'animal. « Ils vaudrait mieux pour toi qu'ils restent en place et que tu ne les perde pas » sont les mots qui accompagnent cette double pénétration. Un ordre suit : « Met toi à quatre pattes et avance ! »

... M'aimes-tu encore ? Me pardonneras-tu lorsque je viendrais t'embrasser et te consoler ? Lorsque je viendrais te dire combien tu es belle ? Et lorsque je viendrais te dire combien, moi aussi, je t'aime ?

 


Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 08:00

 

Tes vêtements glissent sur le sol. Tu es nue, offerte à ma vue. Alors que nous nous rencontrons pour la première fois. Ta peau, laiteuse. Tes seins, ronds. Je glisse un doigt, juste sur le pourtour gauche de ton sein gauche. Puis, trop vite, trop fort, ma bouche, ma langue te dévorent. Glissant par dessous. Avidement. Cependant que ma main droite agrippe ton sein droit. Le presse, trop fort. Dans un spasme, je te mords et relâche aussitôt. Je t'ai fait mal. Tu as émis un cri. Ton corps se raidit. Je te pousse brusquement contre le mur. Mon regard te transperce. Tu ne sais comment réagir. La porte est juste derrière. Mes mains s'égarent sur toi. Descendent jusque sur ton sexe. S'y glissent d'un coup. Tu n'es pas prête, mais le désir est là, quand même. Ce n'est pourtant pas ainsi que tu avais imaginé la scène. A son tour, ma bouche descend, avide... Et la tienne ne peut réprimer ces quelques mots : « Non, attends, s'il te plait... ». Je m'interromps aussitôt avec une expression mauvaise, suivie d'un sourire semblable. Je sens ton affolement montant, les battements de ton coeur s'accélérant.

 

Je m'écarte de toi. T'ordonne du bras, plus que je ne t'invite à passer dans la pièce à côté. Ma voix t'interrompt alors que tu t'apprête à ramasser ton linge : « Laisse donc ça ici et avance. ». Tu t'approche, tente de m'amadouer des yeux, d'un baiser, d'un sourire angélique, de... : « Allez, j'ai froid, tu sais. Réchauffe-moi de tes bras. » - Dépêche-toi ! Je réplique d'une façon brève n'admettant pas la répartie. Tu te recules d'un pas. Je peux presque sentir cette étrange sensation parcourant ton ventre à cet instant. Tu n'oses discuter plus et passe devant. Ma mains s'égare un instant sur ta croupe rebondie et mes doigts ne peuvent se retenir de glisser plus avant. Ton pas s'accélère pour s'éloigner de moi. Nous sommes maintenant dans le salon.

 

C'est une grande pièce ordinaire. Meublée de canapés en cuir, d'une table basse en bois. Un splendide écran géant orne un mur. Version cinéma. Et plusieurs portes. De l'une d'elle des voix parviennent jusqu'à nous. Je l'ouvre, te demande d'avancer. Ton inquiétude est palpable. Excitante.

 

Et deux hommes vêtus arrivent. Leur visage caché derrière d'horribles masques ridicules. Cela les rend tout de même plus effrayants qu'ils ne le seraient en temps normal. D'où sont-ils sortis ? Qu'importe. Ils t'agrippent chacun par un bras, t'entrainant dans un long couloir. Ton visage se tourne vers moi, m'appelle au secours sans un mot. « Je veux que tu les suive. », parole sans appel. L'aurais-tu refusé que j'ignore comment il t'aurait été possible de leur résister. Mais tu as bien essayé, n'est-ce pas ? Même dans le silence. Comment expliquer autrement tes jambes s'agitant, tes pieds semblant vouloir s'accrocher sur le sol ? Et encore une fois, ton expression implorante se retournant vers moi. Mais c'est de ta faute après tout. Il ne fallait pas. Tu voulais m'appartenir ? Je ferai donc ce qu'impose le désir qui me possède.

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires) - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Dimanche 2 mars 7 02 /03 /Mars 08:00

 

Nous y sommes. Lundi matin, très tôt. Il est cinq heures trente. Il fait encore nuit dehors. Tu sonnes à la porte. As-tu bien observé les environs avant de t'approcher ? La maison est isolée. L'endroit est calme au possible. Le terrain clos, arboré et invisible aux regards extérieurs. La demeure spacieuse. Je t'ouvre. Ce que tu peux être belle tout de même ! Tu me sautes au cou : « Enfin toi. Ce que le temps a pu me sembler long. Si tu savais depuis quand je rêve d'être près de toi. Depuis le tout début en fait. Une éternité pour moi. Je t'aime. J'avais tellement envie que tu me serres dans tes bras. »

 

Oui, moi aussi, je t'aime. Ou je pourrais t'aimer. Si seulement il n'y avait pas toute cette folie entre nous. Si seulement...

 

Je te laisse te serrer un instant contre moi. Je t'embrasse sur le front, te recule et te préviens une dernière fois. Il ne faut pas, je le sens. Je le sais : « Ecoute-moi bien... Si tu rentres, tu ne seras libérée qu'à la date et à l'heure dite. Pas un instant avant. Quoi qu'il arrive. Tu ferais mieux de partir maintenant.» A ces mots, elle réagit immédiatement. Comme à chaque fois, passionnée, impulsive, excessive : « Non, ne me chasse pas ! Je t'en prie. Je t'en supplie. Je veux rester près de toi. Je te fais confiance. » - Tu ne devrais pas. Moi, je crains le pire.

 

Et je la retrouve à genoux à mes pieds. Ce n'est pas vrai, elle l'a fait ! Cette fille est absolument impossible. Mais la raison n'a plus court. Je referme la porte sur le temps extérieur. A partir de maintenant, pour combien compteront les heures ?

 

Que vais-je faire de toi ? Pourquoi vais-je te faire ça ? Tu es splendide. Te voir nue. Maintenant. Tout de suite. Sans attendre. Comment patienter un peu ? Impossible de résister. Et tu es à moi. Et tu l'as voulu. « Déshabille-toi. Immédiatement. » Mon ton n'est pas celui que tu attendais. Non. Du tout. C'est un mélange. Mi-goguenard. Mi-dur. Tu as un mouvement de recul. Tu ne souhaite pas le faire à cet instant, mais tu crains encore que je ne te chasse. Tu n'oses pas refuser. Je sais, pourtant, ta réticence... Si tu as déjà peur qu'est-ce que cela sera, après ? Je savais que je n'étais pas faite pour toi.

 

« Alors, je croyais que j'étais ta reine ? Tu hésites à faire ce que je te demande ? » Parole ironique, destinée à te faire vaciller. Comme s'il en était besoin. « Non, je vais le faire. - Tu baisses les yeux, détourne ton regard. Mais il fait froid ici. Nous pourrions passer de l'autre côté. Nous serions mieux. ». Il me suffit de t'envoyer un regard agacé. Je te contrôle parfaitement. De toutes manières, bientôt, tu n'oseras même plus songer à hésiter. Je te fixe des yeux.

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : blog sexe des amis
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Mercredi 26 février 3 26 /02 /Fév 08:00

 

 

Attachée, les jambes en l'air écartées. Elle ne l'a pas entendu entrer. C'était il y a plus d'une semaine.

 

Jack s'est amené, il a collé les pieds sous la table et a demandé : « Qu'est-ce que tu nous a fait à manger ? »

 

Lise était dans la cuisine, absorbée dans ses pensées. Elle songeait à John qui avait récemment quitté la maison. Lise aimait John, mais John était un fieffé salaud. Après des mois d'une relation ambigüe il était partie. Lise était plutôt soulagée. Elle n'en pouvait plus de cette relation où l'amour avait laissé place à une violence sourde.

 

Et maintenant Jack était là. Mais Lise n'avait jamais vu Jack. Et Lise ignorait jusqu'à son prénom à l'instant où elle le voit pour la première fois.

 

Sa voix résonne : « Qu'est-ce que tu nous a fait à manger ? »

 

C'est à cet instant que Lise remarque la présence de Jack : « Que faites-vous là ? Sortez de chez moi ! »

 

Et lui répond : « Ah ça non ! Et je t'ai demandé ce que tu nous a préparé à manger. D'ailleurs, c'est John qui m'envoie t'apprendre les bonnes manières... »

 

Lise n'a pas le temps de réagir. Elle propulsée en avant et tombe à genoux devant un Jack immense. La bouche de Lise s'ouvre automatiquement pour lui bouffer la queue.

 

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Quelques instants plus tard, nue, elle flotte dans les airs. Des lanières animées de vie apparaissent et lui fouette le corps. Pas un cri ne sort de Lise : sa voix a disparu. Elle tombe au sol, vient en rampant baiser les pieds de Jack. Elle prépare un sandwich, sort une bière du frigo et les apporte à Jack bien installé dans le canapé devant la télévision.

 

Elle va repartir en cuisine mais avant cela Jack d'un regard la fait se mettre debout à Ses côtés. Il lui met un doigt dans la chatte : « Eh, mais tu mouilles petite putain ! ». Il lui fait sucer son doigt et lui colle une calque sur les fesses tandis que Lise s'éloigne pour lui préparer à manger.

 

Cependant Jack s'est mis à l'aise : à poil. Quelques nanas sont apparues pour le détendre. Il les traite courtoisement. Tendresse, mots doux et attentions sont réciproques.

 

Et Lise revient pendant que son repas mijote. Semblant ne pas réagir elle ramasse les affaires de Jack éparpillées partout dans la pièce. Elle ramasse également les affaires des autres femmes, sans broncher. Mais le petit groupe se met à la moquer : « Vient par ici boniche ». Elle pose un regard sur l'une des filles et prend une gifle : « Tu oses me regarder ? Tu te prends pour qui ? Demande pardon. »

 

Jack intervient : « Vous avez vu ses mamelles ? C'est quoi ça ? » Il s'esclaffe : « «Regardez comme ça tombe ! »

 

Une fille : « Eh, on va l'examiner ! ». Elle soulève un sein et voit comme il tombe. Puis fait pareil avec l'autre. Ils ouvrent sa bouche, fouillent son nez, ses oreilles. Ils font passer de petites sondes.

 

Lise doit aller chercher le repas. Un bâton terminé d'une queue de cheval vient lui orner les fesses. Des poids fixés sur sa chatte et ballottant viennent gêner ses mouvements. Mais il lui faut faire avec, vite et bien.

 

 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Lundi 24 février 1 24 /02 /Fév 08:00

 

La tête dans un sac. Les bras attachés dans le dos.

 

Paula entend des voix tout autour d'elle.

 

Paula sent son pull être arraché.

 

Paula sent son soutien-gorge lui être ôté.

 

Paula entend des rires tout autour d'elle.

 

Paula est bousculée, poussée d'avant en arrière.

 

Paula sent ses seins être attapés.

 

Paula sent son pantalon être baissé et sa culotte aussi.

 

Paula a les chevilles entravées par ses vêtements.

 

Paula est mise à genoux, ses bras levés dans le dos.

 

Paula entend un homme lui donner un ordre : « Tu restes là sans bouger ! »

 

Paula dont les bras ont été lâchés relève son torse.

 

Des cordes viennent entourer les mamelles de Paula.

 

Paula, tirée par les seins doit avancer à genoux. Ses bras sont toujours liés dans son dos. Ses chevilles sont toujours entravées par ses vêtements.

 

Puis les bras de Paula sont détachés. Paula reçoit dans ses mains un objet oblong, long et large.

 

Une ouverture est réalisée au niveau de la bouche dans le sac recouvrant la tête de Paula.

 

Paula doit sucer abondamment le sexe de substitution.

 

Paula doit montrer de l'ardeur et combien elle en veut.

 

Ensuite Paula doit, très vite faire entrer cette bite de plastique dans sa chatte.

 

Ensuite elle se le mettra dans le cul.

 

Paula a intérêt à faire cela bien comme il faut, ou bien alors cela signifiera que Paula a envie de se faire sauter par toute l'assistance.

 

- Allez- vas-y salope : montre-nous comme tu aimes ça ! Allez : suce, lèche, bave, donne de grands coups de langue. Mieux que ça !

 

Le gode est poussé dans sa gorge. Elle a un haut le coeur.

 

- C'est rien, continue ! Mouille le correctement pour pouvoir le faire entrer dans ta chatte. Allez, maintenant, met-là dans ton trou. Allez ! Bouge ! Fais le pénétrer ou c'est moi qui le fait.

 

Une main pousse et Paula crie : « Aaaah ! Non ! S'il-vous plait ! »

 

- Ta gueule : fais le correctement ou je m'en charge.

 

Paula n'a pas le temps de réagir qu'un main se saisit de l'objet et le manoeuvre brusquement, labourant son ventre. Puis Paula est mise accroupie : « Maintenant tu t'asseois dessus. Allez, ou c'est moi qui t'empale.

 

Soulevée, manipulée, Paula se retrouve avec la tête coincée entre une paire de cuisses. Des mains maintiennent ses bras dans le dos. D'autres mains écartent ses fesses. Encore d'autres lui tiennent les jambes ouverte.

 

Un meneur, poussant et forçant, lui enfonce l'objet dans le cul. Ensuite lui est passée une sorte de ceinture rigide, passant du sexe entre les fesses et maintenue fermement à la taille. Le gode restera bien en place aussi longtemps qu'ils le désireront.

 

Paula est remise à genoux : « Tu vas tous nous sucer les uns après les autres, bouche à bite. Ensuite, si tu es bien sage on t'enlèvera la bite du cul... Mais à tous les coups, une catin comme toi doit avoir envie de la garder bien profond. Allez, vas-y : suce, lèche, rampe. Montre comme tu aime ça, putain ! Bouge ta chatte et ton cul en même temps. Touche toi.

 

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Paula fait ce qui lui est imposé.

 

Trouveront-ils qu'elle les a suffisamment bien servis pour la libérer ?

 

Que lui feront-ils s'ils estiment son attitude être en dessous de leurs attentes ?

 

 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires) - Communauté : Soumission et appartenance
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