Mercredi 12 février 3 12 /02 /Fév 08:00

 

 

 

Ce soir c'est le grand moment... Je rencontre mon maître. Enfin, un substitut de lui. Un autre. Car depuis que mon seigneur est parti je ne parviens pas à combler l'immense vide qu'il m'a laissé.


Evidement, m'en allant à la rencontre de celui-ci, je sais que l'acabit n'est pas le même. Que le jeu est plus dangereux. Mais en même temps, je suis très attirée.


Il est déjà parvenu à un certain degré de pouvoir sur moi. Même virtuellement. Il me manquerait s'il partait. Je n'ai trouvé personne d'autre avec qui j'aime m'amuser de cette façon pour l'instant. Pourtant il veut trop pour moi. Beaucoup trop. Je le sais.


Cependant, je suis là.


Il m'a demandé de l'attendre dans la chambre. Je suis au milieu de la pièce, droite, immobile, dos à la porte. Je me sens un peu oppressée. Je sais que je l'ai maintes fois provoqué et qu'il déteste ça. Cette fois cela risque d'être plus compliqué...


J'entends la porte s'ouvrir. Il entre. Je ne bouge pas. Je ferme les yeux pour ne pas céder à l'affolement. Il est derrière moi. Je le sens. Ses mains attrapent mes poignets, me les mettent dans le dos... Et je sens des bracelets se refermer dessus. Il a serré un peu fort. J'ouvre d'un coup mes paupières toujours immobile. Expression effarée de mon visage.


Il tourne autour de moi. N'a pas encore prononcé un mot. Je le regarde ou pas ? Je n'ose. Mes yeux s'enfuient sur les côtés de la pièce. Mais qu'est-ce que je fais là ? Il est sûr de lui... Forcément, c'est facile à sa place. Je sens mon tempérament rebelle monter et ai la très nette impression qu'il vaut mieux que je me tienne tranquille. Mais je suis là parce que je l'ai voulu. J'aime cette ambivalence. Pourvu juste qu'il n'abuse pas de la situation.


Seulement, j'ai déjà une petite idée de son caractère. Je me doute bien que si je fais la maligne, je risque fort de le regretter.


D'un coup ses mots claquent : «Regarde-moi. » Mais mon regard fuit, je n'y parviens pas. Il me prend par les cheveux : « Je t'ai déjà demandé de faire ce que je te dis. Cette fois, tu ne te déroberas pas. Sais-tu que tu m'as bien énervé avant même notre rencontre ? » Mon estomac se noue. Ma respiration s'accélère. Je le regarde et il peut lire l'inquiétude dans mes yeux. Assurément il aime ça : « Baisse la tête maintenant. ». Une tape sur mon menton accompagne ces dernières paroles. Je m' éxécute. J'ai un peu peur. Pourquoi est-ce que le désir monte en moi ?


Reprenons : « Qu'es-tu sensée dire pour me saluer? »... « Répond ! » Pas un mot ne sort de ma bouche. « Mais qu'est-ce que tu fais ? Dis-lui » me crie une petite voix dans ma tête. Mais rien à faire, c'est trop dur. Il faut qu'il me laisse du temps. Ce n'est pas dans ses intentions. « Ne me cherche pas... » Je recule doucement. Il me retient par le col : « Alors ? » Enfin ça sort : « Je vous baise les mains, maître. Bonjour. »


A quoi il répond : « Enfin ! Ne me fais plus attendre parce que ça va aller mal. J'ordonne et tu obéïs. J'espère que c'est clair. Tu as compris ? » Dans un souffle je dis : « Oui. » Une gifle tombe. J'ai un regard noir qu'il ne remarque pas : « Oui maître. » Il se radoucit un instant : Voilà qui est mieux... » et reprend aussitôt : « Comment se fait-il que tu ne m'aies pas accueilli comme il se doit ? ». Sans réfléchir je dis : « Mais rien n'était précisé... ». Je prends une autre gifle : « Maître ! Maître ! Tu dis maître ! Et ne répond pas. » Je reprends dans un geste de recul : « Maître. Oui maître. Rien n'était précisé Maître. » Il semble furieux. « Je vous demande pardon Maître. » - Je sens que ça va aller mal ! - Je vous prie de bien vouloir me pardonner Maître. Je me rapetisse sur moi-même. - A genoux ! - Maître... Je vous en prie. Regard dur. Je cède aussitôt. M'agenouille. Je prends ses mains pour les baiser. Il me les retire : « Mes pieds, baise mes pieds maintenant ! » - Maître, je vous en prie... J'ai toujours mes mains attachées dans le dos. Je fais ce qu'il m'ordonne.


Je suis sûre que mon entre-jambes est trempée.


Je me retrouve ainsi, tête au sol, avec pour instruction de ne pas bouger. Mon maître glisse mon pantalon, tout en emportant mon sous-vêtement jusqu'aux chevilles. M'allongeant au passage. De son pied chaussé il écarte mes cuisses, appuie contre mon sexe, le « masturbe », écrase mon fessier.

Puis il s'éloigne. Je n'ose faire un geste. J'attends. Il revient. Passe un collier autour de mon cou. Le relie à une laisse. M'abandonne. Je n'ose me risquer à me déplacer. Le temps passe et je reste là. J'entends ses pas...


Et puis... des voix s'approchent. Un homme et une femme que je ne connais pas, en plus de mon maître. Ils sont près de moi maintenant. Quelqu'un attrape la laisse brusquement pour me redresser : « Debout chienne ! »... Oh non !...


Debout-chienne---Copie.jpg

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 10 février 1 10 /02 /Fév 08:00

 

Et Matt la fouette. Entre cris de douleur et pleurs Julia prononce les paroles : « Merci Monsieur ».

 

Ben muni de gants s'amène. Il a envie de s'amuser. Il montre à Julia : « Regarde ce que j'ai trouvé : de belles orties ! Devine ce que je vais en faire. »

 

Il passe derrière et lui frictionne soigneusement la chatte et le cul.

 

Ensuite, il remonte la culotte de Julia abondamment garnie de ces végétaux piquants et urticants.

 

Arthur annonce : « Nous allons te détacher maintenant. Tu as intérêt à être bien sage. Tu te mets debout, immobile. Tu mets tes mains derrière la tête. Et tu ne bouges pas sans permission. »

 

Ils la « libèrent ». Julia prend position comme Arthur le lui a ordonné.

 

Les trois hommes rient en tournant autour d'elle.

 

L'un d'eux sort un appareil photo et commence à mitrailler.

 

Les deux autres la tripotent et Julia est obligée de se laisser faire.

 

Ils lui lèchent les seins. Ils lui pincent les pointes. Ils la tirent en avant. La poussent en arrière.

 

Ils lui lèchent le visage. La bouche, les yeux. A grands coups de langue.

 

Elle doit ouvrir sa bouche et tirer sa langue pour recevoir la leur. Ils lui crachent au visage. Ils lui crachent dans la bouche. Julia doit avaler. Julia doit remercier. Julia doit laisser les crachats dégouliner sur sa gueule.

 

Elle doit baisser la tête. Ils la font tourner sur elle-même. Ils rient beaucoup : « Tu n'es qu'une merde. Dis-le que tu es une merde. Et Julia obéit.

 

Ils tirent vers le haut sa culotte toujours garnie d'orties.

 

Ils lui mettent des pinces sur les mamelles. Ils la font marcher, bras en l'air, sur la pointe des pieds tout en disant « Je suis une petite merde ».

 

Arthur ne rate pas une photo. Mais cela ne suffit plus.

 

Matt sort un caméscope. Il va filmer.

 

Julia doit sucer une courgette.

 

Julia, dont la culotte est toujours remplie d'orties, doit se frotter sur un tronc d'arbre tombé au sol.

 

Elle doit rester allongée sur ce tronc.

 

Ben vient se planter derrière elle.

 

Il baisse la culotte juste assez pour rendre le trou accessible tout en maintenant les orties à l'intérieur.

 

De ses mains il écarte bien les fesses de Julia. Il vient poser son gland sur son anus. Il pousse et lui pénètre le cul. Il commence à la défoncer.

 

attachee-bras-ds-dos---Copie.jpg

 

Les trois excités rient. Ils poussent des cris de victoire.

 

Julia pleure et pousse des cris de douleurs.

 

L'un n'en perd pas une miette avec la caméra. L'autre avec l'appareil photo.

 

 

 

 

 

Plusieurs suites possibles :

 

1 – Julia ne l'a pas encore remarqué mais sous le tronc sont passés des points d'attache. Ils la maintiennent là par les poignets et les chevilles.

 

2 – Ils la font se diriger à quatre pattes vers le 4/4. Dans le coffre il y une cage. Elle doit y entrer et ils l'emmènent.

 

2a - Julia arrive dans une villa

2b - Julia arrive nue dans la salle d'un bar remplie uniquement d'hommes.

 

 

Amis lecteurs, auriez-vous une préférence ?

 

Entrevoyez-vous d'autres suites ?

 

J'attends vos idées dans les commentaires.

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 10 février 1 10 /02 /Fév 08:00

 

-Visez ces nichons !

 

Ils sont trois hommes et une femme.

 

Ils sont dans une clairière au fond d'un petit bois.

 

Elle l'a rencontré il y a une heure. Elle a fait sa connaissance sur internet.

 

Julia, c'est son prénom, trainait sur les forums.

 

Elle cherchait un partenaire.

 

Elle le voulait grand, beau, fort, gentil et... Dominant.

 

Ils ont longuement discuté.

 

Matt prône le respect des soumises. Ce sont des femmes avant tout, dit-il.

 

Ils se sont rencontré il y a une heure, dans un café.

 

Puis ils sont partis se promener.

 

Ils ont pris la voiture.

 

Ils ont vu un petit chemin, c'est beau et tranquille par là.

 

Ils se sont enfoncés dans les sous-bois.

 

Ils ont marché amoureusement, se tenant par la main.

 

Matt a doucement embrassé Julia. Il lui a caressé la joue.

 

Il lui a caressé les épaules. Il a doucement touché sa poitrine, par dessus ses vêtement.

 

Il l'a appelée « soumise », « Ma soumise ».

 

Il lui a lié les poignets dans le dos.

 

Et deux autres hommes sont arrivés en voiture 4/4.

 

Ils sont descendus du véhicule : « Eh salut Matt ! Contents de te voir. C'est sympa de nous avoir appelés. »

 

- Salut les gars. Je n'allais pas m'amuser sans vous. C'est toujours plus drôle à plusieurs. Regardez un peu la petite pute que j'ai trouvé ! Elle n'attend que de se faire prendre par de bonnes queues. »

 

Matt passe derrière Julia, la prenant par les cheveux il s'approche de Ben et Arthur : « Visez un peu ces nichons ! »

 

Julia pétrifiée ne comprend pas ce qu'il se passe.

Matt arrache son chemisier, découvrant ses seins dans leur soutien-gorge.

 

Julia tente de protester. Il la gifle : « Tu la fermes, soumise ! »

 

Puis il arrache le soutien-gorge. Il palpe ses mamelles.

 

Ben apporte de la corde. Arthur se charge de la glisser entre les poignets de Julia.

 

Ils l'attachent à une branche, bras levés derrière le dos.

 

Matt se saisit d'une longue branche souple.

 

Les trois hommes vont tout de suite dresser cette catin à l'obéissance.

 

Matt commence par lui fouetter les nibards, jusqu'à la faire pleurer et supplier.

 

Puis il lui fait tenir la branche dans la bouche tout en lui ordonnant : « Ne t'avises pas de la lâcher... »

 

A ce moment, Arthur vient lui tripoter les mamelles. Puis il lui attrape les tétons, pince et tire.

 

Cependant, Matt et Ben soulèvent la jupe de Julia. Ils baissent sa culotte.

 

Julia, en larmes, ne lâche pas la baguette.

 

Matt lui met un doigt dans la chatte : « Tu mouilles en plus, sale chienne ! »

 

… Ils ne vont pas la baiser maintenant.

 

Ben trouve un bâton fin et lui enfile dans le cul. Il fait des vas et viens. Julia a mal et peur d'être blessée.

 

Ses peurs supplantent son refus d'être traitée de la sorte. Elles sont bien au dessus de son refus de la situation : non, elle n'a pas acceptée d'être livrée à deux inconnus. Elle ne l'a pas plus accepté de Matt dont elle faisait seulement la connaissance. Mais elle est terrifiée.

 

Elle lâche la baguette pour supplier : « Je vous en prie : pas comme ça, vous allez me blesser ! »

 

- Et alors ? Que crois-tu que nous en ayons à faire, trou à bites ? Tu as lâché la baguette, salope ! Dix coups de ceinture pour la peine. Après chaque tu diras « Merci Monsieur ». Si tu en loupes un je recommence à zéro !

 

garage-a---Copie.jpg

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires) - Communauté : Soumission et appartenance
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 6 février 4 06 /02 /Fév 08:00

Mais Cléa ne pouvait pas tenir la position. C'était trop dur. Après avoir dodeliné. Après qu'il la pousse. Après... Cléa avait envie de caresses. Cléa avait envie qu'il la prenne doucement. Cléa avait envie qu'il la doigte. Cléa était excitée, malgré tout. Cléa avait envie de son sexe dans sa chatte. Doucement et même plus fort, mais là où ça fait du bien. Cléa avait envie de caresses, de baisers...

A quatre pattes sur le lit, elle demande : « Enculez-moi Jack, faites-moi mal. Je suis une sale chienne. Je mérite et j'ai envie que vous fassiez cela ». Et Jack le fait : il lui colle d'un coup sa queue dans son cul. Cléa a mal. Elle pleure et proteste mais il continue. Il met tout son poids sur elle, la bloquant sur le ventre. Il lui défonce l'anus. Cléa se chie dessus. Jack la retourne. Il lui fait nettoyer sa queue avec la bouche. Il la retourne encore. Il l'encule bien profond. Et il éjacule à l'intérieur. Il reste collé sur son dos quelques temps. Puis il se retire : « Sale femelle : je n'oublie pas que je te dois encore une correction pour t'apprendre à obéir. Reste comme ça. »

Cléa ne bouge pas. Elle reste ainsi : les fesses à l'air, jambes écartées en travers du lit défait. L'anus suintant. Envie d'aller aux toilettes pour déféquer et uriner. Elle reste là. Attendant la permission de Jack pour bouger. Jack est à la cuisine. Il fait une pause et se restaure. Il prend tout son temps.

Après une heure passée, il revient voir Cléa : « Eh bien voilà : je crois que tu commences à comprendre. On va continuer, histoire que ça rentre bien dans ton crâne de piaf. »

Attendez : j'ai besoin d'aller aux toilettes...

Ferme-là : tu parleras quand je te le permettrai ! Tiens : bois un peu d'eau, ça va être long.

Il lui colle un bon plug dans l'anus. Il lui lie les poignets et l'entraine. Dans le mur un piquet rond est scellé à l'horizontale. Il asseoit Cléa dessus. Ses pieds ne touchent pas terre. Il prend les poignets de Cléa et les attache à un crochet fixé plus haut : « Voilà, là tu vas apprendre la patiente et l'obéissance. Et je pourrai aussi finir là ta correction en étant assuré que tu ne bougeras pas. Mais ce serait trop facile, n'est-ce pas ? Remercie-moi de si bien m'occuper de toi : 
pute-apprend-l-obeissance---part-2---bis---Copie.png

 - Merci Jack de Vous occuper si bien de moi.

Son envie de caresses et baisers a disparu au profit de douleurs dans le ventre et d'une violente envie de se soulager : « Pitié Jack ! J'ai besoin d'aller aux toilettes. Je Vous en supplie. Libérez-moi juste le temps de faire mes besoins. Pitié !... »

Jack sourit : « Oui, je sais : le plug et le reste font des punitions efficaces. Tu restes là le temps qu'il me plaira. Médite... Je suis sûr que tu réfléchiras un peu la prochaine fois avant même d'oser imaginer Me désobéir pour quoi que ce soit... »

 
Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 4 février 2 04 /02 /Fév 08:00

 

 

Une forêt. Des arbres. Des femmes nues attachées aux troncs.

 

Elles ont été enlevées par des hommes.

 

Elles ont été battues, violées.

 

Leurs vêtements leur ont été confisqués.

 

Et elles restent là, constamment.

 

Elles font leurs besoins sur elles-mêmes et ne sont libérées que pour boire et manger.

 

Elles sont lavées au seau et à la brosse.

 

Ce sont leurs congénères qui s'en chargent, lorsque c'est leur tour.

 

Les hommes les utilisent comme ils le désirent.

 

C'est justement le tour de l'une d'entre elles.

 

Elle n'a plus de nom. Le numéro 6 a été marqué au fer sur sa peau.

 

Numéro 6 est donc détachée. Elle meurt de faim mais elle devra attendre.

 

Elle prend le seau, l'eau savonneuse et se lave.

 

Des hommes la regardent avant de se jeter sur elle.

 

Ils la baisent à tour de rôle. Ils la prennent par les trois trous. A même le sol, sur les feuilles et la boue.

 

Ensuite numéro 6 soit se lever. Elle n'a pas le droit de lever le regard.

 

Tête baissée, au plus vite, elle va nettoyer les autres.

 

Puis elle prend une bouillie préparée. Elle va nourrir les autres.

 

A chacune elle met un entonnoir dans la bouche.

 

A chacune elle verse la dose indiquée.

 

A chacune, de la même façon, elle donne à boire.

 

Lorsque c'est fait, elle se met à quatre pattes sur la croix indiquée au sol.

 

Elle peut maintenant se nourrir de la même bouillie servie aux autres femmes.

 

Elle peut, après que l'un des hommes lui ai maintenu la tête dans la bassine un certain temps.

 

Ce rituel ce reproduisant plusieurs fois.

 

 

Ensuite elle retourne à son tronc, à ses chaines. Elle est de nouveau attachée.

 

Comme prévu elle va subir le fouet. Comme à chaque fois qu'elle est libérée pour servir.

 

fouettee

 

La dureté et le nombre de coups dépendront de l'humeur de son geôlier. Ils dépendront aussi de sa rapidité d'exécution. Il dépendront de si elle a suffisamment baissé la tête. De si elle a su, ou non, plaire en s'humiliant suffisamment. De si elle crie ou si elle sait encaisser. De...

 

Numéro 7 est emmenée. Elle est vêtue d'une robe de mariée. Elle sera la femme de l'un d'entre eux. Elle sera toujours juste un pas derrière lui, à quatre pattes. Elle devra à chaque instant suivre ses pas.

 

Mais pour l'instant elle va subir les épreuves amenant son époux à lui faire l'honneur de l'épouser. Si elle échoue, il lui refusera : elle sera alors remplie par le cul et la chatte, enfermée dans une cage sans pouvoir bouger et abandonnée jusqu'à ce que mort s'en suive.

 

Pour l'instant, il lui faut servir les hommes : d'abord baisée dans la boue, le visage immergé, ne pouvant respirer que par instants. Elle doit très exactement obéir à la moindre de leurs volontés.

Il ne faut surtout pas qu'un seul d'entre eux ait une seule raison de se plaindre d'elle à son futur Epoux. 

 

 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires) - Communauté : Soumission et appartenance
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés