Attention : les histoires de ce blog peuvent comporter des passages violents et choquants.
- De dix tu viens de passer à 20.
- Monsieur, je vous en prie...
- 30. On continue ?
- Non. Punissez-moi Monsieur.
- 50
- Vous avez raison Monsieur. Je suis une misérable. Je mérite la punition que vous voudrez bien me donner. Je suis une chienne, une trainée, une bonne à rien. Je vous demande de bien vouloir me corriger. Merci pour votre grande bonté Monsieur.
- On va pouvoir commencer. Il prend une large et longue règle en bois, d'environ 50 centimètre. Et il commence :
Splatch !... AAAAHHHH ! AAAH !...
Il reprend : "Celui-là compte pour dix. Qu'est-ce qu'on dit ?"
- 10. Merci Monsieur
Puis il continue. Plus doucement, mais plus longuement. La punition va jusqu'à son terme. Sans une pause.
Une fois terminée, il laisse du mou dans la corde. Elsa peut reposer ses pieds sur le sol " Merci Monsieur. Merci beaucoup Monsieur".
Le sol est maculé de merde. Pendant la correction et suite au plug précédemment inséré, Elsa s'est vidée. Elle patauge dedans mais n'ose rien dire.
Il lui ordonne de s'allonger sur le dos et de lever les jambes. Elle s'exécute. Il lui ramène un concombre et elle doit se l'enfoncer. Si elle n'y parvient pas, c'est lui qui le fera. Mieux vaut qu'elle le fasse elle-même. Elle gesticule, se contorsionne, essaie mais n'y arrive pas : "Monsieur, s'il vous plait, dans votre grande bonté, me permettez-vous de me mettre à quatre pattes comme une chienne pour que je puisse m'enfoncer ce concombre dans le cul ?"
- Vas-y, fais le, sale catin prête à tout.
- Merci pour votre grande bonté Monsieur. Elle se met en position, essaie à nouveau, n'y parvient pas plus : "Monsieur, je vous demande pardon. Je vous en prie, puis-je encore changer de position et m'asseoir dessus ?
Combien de fois tu vas changer la consigne de départ ? Fais-le et dépêche-toi : ma patience a des limites.
Elle s'accroupit sur le légume, mais c'est difficile, il est trop large pour elle et sa longueur ne simplifie pas les gestes à faire. Elle abandonne. Elle sait qu'elle sera corrigée pour ça : "Je vous demande pardon Monsieur. Je suis désolée. Je n'y arrive pas. Je ferai tout pour vous. Regardez... Et elle se roule dans la fange, la prend dans ses mains, l'étale sur ses seins, son visage. "Je vous en prie, je ferai tout ce que vous voulez." Elle s'approche en rampant visage au sol et cul en l'air. Prête à lui lécher les pieds et les couilles par dessous ses jambes.
- J'aurais du m'en douter. Vraiment bonne à rien. Faut que je fasse tout moi-même. Et puis, tu es crade, sale truie. Dégage, on réglera ça plus tard. Pour l'instant, tu restes à quatre pattes. Tu vas nettoyer ta merde sur sol, à l'eau chaude. Et tu te passeras à l'eau froide. Tu fais ça nickel et tu respectes mes instructions. Je ne veux pas avoir à te surveiller. Et dépêche toi.
Elsa obéit. Elle part chercher un seau, une brosse, une serpillère. Elle s'interroge : doit-elle enlever ou laisser le reste de chemise salie qu'elle porte toujours sur les épaules ? Et le soutien-gorge ? Si elle décide quoi que ce soit sans permission, il dira qu'elle est en tort. Si elle lui demande, il pourra lui reprocher de le déranger alors qu'il l'avait envoyée travailler.
Aux trois quarts nue, à quatre pattes, sale, fatiguée, battue et humiliée, elle passe devant la porte d'entrée...
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A vous de continuer cette histoire dans les commentaires.