Attention : les histoires de ce blog peuvent comporter des passages violents et choquants.
- Demande pardon sale trainée ! Mieux que ça, tu vas voir ce qu'on fait aux chiennes lubriques pour les calmer. Ah tu aimes te faire baiser, je vais t'en donner !
Il l'attrape, l'attache sur un appareil muni de deux très longs godes. Une sorte de chaise sur laquelle il est impossible de s'asseoir. Un gode est fiché dans son cul et l'autre dans sa chatte. Et la machine commence sa danse. Inlassablement elle monte et descend dans les fondements.
- Pitié, non, ne me laissez pas là-dessus. Je vous en supplie.
- Quoi ? Tu es bien une sale chienne en chaleur qui gémit et crie quand on lui pose un vibro sur la chatte ? Tu aimes ça, non, te faire baiser ? Eh bien là tu vas avoir de quoi te calmer.
- Oui, non, pardon. Vous avez raison. Je vous en supplie. Je vous demande pardon. Je ne le ferai plus.
- Ne promet pas ce que tu ne pourras pas tenir. Tu es une chienne, c'est tout. Tu devrais plutôt me remercier : regarde comme tu en prends plein la chatte et plein le cul. Tu aimes ça, ne dis pas le contraire. Les chiennes comme toi ça n'en a jamais assez. Mais tu vois, comme je suis bon, je vais te libérer. Et tu vas essayer de te faire pardonner. Tu as intérêt à assurer. Cela repoussera d'autant le prochain essai... Je suis certain d'avance qu'une chienne de ton espèce gémira et se trémoussera lorsque tu recevras le vibro. Tu prouveras encore une fois ta perversité et que tu as le vice dans la peau. Mais je vais te laisser un peu de temps.
Il la libère de la machine infernale. Elle sait ce qu'elle doit faire. Elle se colle face contre le sol, rampe jusqu'à ses pieds pour les lécher soigneusement, avec application et empressement. Elle remonte entre ses jambes pour lui lécher les couilles, avant de les lui aspirer toutes les deux dans sa bouche. Puis elle pompe sa queue. Fait des vas et viens rapides et profonds. Va jusqu'au fond de sa gorge. Lui suce le gland. Pompe. Aspire. Repend la queue bien au fond de sa gorge. Tout ça en affirmant entre deux gestes :
- Oui, vous avez raison. Je suis une salope. Je suis une chienne. J'aime la baise. Je ne peux pas m'en passer. Oh, comme votre queue est bonne Monsieur. Comme votre queue est longue Monsieur. Comme j'aime votre queue Monsieur. Vous avez raison Monsieur, je suis une misérable. Je suis un vide couille Monsieur. Une trois trous. Vous pouvez faire de moi ce qui vous plait Monsieur. C'est ce que je mérite. J'espère que vous me ferez l'honneur de me baiser Monsieur. J'ai très envie de vous Monsieur.
Et ses mains ne sont pas en reste, elles s'occupent alternativement de la bite de Monsieur, de ses couilles, et de son trou du cul qu'elle pénètre comme il aime qu'elle le fasse. Un doigt, deux doigts, ce qu'elle peut, mais elle ne doit pas lui faire mal. Elle lèche ses doigts, les mouille abondamment si cela ne rentre pas bien. Le remet dans son anus, puis dans sa bouche. Jusqu'à ce qu'il crache. Mais Monsieur ne jouit pas. C'est de la faute de Chiennasse. Elle aime se faire baiser. Mais elle ne sait pas donner du plaisir. Une sale putain égoïste qu'elle est. Qui ne pense qu'à Elle. Qui aime se faire baiser mais qui ne fait rien correctement pour Lui.
Comme d'habitude elle n'a pas su le faire cracher. Il la repousse au sol et s'éloigne. Elle le suit en rampant, léchant le sol derrière ses pas.
Il s'asseoit dans le canapé. Elle attend ses instructions : Dégage, va faire à manger, nous avons des invités tout à l'heure.
Elle s'éloigne à quatre pattes.