Dimanche 17 août 7 17 /08 /Août 08:00

-  Nous avions rendez-vous et tu es en retard.

 

Pensée silencieuse : Nous n'avions pas rendez-vous et je ne te connais même pas. Qu'est-ce que je fais là ? 

 

- Met toi en position, là, les bras sur le bureau pour recevoir ta correction. Soulève ta jupe. Baisse ta culotte. Et cambre-toi.

 

Pensée silencieuse : Et puis quoi encore ? 

 

Mais deux mains puissantes, invisibles, me saisissent par les bras. Et je me retrouve le torse collé sur le bureau. 

 

Une voix tonitruante répète l'ordre. Il n'y a personne pourtant. 

 

J'ai peur. J'obéis. Des éclats de rire fusent. Je sens des dizaines de doigts sur mes fesses, entre mes cuisses. Ils tapotent, fouillent, écartent mon intimité.

 

Puis, l'instant d'après, plus rien. 

 

- Tu vas recevoir ta correction pour m'avoir fait attendre.

 

Pensée silencieuse : Je n'ai fait attendre personne. Qu'est-ce que c'est que ce délire ? 

 

Et les coups pleuvent sur les fesses : "Non ! Ahhh ! S'il-vous-plait !"

 

La voix gronde : Silence !

 

Les coups s'arrêtent. 

 

Apparaît devant moi un tabouret. 

 

Sur le tabouret, un gode. 

 

- Maintenant tu t'asseois là-dessus. Et tu te l'enfiles dans le cul. Plus tu seras longue et plus la suite de ta correction sera terrible. Suce le avant. Bouffe le correctement. Et met y du coeur. Nous te regardons et jugerons ta performance. Action !

 

Une foule de visage agressifs apparaissent. Ils observent. Pas le temps de penser. Obéir ? Ne pas obéir ? Fuir ? Comment ?

 

Peur. 

 

- C'est trop long ! Tu devrais déjà être en train de bouffer le gode. Il devrait être trempé de ta bave. Punition ! Position ! Tu as le choix : ou tu restes bien gentiment sans bouger pour encaisser, ou ce sera multiplié d'autant. Tu n'est pas encore en position ? Bien ! Les dix premiers sont gratuits. 

 

Et surgi  de je ne sais où, un fouet commence son oeuvre. Je me mets à quatre patte. Je pose la tête au sol pour lever mon cul. Je me cambre. J'écarte mes cuisses. 

 

- Bien ! Nous allons pouvoir commencer. Dix. Et tu comptes. 

 

- Ahhh ! Un. Deux... Trois... C'est trop dur. Je quitte ma position pour me recroqueviller. 

 

- On recommence ! Vingt. Et tu comptes. 

 

Tenir. Ne pas bouger. Tenir. Ne pas bouger. Tenir. Ne pas bouger. Pleurs. 

 

Puis de nouveau le tabouret. Me précipiter. Le bouffer consciencieusement. Le lécher, saliver. Vite. Bien. Au fond de ma gorge. Baver. Devant ces visages spectraux. Qui apparaissent. Qui disparaissent. Qui rient. Qui bavent. Qui me touchent le cul. Qui me touchent les seins. M'empaler sur le gode. Ne pas y arriver. Essayer encore. Frénétiquement. Comme si j'en mourrais d'envie. Et ces doigts qui me palpent. Longs. Fins. Véritables cordes vivantes glissant sur mon corps. Entourant mes cuisses tels des serpents rampants. Enserrant mes seins. Fouillant ma chatte. 

 

 

(A suivre)

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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