Dimanche 20 avril 7 20 /04 /Avr 08:00

Il prend une baguette. Revient :

 

- Tends les mains. Tout de suite ! Elle obtempère. Pan, sur les doigts ! - Ahhh !

- Alors ? demande t-il, je n'ai rien entendu ! 

 - Merci Monsieur. 

- Je crois que j'ai mal entendu... 

- Un. Merci Monsieur. 

- C'est mieux. A la prochaine erreur de ce genre je te corrige. 

 

Pan, sur les doigts ! 

- Ahhh !... Deux. Merci Monsieur. 

- C'était "Un".

 

Regard douloureux d'Elsa : "Pardon Monsieur. Non ! S'il vous plait !"

 

- Tu comptes me dire ce que je dois faire ? 

- Non. Pardon Monsieur. S'il vous plait Monsieur... 

- D'abord on dit : "Je vous demande pardon"...

- Pardon. Je vous demande pardon, s'il vous plait. 

- C'est mieux. On verra ça plus tard. Tu vas apprendre à parler correctement. Pour l'instant, tu te remets bien droite, les bras le long du corps. Tu lèves la tête. Sans bouger. 

 

Il prend sa baguette. Un coup sur le sein droit. Un coup sur le sein gauche. Il passe la baguette sous les globes pour les soulever et les faire retomber. Un. Puis l'autre. Les deux en même temps. Puis, il l'aiguillonne, utilisant l'objet pour donner de légers coups, tel une aiguille. Sur les seins, les bras, le ventre. - Tourne -toi ! Même chose sur les épaules, le dos, les reins, les fesses sur lesquelles il s'attarde un peu plus. -Tourne toi encore. Il continue. Un peu plus fort. Il devient difficile pour Elsa de ne pas bouger. Elle est littéralement poussée par la baguette. Puis, c'est avec ses mains qu'il la pousse : Devant, derrière, sur le côté gauche, sur le coté droit. Cela dure quelques instants. Puis s'arrête. 

 

Il lui ordonne alors de se mettre à genoux, le cul en l'air, la tête au sol, les jambes écartées. Elle doit ôter son pantalon pour ouvrir ses cuisses au maximum.

 

-Ecarte ta raie avec tes mains. Il la touche : "En plus tu es mouillée. Tu es vraiment une sale trainée !

 

Il approche son visage, sa bouche et lui bouffe vigoureusement le cul et la chatte. Tu bouge pas ! Il va pour l'enculer mais son anus résiste et Elsa se dégage : "Ok, bien, si tu le prends comme ça on va faire autrement. Il l'attrape par le bras, l'entraine dans la chambre, trouve un collier et lui passe au cou. Il passe une corde dans l'anneau. La ramène au salon et veut passer la corde dans l'anneau fixé au plafond. Elsa tente de s'échapper. Alors il change de méthode. Il la plaque sur le sol, face contre terre. Il s'asseoit sur son dos. La fesse vigoureusement. Ne s'arrête que lorsqu'elle est en larmes. Il la retourne. Il lui plante sa queue dans la gorge à la faire suffoquer. Et la maintient ainsi. Il se retire à l'instant où Elsa va vomir. Elle se couvre le menton et la poitrine d'un flot de bave. Il en ramasse une grosse partie avec sa main et l'essuie sur le visage d'Elsa et sa chevelure : -Alors catin, qui c'est le Maître ici ? 

 

- C'est vous Monsieur. 

- Et toi tu n'es qu'une merde. C'est compris ? Dis-le. 

- Oui Monsieur. Je suis une merde Monsieur. 

- Et en plus tu aimes ça. Remercie-moi de m'occuper de toi. 

- Oui Monsieur. Merci Monsieur. 

 

 

Il la gifle.

 

(A suivre) 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 13 avril 7 13 /04 /Avr 08:00

Il la laisse là, debout au milieu du salon. Elle a l'ordre de ne pas bouger. Il arrache son chemisier. Elle trésaille. Il sort ses deux seins des bonnets du soutien-gorge, sans le lui enlever. Elle est là, chemise ouverte et seins à l'air. Il lui pince un téton, elle veut se défendre. Il l'attrape par les cheveux. La colle face contre mur. Il ouvre le pantalon d'Elsa. Le baisse juste au dessous des fesses , attrape une règle se trouvant à proximité et lui claque le cul avec ."Vas-y, plus tu bouges pire ce sera" lui dit-il. Elle s'immobilise. Il lui porte deux coups supplémentaires.

 

-  Maintenant, tu mets les mains sur la tête. Je vais te donner cinq coups de règles sur ton cul de salope. A chacun tu diras "Merci Monsieur". Si tu en loupes un, ou si tu bouges, je recommence au début. C'est clair ? 

 

- Oui...

 

Il lui porte un coup cinglant. Elle crie. Celui-là ne compte pas. Alors ?... Un autre coup tombe. - Ahhhh !... Oui, Monsieur ! 

 

- Eh bien tu vois, tu comprends quand tu veux ma salope. Il donne un coup de langue sur sa joue. On commence. 

 

Premier coup de règle sur le cul : - Merci Monsieur. 

 

- En fait, celui-ci ne compte pas non plus. Je veux t'entendre compter. On recommence. 

 

Vlan ! - Un. Merci Monsieur. 

Vlan ! - Deux. Merci Monsieur... S'il vous plait... 

La ferme ! Vlan - Trois. Merci Monsieur. 

Vlan ! - Ah ! Quatre. Merci Monsieur, dit-elle la voix tremblante. 

Vlan ! - Cinq. Merci Monsieur. 

 

- Voilà ! J'espère ne pas être obligé de recommencer. Il descend le pantalon et la culotte d'Elsa un peu au dessus de ses genoux. Maintenant tu bouges ton cul et tu te mets au milieu de la pièce. Il lui colle une claque sur le sommet du crâne. - Tu gardes la tête baissée et les mains dessus. 

 

Toujours les seins à l'air, sortis de son soutien-gorge, elle obéit. Entravée par son pantalon, à pas courts, elle rejoint la place indiquée. 

 

Et il la mate. Et elle le sait. Ses bras souffrent. Elle peine. Il doit le voir mais ne lui donne pas la permission de les baisser. Combien de temps tiendra t-elle ? 

 

Il s'approche derrière elle. Tourne autour. La frôle. Lui pince à nouveau le téton. Tire vers le bas. Elle étouffe un cri, suit la main faisant baisser le haut de son corps, sans tenter de se défendre. Il la maintient ainsi un instant, en riant. Puis il la lâche et la redresse. - C'est bien : trois petits coups de règles et je fais ce que je veux de toi. Une vraie chienne. Je suis sûr que tu aimes ça en plus, sale pute. 

 

Il tourne à nouveau autour d'elle. Caresse ses seins en passant. La frôlant à peine. 

 

Elle commence sérieusement à fatiguer, les mains toujours au dessus de la tête. Elle a tendance à se courber. Il la redresse, prenant sa tête par les cheveux. Lui donne un grand coup de langue sur le visage. Passe derrière elle. Touche à nouveau ses seins. Puis les empoigne pour la serrer contre lui. Elle crie. 

 

- Tu peux baisser les bras. Mets les mains le long de tes cuisses. Ne bouge pas. 

 

Il effleure ses fesses. Son sexe. Aventure un peu ses mains, ses doigts, vers l'intimité. Il s'abaisse. La renifle. Puis s'éloigne un instant... 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 08:00



Je rampe dans le noir. Je te cherche. Crie et hurle. Tu ne m'entends pas. Ne me réponds pas. Tu es si loin. Que puis-je donc faire à ça ?


Regarde-moi. Mon corps est à toi. Mon âme est à toi. Ma vie t'appartient. Sans toi je meurs.


Je regarde autour et ne trouve rien d'autre que ce néant éternel. Je me relève. Avance. Retombe.


Je ne suis rien sans toi. Ridicule. J'ai beau essayer, je ne parviens à aucun résultat.


Regarde, je t'offre le tout. Prend-le. Mais prend-le donc. Que vais-je devenir ?


Tu es mon Dieu et je suis ta création. Comment puis-je encore continuer ?


J'essaie pourtant; Je fais de mon mieux. Et je retombe chaque fois dans des errances sans fin.


Pourquoi m'as-tu donc porté à la vie pour ensuite m'abandonner ainsi ? Je t'aime. Je meurs.




Je n'offre ma bouche qu'à toi. Mes meilleurs mots t'appartiennent. Mon humour disparaît dans le néant, privé de ta présence. Mes lèvres sont à toi. Ma peau. Mon sexe... Ces milliers de choses que je ne t'ai pas avoué. Comment l'aurais-je pu ? Pourquoi ne l'ai-je pas fait ? Le temps des regrets est dépassé. Je ne m'attendais pas à ce que tu disparaisses ainsi, si brutalement.


Comment pourrais-je réparer ? Si seulement... Mais tu es trop loin à présent. Hors de portée de mes supplications. Et tellement éloigné pour toutes mes armes et sortilèges.


Mes baisers ne goûtent que toi. Mon corps n'aspire qu'à ta peau. Ne se soulève que pour tendre vers le tien... bien que je ne puisse fournir d'érection. Pénètre-moi. Ton esprit me possède déjà entièrement. Emplis-moi comme tu ne l'as pas encore fait. Comme ça et puis autrement. De toutes les manières qu'il te plaira. Abuse-moi. Encore et encore. Je ne demande qu'une place près de toi. Celle que tu voudras bien me laisser.


Oui, si tu veux. Tout ce que tu veux. Je m'enchaine à toi. Me déchaine si tu le désires. Je goûte, avale. Ça... Et puis même... « Non, s'il te plait. » Je le ferai pourtant, si tu le souhaites. Avec toi, avec d'autres, pour toi. Je t'en prie, garde-moi.


Mais tu n'es plus là.

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 08:00

 

J'ai faim. M'en vais manger. Prenant tout mon temps. Rien ne presse n'est-ce pas ?

 

Attendant mon repas, je songe. A toi, A Lui. Est-ce que je te fais payer pour mes rêves brisés ? Pour l'amour qui n'existe pas ? Pour tous ces hommes qui ne songent qu'à eux ? Pour la vie refusant encore, toujours, de tourner telle que je le voudrais ? Est-ce que je deviens un monstre ?

 

Mais tu l'as voulu n'est-ce pas ? Le regretteras-tu ? En es-tu déjà là ? Je n'ai pas l'intention d'écouter ta voix, de toutes façons. Je veux me servir de toi, à présent. Autant que possible. Jusqu'à l'extrême limite. Te prendre tout ce qu'il te sera possible de me donner. Mais comment vais-je agir pour t'utiliser ainsi, sans que jamais tu ne t'enfuies ? Comment te faire perdre toute idée de résistance, pour qu'à jamais tu n'appartiennes plus qu'à moi ?

 

Je ne vais pas jouer stratégie, j'en suis incapable. Je vais faire ce que me diront mon sang et le tien. Agir comme je le sens. Je verrai bien ce qu'il adviendra.

 

J'ai mangé. Quoi donc ? Je ne le sais déjà plus. J'ai avalé mon repas mécaniquement. Il était bon pourtant. J'agis en robot décervelé et je prends plaisir à l'idée des maux que je vais te faire subir. Même si j'ignore encore en quoi il vont consister exactement. Mais ce n'est pas grave, je vais trouver. Et toi, tu vas apprendre à te rendre utile. Très utile. Je ne veux plus avoir à me soucier de rien et tu vas m'y aider. Probablement que j'ai tort. Certainement un jour le regretterai-je. Mais pour l'instant je vais jouir de toi et tu vas me simplifier l'existence. Je te le conseille, en tous cas.

 

Je n'ai plus d'appétit. Je prendrais un dessert plus tard. Je vais te rejoindre. J'ouvre la porte. L'objet est au sol et tu as changé de position. Je referme la porte en la claquant. Tu sursautes. Je ne m'attendais pas à te trouver tel que je t'avais laissé. En réalité, je suis satisfaite. Voici le prétexte dont je n'avais même pas besoin : « Avant de partir, je t'avais ordonné de ne pas bouger. Et cet objet, cela fait déjà deux fois que tu le lâches ! Je ne suis pas contente du tout. » Je n'ai guère besoin de te menacer plus, tu pleurniches : « Je vous en prie, je ne l'ai pas fait exprès. Et je n'en pouvais plus de rester ainsi ». Joignant le geste à la parole, tu te remets à genoux, étirant ton dos, ton postérieur du mieux possible. Baissant la tête, tentant vainement de reprendre de toi-même l'objet du délit. Tu es ridicule et je suis affreuse.

 

Comment réagirai-je face à un autre homme ? Un qui me résisterait, m'affronterait, me cognerait de sa voix à défaut d'avoir la possibilité de me foudroyer de son regard. Je le sais bien. Je me jetterai à ses pieds, demandant pardon. Très probablement je le libérerai, terrorisée et cherchant le meilleur moyen de pouvoir m'en sortir le mieux possible. Mais tu n'agis pas ainsi et ton attitude exacerbe ce que j'ai de plus laid et vulgaire. Vais-je te haïr pour ça ?

 



Par XXX - Publié dans : Soumission masculine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 08:00

 

 

Je te tiens. Je peux faire absolument tout ce que je veux, à présent. Quand bien même voudrais-tu t'enfuir.


Regarde-toi. Tu as l'air fin à présent. Tes poignets menottés au pied du lit. Tes mains fondues avec la barre, disparaissant sous l'adhésif. Ton visage invisible sous cette cagoule intégrale de latex noire. Fermée à la vue. Etouffant ta voix.


Je t'ai interdit de prononcer la moindre parole, de toutes façons. T'y risquerais-tu ?


Tu es à genoux. Maillot sur les épaules. Pantalon et slip baissé aux chevilles. Je ne dis mot. M'approche de toi. Ecarte tes jambes de mon pied. Plus encore. Je te regarde. T'observe. Je baisse ta tête appuyant fortement dessus avec ma paume.


Tu n'es plus rien. Juste mon jouet pour le temps que je désirerais. Je te touche l'épaule avec ma baguette. Sans une parole. Je la glisse le long de ton dos. L'insinue entre tes fesses. Puis je passe devant, contre tes bourses. Ton sexe par lui même est à l'abri, dans sa cage. Tu ne banderas plus. Pas tant que je ne te le permettrais pas.


Un coup claque entre tes jambes, à l'endroit sensible. Ton corps se raidit, s'étire, absorbant le choc. Ce n'est que le premier. Puis plusieurs tombents sur tes fesses. Plus accessible, mais moins drôle. Ta peau rougit. Tu te recroquevilles contre le lit. Il ne fallait pas.



Mes premières paroles : « Reprend ta place. A genoux, jambes écartées ! Dépèche-toi ! » Tu n'as pas l'habitude. Je ferai comme si. Et cela me plait. Après une résistance, une hésitation de crainte, tu te remets en position. J'attaque alors les parties tendres. Ton corps tente de se replier, mais tel que tu es placé il n'y parvient pas. « Je te déconseille fortement de bouger. » Ta voix, tes plaintes percent le latex : « Silence ! » et un coup plus violent s'abat. Toujours au même endroit. Cri. J'en jouis.


Ma baguette te carresse. Devant, derrière. Menaçante. Quelque chose me dit que si la cagoule ne masquait pas ton visage, je te verrais couvert de larmes. Quelle sensation cela fait-il sur ta peau couverte, ne pouvant t'essuyer, ni s'écouler librement ?


Je libère ta bouche un instant et un flot de demandes s'écoule. Je ne veux pas les entendre. Je les interrompts d'un objet long et volumineux, t'étouffant presque. Te donnant la nausée. Je le sais. « Ne le lache pas où tu vas le regretter. »


J'enlève ta cagoule. Je veux te prendre en photos. « Baisse les yeux. Ne me regarde pas. Jamais. ». De jolis clichés. En noir et blanc je vais les tirer. C'est plus joli. Des preuves de ta soumission, de ton humiliation, que je pourrais diffuser s'il m'en vient l'envie. Tu es à moi. Tu m'appartiens. Autant que je le voudrais. Je masque à nouveau ton visage. Je ne veux pas te voir.


Tu commences à avoir de sérieuses difficultés à conserver en bouche l'objet que j'y ai mis. Je le sais.

Combien de temps tiendras-tu encore ? Je te fais éloigner tes genoux du lit afin que tu te retrouves penché. J'appuie entre tes épaules pour que ton buste s'abaisse vers le sol. La position est difficile ? Tant mieux. Ton pantalon et ton slip trainent toujours à tes chevilles : « Débrouille-toi pour m'enlever ça. ». Tu fais comme tu peux et parviens à les ôter. Tu es ridicule !


Je fixe une barre d'écartellement entre tes genoux et commence à les éloigner l'un de l'autre. Au plus possible. Je reprends ma baguette et tape bien droit entre tes fesses. Quelques coups suffisent et tu n'y tiens plus : l'objets que tu gardais en bouche tombe sur le sol. Je jubile : « qui t'a permis de le lacher ? ». Tu bredouilles des excuses. Demandes pardon. Je feins de ne pouvoir tolérer une telle désobeïssance. Je te le remets, poussant dans ta gorge. Tu hocquettes. Tu n'as pas intérer à vomir. Je fais plusieurs va et viens à fond. Puis te le laisse normalement en bouche : « J'en ai assez. Je vais faire un tour. Ne bouge pas. »


Je sors, fermant la porte à clef derrière moi.




Par XXX - Publié dans : Soumission masculine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés