Soumission masculine

Dimanche 30 novembre 7 30 /11 /Nov 14:27

 

 

Soumis, pauvre petite merde que tu es... Tu ne vaux rien. Tu ne pense qu'à toi et à ton petit plaisir de merde. 

 

Je te hais. Et je me déteste. 

 

Soumis, tu ne l'es en rien. 

 

Viens donc par ici, que je te baise. 

 

Soumis de merde. Que penses-tu donc que j'aie à faire de ton trou de balle, de tes couilles, de ta bite. 

 

Tu es laid jusqu'au fondement. Et moi aussi. 

 

Dégoût. Ecoeurement. Perdue. Et néanmoins là. 

 

Je vais te baiser jusqu'à la moëlle. 

 

Vois cette cage : elle est pour toi. 

 

Tu rêves que je te voie à poil... Et puis quoi encore ? 

 

Entre dans cette cage... nous allons rire. 

 

Tu vois ce plug ? Tu le veux dans ton cul, n'est-ce pas ? 

 

Prend le dans ta bouche. Et garde le, jusqu'à ce que je te permette de le lâcher... 

 

Mais la permission ne viendra jamais. Tu fauteras, obligatoirement. 

 

Pauvre merde. Je te hais parce que tu veux m'utiliser, tout en prétendant m'être soumis. 

 

Salopard. Qui je suis, ce que je veux, tu t'en branles. Mes peines, mes joies, mes difficultés, idem. 

 

Seul ton désir compte. Soumis prédateur de merde. Et moi je reste là, quand même. 

 

Pauvre type. Tu n'as pas intérêt à lâcher ce plug qui est dans ta bouche. 

 

La cage est juste à ta taille. Tu y tiens, vêtu, à quatre pattes. Tu ne peux bouger, te relever ou t'asseoir. 

 

La punition va être rude. J'ajoute une barre, posée sous tes genoux. 

 

Je n'ai plus qu'à te laisser mijoter, à petit feu. 

 

Bientôt tu laisses tomber le plug de ta bouche. La punition sera terrible. 

 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission masculine - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 27 juillet 7 27 /07 /Juil 08:00

Samedi d'un mois de décembre, en une fin d’après midi pluvieuse. La nuit tombe et l'humidité me

glace les os. J'attends... J'attends à l'endroit convenu par Madame. J'attends son appel. Les minutes

s’égrainent lentement, trop lentement... Curieuse sensation, fruit de ma terrible excitation, puisque

le temps s'écoule invariablement et imperturbablement. Ce soir, après plusieurs rencontres

publiques, ma Maitresse m'a enfin donné enfin l'occasion de la voir chez elle.

J'attends donc son appel, avec ce collier de chien qui me gène le cou et que je tente de cacher à la

vue des passants que je croise sur le trottoir. Mais les ordres de Madame étaient parfaitement

limpides et m'astreignaient à porter cette entrave à mon arrivée, gage de ma soumission et de son

emprise sur moi.

Il y a déjà quelques semaines, Madame m'avait donné rendez-vous au JARDILAND de la ville. Je

l'attendais alors devant l'entée du magasin. Toujours être en avance pour l'attendre, cela était un

impératif qu'elle imposait pour chacune de nos rencontres. De toute façon, je n'imaginais pas la faire

patienter !

Nous voilà en train de déambuler dans les rayons au gré de ses envies. Mon esprit vagabondait et se

demandait bien ce qui allait arriver. Sans coup férir, nous nous retrouvons dans la partie du magasin

consacrée aux accessoires pour animaux. Un vendeur est là ; Maitresse va sa rencontre :

« Monsieur, bonjour, je cherche un collier et une laisse pour mon chien » dit-elle en jetant un regard

vers moi, le sourire en coin.

« Il me faut un collier bien large et bien épais avec une laisse solide ! C'est pour un chien qui doit

être dressé ! »

Le vendeur, interloqué la regard et lui dit que, au fond du rayon, elle trouvera son bonheur.

Je comprends donc la mise en scène d'aujourd'hui. Mon excitation est alors sa comble et produit sur

moi une belle érection rendue peu discrète par l’absence de sous-vêtement qu'elle m'oblige.

Il pleut toujours, une pluie fine peu agréable. Me remémorer cet épisode m'aide à patienter et

renforce mon excitation. Mon entrejambe s'en ressent...

Cet épisode m'en rappelle un autre, survenu il y a quelques mois.

Ce jour là, Maitresse m'avait convoqué pour faire le taxi sur la journée. Bien que je sache que je

devrais supporter de longues et épuisantes heures d'attentes, j'y goute un plaisir certain dans la

satisfaction des besoins de ma Maitresse et dans les quelques moments d'humiliations et

d'avilissement qu'elle me fait subir en me traitant comme un chien.

Alors, fourbu et épuisé mais heureux de l'avoir servi fidèlement, je la ramène chez elle, notre route

traverse une longue forêt. Nous roulons dans un silence assourdissant, moi concentré sur la route

tandis que Maitresse laisse ses doigts tapotés le clavier de son téléphone. Sans prévenir, elle

m'ordonne de prendre une route à l'écart et de s'y enfoncer.

Je m'exécute. Après quelques centaines de mètre parcourus, elle me fait arrêter. Voilà la voiture

plongée au milieu de la forêt. Nous sortons tous deux.

« Branle toi et jouis sur la voiture ! »

Ces quelques mots claquèrent comme un coup de fouet. Je m'exécute sans discuter, mon excitation

est à son comble. Il ne me faut que quelques dizaines de secondes pour sentir la sève monter.

Mon sperme sort par longues giclées. Elle saisit ma queue et la traie pour bien en faire sortir tout le

jus.

« Lèche maintenant ! Montre moi que tu es un bon soumis ! » Dit-elle alors en me regardant et avec

toujours se sourire en coin...

Plus tard, dans la voiture, elle me tapote le coup gentiment : « bon chien à sa maitresse... »

Mon GSM sonne, enfin, je décroche : « aux pieds ! ».

 

 

 

-Texte offert par Guillaume-

Par XXX - Publié dans : Soumission masculine
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Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 08:00

 

J'ai faim. M'en vais manger. Prenant tout mon temps. Rien ne presse n'est-ce pas ?

 

Attendant mon repas, je songe. A toi, A Lui. Est-ce que je te fais payer pour mes rêves brisés ? Pour l'amour qui n'existe pas ? Pour tous ces hommes qui ne songent qu'à eux ? Pour la vie refusant encore, toujours, de tourner telle que je le voudrais ? Est-ce que je deviens un monstre ?

 

Mais tu l'as voulu n'est-ce pas ? Le regretteras-tu ? En es-tu déjà là ? Je n'ai pas l'intention d'écouter ta voix, de toutes façons. Je veux me servir de toi, à présent. Autant que possible. Jusqu'à l'extrême limite. Te prendre tout ce qu'il te sera possible de me donner. Mais comment vais-je agir pour t'utiliser ainsi, sans que jamais tu ne t'enfuies ? Comment te faire perdre toute idée de résistance, pour qu'à jamais tu n'appartiennes plus qu'à moi ?

 

Je ne vais pas jouer stratégie, j'en suis incapable. Je vais faire ce que me diront mon sang et le tien. Agir comme je le sens. Je verrai bien ce qu'il adviendra.

 

J'ai mangé. Quoi donc ? Je ne le sais déjà plus. J'ai avalé mon repas mécaniquement. Il était bon pourtant. J'agis en robot décervelé et je prends plaisir à l'idée des maux que je vais te faire subir. Même si j'ignore encore en quoi il vont consister exactement. Mais ce n'est pas grave, je vais trouver. Et toi, tu vas apprendre à te rendre utile. Très utile. Je ne veux plus avoir à me soucier de rien et tu vas m'y aider. Probablement que j'ai tort. Certainement un jour le regretterai-je. Mais pour l'instant je vais jouir de toi et tu vas me simplifier l'existence. Je te le conseille, en tous cas.

 

Je n'ai plus d'appétit. Je prendrais un dessert plus tard. Je vais te rejoindre. J'ouvre la porte. L'objet est au sol et tu as changé de position. Je referme la porte en la claquant. Tu sursautes. Je ne m'attendais pas à te trouver tel que je t'avais laissé. En réalité, je suis satisfaite. Voici le prétexte dont je n'avais même pas besoin : « Avant de partir, je t'avais ordonné de ne pas bouger. Et cet objet, cela fait déjà deux fois que tu le lâches ! Je ne suis pas contente du tout. » Je n'ai guère besoin de te menacer plus, tu pleurniches : « Je vous en prie, je ne l'ai pas fait exprès. Et je n'en pouvais plus de rester ainsi ». Joignant le geste à la parole, tu te remets à genoux, étirant ton dos, ton postérieur du mieux possible. Baissant la tête, tentant vainement de reprendre de toi-même l'objet du délit. Tu es ridicule et je suis affreuse.

 

Comment réagirai-je face à un autre homme ? Un qui me résisterait, m'affronterait, me cognerait de sa voix à défaut d'avoir la possibilité de me foudroyer de son regard. Je le sais bien. Je me jetterai à ses pieds, demandant pardon. Très probablement je le libérerai, terrorisée et cherchant le meilleur moyen de pouvoir m'en sortir le mieux possible. Mais tu n'agis pas ainsi et ton attitude exacerbe ce que j'ai de plus laid et vulgaire. Vais-je te haïr pour ça ?

 



Par XXX - Publié dans : Soumission masculine
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Dimanche 23 mars 7 23 /03 /Mars 08:00

 

 

Je te tiens. Je peux faire absolument tout ce que je veux, à présent. Quand bien même voudrais-tu t'enfuir.


Regarde-toi. Tu as l'air fin à présent. Tes poignets menottés au pied du lit. Tes mains fondues avec la barre, disparaissant sous l'adhésif. Ton visage invisible sous cette cagoule intégrale de latex noire. Fermée à la vue. Etouffant ta voix.


Je t'ai interdit de prononcer la moindre parole, de toutes façons. T'y risquerais-tu ?


Tu es à genoux. Maillot sur les épaules. Pantalon et slip baissé aux chevilles. Je ne dis mot. M'approche de toi. Ecarte tes jambes de mon pied. Plus encore. Je te regarde. T'observe. Je baisse ta tête appuyant fortement dessus avec ma paume.


Tu n'es plus rien. Juste mon jouet pour le temps que je désirerais. Je te touche l'épaule avec ma baguette. Sans une parole. Je la glisse le long de ton dos. L'insinue entre tes fesses. Puis je passe devant, contre tes bourses. Ton sexe par lui même est à l'abri, dans sa cage. Tu ne banderas plus. Pas tant que je ne te le permettrais pas.


Un coup claque entre tes jambes, à l'endroit sensible. Ton corps se raidit, s'étire, absorbant le choc. Ce n'est que le premier. Puis plusieurs tombents sur tes fesses. Plus accessible, mais moins drôle. Ta peau rougit. Tu te recroquevilles contre le lit. Il ne fallait pas.



Mes premières paroles : « Reprend ta place. A genoux, jambes écartées ! Dépèche-toi ! » Tu n'as pas l'habitude. Je ferai comme si. Et cela me plait. Après une résistance, une hésitation de crainte, tu te remets en position. J'attaque alors les parties tendres. Ton corps tente de se replier, mais tel que tu es placé il n'y parvient pas. « Je te déconseille fortement de bouger. » Ta voix, tes plaintes percent le latex : « Silence ! » et un coup plus violent s'abat. Toujours au même endroit. Cri. J'en jouis.


Ma baguette te carresse. Devant, derrière. Menaçante. Quelque chose me dit que si la cagoule ne masquait pas ton visage, je te verrais couvert de larmes. Quelle sensation cela fait-il sur ta peau couverte, ne pouvant t'essuyer, ni s'écouler librement ?


Je libère ta bouche un instant et un flot de demandes s'écoule. Je ne veux pas les entendre. Je les interrompts d'un objet long et volumineux, t'étouffant presque. Te donnant la nausée. Je le sais. « Ne le lache pas où tu vas le regretter. »


J'enlève ta cagoule. Je veux te prendre en photos. « Baisse les yeux. Ne me regarde pas. Jamais. ». De jolis clichés. En noir et blanc je vais les tirer. C'est plus joli. Des preuves de ta soumission, de ton humiliation, que je pourrais diffuser s'il m'en vient l'envie. Tu es à moi. Tu m'appartiens. Autant que je le voudrais. Je masque à nouveau ton visage. Je ne veux pas te voir.


Tu commences à avoir de sérieuses difficultés à conserver en bouche l'objet que j'y ai mis. Je le sais.

Combien de temps tiendras-tu encore ? Je te fais éloigner tes genoux du lit afin que tu te retrouves penché. J'appuie entre tes épaules pour que ton buste s'abaisse vers le sol. La position est difficile ? Tant mieux. Ton pantalon et ton slip trainent toujours à tes chevilles : « Débrouille-toi pour m'enlever ça. ». Tu fais comme tu peux et parviens à les ôter. Tu es ridicule !


Je fixe une barre d'écartellement entre tes genoux et commence à les éloigner l'un de l'autre. Au plus possible. Je reprends ma baguette et tape bien droit entre tes fesses. Quelques coups suffisent et tu n'y tiens plus : l'objets que tu gardais en bouche tombe sur le sol. Je jubile : « qui t'a permis de le lacher ? ». Tu bredouilles des excuses. Demandes pardon. Je feins de ne pouvoir tolérer une telle désobeïssance. Je te le remets, poussant dans ta gorge. Tu hocquettes. Tu n'as pas intérer à vomir. Je fais plusieurs va et viens à fond. Puis te le laisse normalement en bouche : « J'en ai assez. Je vais faire un tour. Ne bouge pas. »


Je sors, fermant la porte à clef derrière moi.




Par XXX - Publié dans : Soumission masculine
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Dimanche 26 janvier 7 26 /01 /Jan 08:00


Tu prends ta voiture. Te rends jusque dans cette maison isolée, impasse de l'amour. Te gares. Descends. Ramasses le paquet devant la porte. Ouvres, puis refermes la porte derrière toi. Tu poses un chèque en blanc sur la commode de l'entrée et mets par dessus cette très jolie pierre presse-papiers, posée là juste exprès.

 

Tu ouvres le colis. Découvres son contenu. Ta respiration s'accélère t-elle ? Ton souffle te semble t-il coupé ? Quelles sont tes instructions ? Peu de choses en somme. Je le sais. C'est moi qui te les ai fait parvenir.

 

Alors, quels sont donc tes impératifs ? 

 

 

D'abord, je ne veux pas que tu puisses me voir. Alors, il te faut mettre cette cagoule en latex masquant parfaitement tes yeux. Tu dois aussi te lier toi-même. Des menottes te sont fournies. Tu t'arranges comme tu veux, mais il faut que tu sois attaché, sans pouvoir aucunement te libérer et aveugle. Je viendrais m'assurer que tout est bien comme je l'ai ordonné.

 

Et donc, tu fais ce que j'ai décidé. Il te faut me faire confiance, entièrement. Ceci, sans me connaître. Sans rien savoir de moi. Je tiens à ce qu'il en soit ainsi. Je t'ai simplement assuré que je n'ai pas l'intention de te torturer. Ceci ne fait pas partie de mon programme. Je veux m'assurer que tu seras l'esclave parfait, tout en gardant un anonyma total. Je cherche aussi à me protéger. Sait-on jamais, tu pourrais être en réalité un dangereux sadique. J'ai besoin d'être certaine que personne d'autre n'est mêlé à ça. Que tu as su tenir ta langue. J'espère bien que tu n'as pas cherché à couvrir tes arrières ! Si tel était le cas, je disparaitrais sans appel.

 

Une nouvelle heure passe depuis que tu as réalisé ce que je t'ai demandé. Quelle est donc ta perception du temps ainsi prisonnier, de surcroit privé de ta vue ? Une fille arrive. Elle te trouve à l'étage. Tu as choisi de t'installer sur le lit. Tu es donc allongé, les bras levés retenus à un barreau. Tout est comme je le voulais. J'aurais dû en profiter, ordonner que tu sois pantalon baissé sur les chevilles. Sans slip. Mais nous avons tout notre temps. Aujourd'hui n'est qu'une première rencontre, pour vérifier ta fiabilité.

 

J'observe tranquillement de l'extérieur. C'est la fin de la journée. La fille a pour mission de te donner à boire, ce qu'elle fait. Ensuite, tu restes seul. Sans avoir la moindre idée de la suite du programme. Quelles sont donc tes pensées dans ces moments ? J'aimerais pouvoir les percer. Mais tout cela sera pour plus tard. Satisfaite, je m'en vais dormir à mon hôtel. Je t'abandonne là...

 

abandonne---Copie.jpg

 

 

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Je vous laisse m'indiquer les suites de votre choix dans les commentaires. :)


Par XXX - Publié dans : Soumission masculine - Communauté : Soumission et appartenance
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