Dimanche 7 septembre 7 07 /09 /Sep 08:00

 

Elisa est une petite salope. Elle traine nue dans son salon. Elle va se faire violer par des cambrioleurs.

 

Ils entrent par la porte de derrière. Ils sont venus pour voler. Et ils trouvent bien plus intéressant.

 

C'est une belle salope qui traine à poil sur son canapé, regardant la télé.

 

Ils l'attrapent. Ils la baffent. Pas besoin de la déshabiller, y'a plus qu'à lui prendre la chatte, le cul et le reste. Elle n'attendait qu'eux visiblement. Elle avait envie de leurs queues, c'est évident.

 

Elle crie. Alors ils la font taire. L'un d'entre eux lui colle sa grosse bite bien profond dans la bouche. Un autre lui colle une lame sous la gorge : vaudrait mieux qu'elle soit bien sage.

 

Le mec s'allonge sur le dos, sur le sol, toujours en tenant la tête de la fille sur sa queue.

 

Puis c'est un gros gode qui vient lui fourrer la bouche, sanglé derrière sa tête.

 

Elisa est allongée face au sol. Sa gueule de pute bien pleine pour la faire taire.

 

Ils vont pouvoir la fourrer maintenant.

 

Au sol, comme une chienne. A tour de rôle, ils lui prennent le cul.

 

Cependant, les autres vident la demeure de ses objets onéreux.

 

Et puis, ils fouillent, partout.

 

Ils trouvent des ceintures, de la corde, du scotch de déménagement, des légumes.

 

Hanz la remet sur les genoux. Il lui ordonne de garder les jambes écartées.

 

Il lui pince les têtons, fort.

 

Puis il la met debout. Il lui ordonne d'écarter son cul avec les mains.

 

Elisa obéit. Les hommes rient. Elle pleure.

 

Hanz lui donne une aubergine : « met toi ça dans le cul, pétasse. »

 

Elisa ne peut pas.

 

Alors ils l'entrainent vers la table. Ils attachent ses jambes aux pieds de la table. Ses bras devant, liés aux autres pieds de table.

 

Et ils la battent à coup de ceinture.

 

Et puis, ils lui fourrent l'aubergine dans le cul.

 

Et puis ils maintiennent l'aubergine avec du gros scotch.

 

Et puis, ils la détachent.

 

Ils lui collent des pinces sur les seins.

 

Elisa doit marcher à quatre pattes en ondulant des fesses. Elle doit venir leur lécher les couilles.

 

Elle doit faire la belle, prendre gifles et crachats.

 

Elle doit dire merci.

 

C'est le rêve de Tony.

 

Il sait cependant que personne ne peut faire cela à une autre personne.

 

Il sait que certaines femmes fantasment là-dessus.

 

Il sait qu'elles ne fantasment que de faire semblant avec l'homme qu'elles aiment.

 

Il sait...

 

Il aimerait tant être une femme.

 

Il aimerait tant que son Homme joue à le séquestrer, pour faire semblant.

 

Seulement pour faire semblant.

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Dimanche 31 août 7 31 /08 /Août 08:00

 

 

Toi que j'aime, tu me manques tant. Je t'ai vu passer ce matin et je suis entrée chez toi. Par la fenêtre ouverte. J'ai atteri dans ton salon. Je me suis déshabillée et je t'ai attendu. Nue, j'ai pris un couteau. Je t'aime et je vais te baiser. Je vais te baiser comme j'ai envie que tu me baises.

 

Tu es entré chez toi et je t'attendais. Je me suis glissée derrière ton dos. J'ai posé ma lame sur ton cou. Tu n'as plus bougé. Je t'ai embrassé la nuque. Tu t'es déshabillé. Je t'ai passé des menottes aux poignets. Je t'ai emmené dans la chambre. Sur le lit je t'ai allongé. Je t'ai caressé, embrassé. J'ai fait glisser mon couteau sur ta peau. Je me suis allongée sur toi. J'ai goûté ton corps avec ma bouche. Tu m'as tellement manqué.

 

J'ai glissé ma main sur ton sexe. J'ai caressé tes couilles. Je les ai serrées très fort à te faire mal. Puis j'ai pris ta bite dans ma bouche et je l'ai avalée.

 

Envie de Toi. Envie que tu me baises.

 

Je t'ai giflé. Une fois. Deux. Puis trois.

 

Je veux tes mains. Je veux tes doigts dans ma chatte.

 

Je m'accroupis sur toi : allez, vas-y, fouille moi. Et tu le fais.

 

Oh, tes doigts sur mon sexe, dans mes lèvres. Tes doigts pattes d'insectes. Remuent, palpent, tapottent, pénètrent.

 

Oh, mon cul aussi. Je n'en puis plus : baise moi, baise moi fort.

 

Je me mets sur le ventre. Tu passes sur mon dos. De tes mains menottées tu m'attrapes les cheveux.

 

Et puis ta queue me prend, par le cul. Tu me pénètres fort, brutalement. Je crie.

 

Tu me pénètres encore. Je n'ai plus mal. Alors tu me retournes, tes mains menottées frappent mon visage.

 

Puis tu enfonces ta queue souillée dans ma gorge : « Bouffe ta merde, salope ! »

 

Et tu la fait pénétrer encore plus profond : « « Allez nettoie, sors ta lange ! »

 

J'ai des hauts le coeur.

 

Puis, durement, tu me pinces les têtons. Je crie. Tu pinces plus fort : « Ferme ta gueule »

 

Tu attrapes le couteau et le plantes juste à côté de ma tête.

 

Tu me fais enlever tes menottes.

 

Tu colles mon visage devant ta bite. Tu me pisses dessus. Tu frottes tes couilles sur mon visage.

 

Puis tu me colles la tête au sol, m'ordonne de rester ainsi. Tu attrapes une règle plate, en fer, posée à proximité. Tu me corriges vigoureusement les fesses : « Bouge pas où ce sera pire. » Mais je bouge et tu n'attendais que cela : « Met toi sur le dos. Ecarte tes jambes. Montre ta chatte ». Et c'est là que s'abat la règle. Je crie, me débats.

 

Tu me colle au sol et me fais ramper. Jusqu'au toilettes. La tête dedans, tu tires la chasse.

 

Puis tu m'encules. Puis tu me bas avec ta ceinture. Puis tu m'enfiles le manche de la ventouse dans le cul.

 

Tu me lies, ainsi sur les wc.

 

Puis tu me laisses là, longtemps.

 

Très longtemps.

 

Très très longtemps.

 

Je n'en puis plus. Mon cul est en feu. Je souffre.

 

Je m'endors d'épuisement.

 

Brutalement le pieu est oté de mon cul. Ma fiente dégouline sur mes fesses.

 

J'ai toujours la tête dans les chiottes.

 

J'entends une voix de femme. J'entends une voix d'homme.

 

Une culotte remplie d'orties m'est enfilée. Je supplie.

 

J'entends des rires.

 

Un trou est aménagé dans la culotte.

 

Quelqu'un m'encule

 

 

Je souffre.  

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Dimanche 24 août 7 24 /08 /Août 08:00

ça y est, j'ai réussi. Le gode est dans mon cul. L'exploration de mon corps ne finit pas pour autant. 

 

Ils pénètrent dans mes oreilles. Ils pénètrent dans mon nez. J'étouffe. 

 

Soudain, tout s'arrête. Je suis soulevée dans les airs. 

 

Le gode disparait. 

 

Les spectres se transforment : ce ne sont plus seulement des visages, ils ont des corps. Bras sans mains. Sexes gigantesques. Ils se pressent sur moi. Et ils m'enfilent. En même temps et à la chaine. Ils me défoncent la chatte, le cul, la gorge. Ils collent chacun leur tour, sur mon visage d'énormes couilles molles. Je sais déjà que plus tard je devrais les leur bouffer avec avidité. Mais pour l'heure ils me baisent. Ils se servent avec force et je perds la notion du temps, de l'espace. Je ne perçois plus ce qui m'entoure. Je m'évanouis. Ou je m'endors. 

 

Je m'éveille, cotonneuse. Le corps engourdi semblant nager dans de la gelée. Semblant n'être plus. Reste ma tête. Toute ma tête. Ressentant toute l'horreur de ma situation. Ressentant la douleur. Ressentant l'humiliation, la honte, le dégout. Toute ma tête, reliée à un corps engourdi.

 

Et puis, tout autour, des culs. Des culs et des couilles monstrueuses. Je sais ce que je dois faire. 

 

Je presse mon visage entre ces fesses. Les unes après les autres. Leurs couillent s'aplatissent sur ma face. Mon nez dans leur cul. Je lèche en salivant abondamment. Puis je glisse ma langue dans leurs raies. Puis je leur bouffe l'anus. Encore. Et encore. 

 

Je m'étourdis. Je perds conscience. 

 

Je m'éveille, en apesanteur, dans une gigantesque pièce vide baignée de lumière. Des spots braqués sur moi. Un, en particulier, chauffe ma chatte et la fait couler. 

 

Je m'éveille un peu plus et je réalise : tout autour d'immenses écrans projettent des vues de mon corps. Mon anus, ma chatte, mes seins, ma bouche, mes yeux. Tout. Tout en très gros plan. Respirant. Palpitant. 

 

Et les écrans se multiplient. 

 

Et les détails se multiplient. 

 

L'intérieur de mon nez, de ma bouche, de mes oreilles. L'intérieur de mon cul, l'intérieur de mon sexe... 

 

De minis caméras infiltrées dévoilent les moindres recoins de mon intimité. 

 

Et puis... stop ! Pfiouu ! 

 

Tout disparait. 

 

A la place, une entreprise de nettoyage est commencée. De l'eau me pénètre, me pénètre, me remplit par l'anus. 

 

Un bouchon est posé. 

 

Et le temps passe. Long, long, long. Je me tortille. Je crie. Je pleure. Je hurle. 

 

Je peux enfin me libérer. 

 

Des centaines de regards inquisiteurs, méprisants, malfaisants, posés sur moi. 

 

Foin de pudeur et de honte ! Je suis trop heureuse de pouvoir me soulager. Je ne pourrai de toutes façons pas faire autrement. Je laisse exploser mon jeyser. 

 

Je me réveille. Je suis attachée sur un lit trempé. Bras et jambes écartées. 

 

Quelqu'un me bouffe la chatte. 

 

Quelqu'un d'autre manoeuvre un long et large bâton au bout arrondi dans mon cul, le faisant aller et venir. 

 

J'ai des pinces sur les seins. 

 

 

Qui suis-je ? 

 

Qu'est-ce que je fais là ? 

 

Que m'est-il arrivé ? 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Dimanche 17 août 7 17 /08 /Août 08:00

-  Nous avions rendez-vous et tu es en retard.

 

Pensée silencieuse : Nous n'avions pas rendez-vous et je ne te connais même pas. Qu'est-ce que je fais là ? 

 

- Met toi en position, là, les bras sur le bureau pour recevoir ta correction. Soulève ta jupe. Baisse ta culotte. Et cambre-toi.

 

Pensée silencieuse : Et puis quoi encore ? 

 

Mais deux mains puissantes, invisibles, me saisissent par les bras. Et je me retrouve le torse collé sur le bureau. 

 

Une voix tonitruante répète l'ordre. Il n'y a personne pourtant. 

 

J'ai peur. J'obéis. Des éclats de rire fusent. Je sens des dizaines de doigts sur mes fesses, entre mes cuisses. Ils tapotent, fouillent, écartent mon intimité.

 

Puis, l'instant d'après, plus rien. 

 

- Tu vas recevoir ta correction pour m'avoir fait attendre.

 

Pensée silencieuse : Je n'ai fait attendre personne. Qu'est-ce que c'est que ce délire ? 

 

Et les coups pleuvent sur les fesses : "Non ! Ahhh ! S'il-vous-plait !"

 

La voix gronde : Silence !

 

Les coups s'arrêtent. 

 

Apparaît devant moi un tabouret. 

 

Sur le tabouret, un gode. 

 

- Maintenant tu t'asseois là-dessus. Et tu te l'enfiles dans le cul. Plus tu seras longue et plus la suite de ta correction sera terrible. Suce le avant. Bouffe le correctement. Et met y du coeur. Nous te regardons et jugerons ta performance. Action !

 

Une foule de visage agressifs apparaissent. Ils observent. Pas le temps de penser. Obéir ? Ne pas obéir ? Fuir ? Comment ?

 

Peur. 

 

- C'est trop long ! Tu devrais déjà être en train de bouffer le gode. Il devrait être trempé de ta bave. Punition ! Position ! Tu as le choix : ou tu restes bien gentiment sans bouger pour encaisser, ou ce sera multiplié d'autant. Tu n'est pas encore en position ? Bien ! Les dix premiers sont gratuits. 

 

Et surgi  de je ne sais où, un fouet commence son oeuvre. Je me mets à quatre patte. Je pose la tête au sol pour lever mon cul. Je me cambre. J'écarte mes cuisses. 

 

- Bien ! Nous allons pouvoir commencer. Dix. Et tu comptes. 

 

- Ahhh ! Un. Deux... Trois... C'est trop dur. Je quitte ma position pour me recroqueviller. 

 

- On recommence ! Vingt. Et tu comptes. 

 

Tenir. Ne pas bouger. Tenir. Ne pas bouger. Tenir. Ne pas bouger. Pleurs. 

 

Puis de nouveau le tabouret. Me précipiter. Le bouffer consciencieusement. Le lécher, saliver. Vite. Bien. Au fond de ma gorge. Baver. Devant ces visages spectraux. Qui apparaissent. Qui disparaissent. Qui rient. Qui bavent. Qui me touchent le cul. Qui me touchent les seins. M'empaler sur le gode. Ne pas y arriver. Essayer encore. Frénétiquement. Comme si j'en mourrais d'envie. Et ces doigts qui me palpent. Longs. Fins. Véritables cordes vivantes glissant sur mon corps. Entourant mes cuisses tels des serpents rampants. Enserrant mes seins. Fouillant ma chatte. 

 

 

(A suivre)

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Dimanche 10 août 7 10 /08 /Août 08:00

Anna s'est fait piéger : il y avait cette fille qui lui plaisait bien et qui l'a invité chez elle. Elle s'est rendu à son domicile, à 20 heures, comme prévu. Mais il y avait du monde. Et louïse leur a offert cette fille facile. Elle leur dit : "Vous voyez ça: je l'ai à peine regardé qu'elle rapplique ici comme une chienne pour que je la baise !"

 

Tous s'écartent et forment un cercle autour d'Anna. Elle reste debout au milieu. Ils la regardent :

 

- Allez, vas-y : montre-nous tes seins ! Elle n'obéit pas. Alors une femme s'approche derrière son dos. Elle l'attrape par les cheveux, lui met un couteau sous la gorge : ouvre ta chemise et avance vers chacun d'entre nous. Tu diras : "Je suis une salope. Veuillez me lécher les seins. Pour chaque personne qui refusera tu recevras dix coups de martinet. Sois convaincante."

 

Elle s'approche du premier et fais sa demande. Il rit : "Tu crois que je vais te toucher ? Vas falloir le demander mieux que ça !"

 

Même chose pour le second. 

 

La femme reprend : "je crois que tu n'as pas compris. Tu as déjà gagné vingt coups. On va te les donner tout de suite. ça va te motiver. Après tu nous montreras peut-être à quel point tu as envie de te faire baiser... viens là, sur la table. Elle est allongée sur le dos. Maintenue les cuisses écartées. Elle reçoit un premier coup violent, directement sur la chatte. AAHHH ! Et les autres coups suivent avec autant de force. Ses jambes battant l'air sont maintenues bien ouvertes, pour que le martinet tombe chaque fois directement sur le sexe". 

 

Elle est lâchée, en pleurs. Remise debout. "Maintenant fais en sorte qu'ils acceptent de lécher tes mamelles de sale truie." A chaque refus, même sentence. 

 

- Je vous en prie, léchez mes seins s'il vous plait.  Je vous en supplie, je suis une chienne. Est-ce que vous voulez bien lécher mes seins ? S'il-vous plait... S'il vous plait. Je ferais ce que vous voulez. Vous voulez bien lécher mes seins ? S'il vous plait. 

 

Elle passe en demandant, de l'un à l'autre, implorante. 

 

-Eh bien, y'a du progrès. Retourne dans le cercle. A genoux jambes écartées. Demande-nous de te pisser dessus. Dis que tu veux nous boire. Et montre-nous comme tu aimes te faire arroser et avaler. On veut voir que tu aimes ça. 

 

Elle se met en position. Elle pétrit ses seins tout en suppliant : "Pissez-moi dessus, s'il-vous plait. Je suis une salope. J'aime ça. J'en ai tellement envie. Je vous en supplie". 

 

- Eh bien voilà, on va te faire plaisir, sale truie. Et, de concert, ils lui pissent sur la gueule. 

 

Elle ouvre la bouche et bois. 

 

- Alors, tu nous remercie pas ? Tu as peut-être envie qu'on t'apprenne la politesse ? 

 

- Non. Pardon. Non. Je vous remercie de m'avoir fait boire votre pisse. J'aime tellement ça. 

 

- Maintenant on va te laisser. Toi, tu bouges pas de là ! 

 

Et d'un coup la pièce se vide. Anna se retrouve seule. 

 

 

 

 

 

Qu'arrive t-il alors, selon vous ? 

 

J'attends vos idées en commentaires. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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