Attention : les histoires de ce blog peuvent comporter des passages violents et choquants.
Le repas se passe dehors, sur la grande table en bois. Elle le sert et regarde ses hôtes, hommes et femmes, manger. Elle attend juste à côté, debout, tête baissée. Prête à accourir au moindre signe.
Tout le monde est habillé, sauf Chiennasse qui est nue comme il se doit.
A la fin du repas, ils la font s'approcher. Elle est mise à genoux sur la table, jambes écartées. Elle doit plonger ses nichons dans deux verres. Finir certaines boissons. Les autres lui sont jetées au visage ou versées partout sur le corps. Elle doit à quatre pattes et les fesses en l'air lécher les restes d'assiettes, ronger un os. Puis elle est allongée au milieu des assiettes et des reliefs du repas. Elle ramassera plus tard ce qui voltige un peu partout, sera punie pour la vaisselle cassée et doit faire avec le verre brisé, les fourchettes et couteaux trainant là. Cette fainéante n'avait qu'à nettoyer plus vite.
Tous ensemble, ils viennent la toucher de partout, la caresser, la malaxer, la pincer. Elle est d'abord mise sur le ventre. Ce qui restait dans la soupière encore chaude dans la cuisine vient l'arroser. De leurs nombreuses mains ils l'étalent sur cette crasseuse. Ils lui en mettent partout. Sur le visage, les yeux, la bouche qu'elle doit ouvrir (elle s'étrangle du liquide coulant dans sa gorge alors qu'elle est allongée sur le dos), les oreilles, le nez. Ils la pétrissent de partout. Les seins, le ventre, sa putain de chatte. Ils écartent ses lèvres, tirent dessus. Font pénétrer leurs doigts, poussant jusqu'à la main. Puis l'étalent sur le ventre, pour la pétrir de l'autre côté. Lui claquent vigoureusement les fesses. Lui ordonnent d'écarter son cul de salope avec ses mains. Y mettent leur doigts et tout ce qu'ils peuvent : une carotte, un concombre... avant d'y introduire une bouteille pleine pour la vider dans son fondement. Puis elle doit se remettre le cul en l'air. Sa tête est plongée dans une casserole de sauce restante quelques instant ; juste le temps de l'étouffer un peu.
Et puis elle doit rester là, sans bouger, le temps qu'il faudra.
Son cul recrache ce qui lui a été introduit, plus des matières fécales liquides. Elle se dégouline dessus. Et puis, avec tous ces restes alimentaires sur sa peau, les mouches, guêpes et autres bestioles lui tournent autour, de très près.
Ses hôtes reviennent vers elle : regardez cette truie, elle ne bouge pas dans sa merde. Elle attire même les bêtes.
- Allez, il faut la nettoyer. Ils lui jettent des seaux d'eau savonneuse. Et lui passent la brosse sur le corps, tous ensemble. Sur le ventre, sur le dos, dans la chatte, dans le cul... faut bien lui nettoyer son trou du cul ! Allons y allègrement au gode bien couvert de savon. Rincez au tuyau. Mais c'est qu'elle est propre comme une saoule neuve ! Combien de temps va t-elle le rester ?
- Allez c'est le moment : on va encore voir comment cette catin aime la baise ! Ils l'attrapent. La maintiennent bras et jambes écartées sur la table.
Quelqu'un arrive avec le maxi vibro. Il lui colle sur la chatte. Elle se débat, gémit, crie, essaie de se dégager, ne supporte pas, veut que ça s'arrête, se cambre, sent des contractions puissantes dans son vagin et laisse échapper un flot. Elle a joui.
- Et voilà, qu'est-ce qu'on disait ! Vraiment une sale putain. Tu aimes ça ! Rien ne te guérit... Sur le sol maintenant ! Rampe dans la boue salope. Ecarte tes cuisses pour ramper. C'est tout ce que tu sais faire. Un pied sur le dos vient lui écraser la poitrine au sol et l'empêcher d'avancer. Un autre se met devant son visage afin qu'elle le lèche en demandant pardon. Elle est attachée là, bras et jambes écartés, à quatre pieux fichés dans le sol.
Elle reçoit une correction à coup de ceintures.
Un manche de pioche lui est planté dans la chatte, un autre dans le cul.
C'est vraiment une sale fille perverse, accroc au sexe et incapable de s'empêcher de jouir sous le vibro.
Elle sera donc encore traitée comme elle le mérite. Aussi longtemps qu'il le faudra pour qu'elle comprenne.