Soumission féminine

Dimanche 25 mai 7 25 /05 /Mai 08:00

Elles se sont rencontrées dans un café. L'une est timide. L'autre a l'air de l'être aussi. 

 

La première s'appelle Lisa. La seconde s'appelle Donna. 

 

Donna plait beaucoup à Lisa. Elle l'a remarqué. A priori les deux femmes sont hétérosexuelles. 

 

Lisa a invité sa nouvelle amie dans sa maison. 

 

Et là, Donna avance : "Je te plais n'est-ce pas ?"

 

Lisa n'ose pas démentir. Elle est juste impressionnée par Lisa. Pourquoi ? Elle seule le sait. 

 

Mais Donna a envie d'en profiter : "Ouvre ta chemise que je te regarde."

 

Lisa a un mouvement de recul. Donna se lève et s'approche : "Fais ce que je viens de te demander". 

 

Lisa est troublée. Elle obéit à Donna et en éprouve un étrange plaisir. 

 

C'est le début d'une histoire dont elle n'imagine pas l'issue. 

 

- Sors tes seins de ton soutien gorge et soulève les de tes mains pour me les présenter. 

 

Donna rit : "Peut-être reviendrais-je te voir."

 

Elle prend sa veste et s'en va. 

 

 

---

 

 

Plusieurs jours passent et Donna a disparu. Elle est partie et n'a pas donné de nouvelles. 

 

Lisa n'a pas de numéro de téléphone pour la joindre, pas d'adresse. Juste un prénom. 

 

Une image, une apparition dans son univers. Elle commence à craindre ne jamais la revoir. 

 

Elle en rêve le jour. Elle en rêve la nuit. Elle ignore que parfois il vaut mieux que les rêves ne se réalisent pas. 

 

Et Donna réapparait à plusieurs jours de là. Elle est telle un rayon de lumière dans la morne vie de Lisa. 

 

Et tel un rayon de lumière, personne ne peut l'attraper. 

 

Lisa se précipite à sa venue : bonjour Donna, tu vas bien ? Tu m'as manqué. Veux-tu que je t'offre un verre ? 

 

As-tu le temps de passer un moment avec moi ? 

 

Donna accepte le verre. Mais elle boira seule. Lisa doit rentrer à la maison et l'attendre. C'est La condition pour que Donna consente à passer un peu plus de temps avec elle. 

 

Lisa fait donc comme en a décidé Donna : elle paie le verre et rentre vite chez elle. Elle l'attend. Une heure. Deux heures. Trois. Elle s'inquiète : Donna viendra t-elle ? 

 

Et Donna arrive. Elle s'offusque : Comment ? Rien n'est prêt pour la recevoir ? 

 

Pas de plateau de fruit sur la table ? Ni de bouquet de fleur ? Pas de repas en train de chauffer dans la cuisine ? 

 

- Je n'ai pas l'impression que tu avais tant que cela envie de me revoir. Tu comptes faire quoi pour me donner envie de rester. 

 

Lisa la regarde, les yeux interrogateurs. Un peu éberluée... 

 

Elle ouvre sa chemise. Elle sort ses seins de son soutien-gorge. Elle les soulève de ses mains pour les lui présenter. 

 

Elle se met à genoux : je t'en prie, reste. Je ferai tout ce que tu voudras. 

 

- Tout ? C'est ce que l'on verra. Pour l'instant lèche mes pompes. 

 

Et Lisa s'éxecute. 

 

" Debout maintenant. Baisse la tête. Baisse les yeux. Tourne toi." Elle lève sa jupe et la maintient retroussée par la ceinture. Elle baisse sa culotte à mi-jambes. "Reste comme ça : tu es bien les seins ballotant à l'air et le cul bien visible. Va me préparer à manger. Et je ne veux pas entendre un seul mot. Si tu es sage, peut-être que la prochaine fois je te gratifierai d'une caresse. 

 

Et maintenant dépêche toi. Je ne veux pas te voir sortir de la cuisine avant d'avoir terminé et de revenir pour me servir. 

 

Lisa obéit et lorsqu'elle revient dans le salon avec son plateau repas Donna est partie. 

 

Elle a laissé sur la table  un numéro de téléphone écrit au rouge à lèvres  . 

 

 

(A suivre)

 

 

(plusieurs suites possibles à écrire)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 18 mai 7 18 /05 /Mai 08:00

 

Le repas se passe dehors, sur la grande table en bois. Elle le sert et regarde ses hôtes, hommes et femmes, manger. Elle attend juste à côté, debout, tête baissée. Prête à accourir au moindre signe. 

 

Tout le monde est habillé, sauf Chiennasse qui est nue comme il se doit. 

 

A la fin du repas, ils la font s'approcher. Elle est mise à genoux sur la table, jambes écartées. Elle doit plonger ses nichons dans deux verres. Finir certaines boissons.  Les autres lui sont jetées au visage ou versées partout sur le corps. Elle doit à quatre pattes et les fesses en l'air lécher les restes d'assiettes, ronger un os. Puis elle est allongée au milieu des assiettes et des reliefs du repas. Elle ramassera plus tard ce qui voltige un peu partout, sera punie pour la vaisselle cassée et doit faire avec le verre brisé, les fourchettes et couteaux trainant là. Cette fainéante n'avait qu'à nettoyer plus vite. 

 

Tous ensemble, ils viennent la toucher de partout, la caresser, la malaxer, la pincer. Elle est d'abord mise sur le ventre. Ce qui restait dans la soupière encore chaude dans la cuisine vient l'arroser. De leurs nombreuses mains ils l'étalent sur cette crasseuse. Ils lui en mettent partout. Sur le visage, les yeux, la bouche qu'elle doit ouvrir (elle s'étrangle du liquide coulant dans sa gorge alors qu'elle est allongée sur le dos), les oreilles, le nez. Ils la pétrissent de partout. Les seins, le ventre, sa putain de chatte. Ils écartent ses lèvres, tirent dessus. Font pénétrer leurs doigts, poussant jusqu'à la main. Puis l'étalent sur le ventre, pour la pétrir de l'autre côté. Lui claquent vigoureusement les fesses. Lui ordonnent d'écarter son cul de salope avec ses mains. Y mettent leur doigts et tout ce qu'ils peuvent : une carotte, un concombre... avant d'y introduire une bouteille pleine pour la vider dans son fondement. Puis elle doit se remettre le cul en l'air. Sa tête est plongée dans une casserole de sauce restante quelques instant ; juste le temps de l'étouffer un peu. 

Et puis elle doit rester là, sans bouger, le temps qu'il faudra. 

 

Son cul recrache ce qui lui a été introduit, plus des matières fécales liquides. Elle se dégouline dessus. Et puis, avec tous ces restes alimentaires sur sa peau, les mouches, guêpes et autres bestioles lui tournent autour, de très près. 

 

Ses hôtes reviennent vers elle : regardez cette truie, elle ne bouge pas dans sa merde. Elle attire même les bêtes. 

 

- Allez, il faut la nettoyer. Ils lui jettent des seaux d'eau savonneuse. Et lui passent la brosse sur le corps, tous ensemble. Sur le ventre, sur le dos, dans la chatte, dans le cul... faut bien lui nettoyer son trou du cul ! Allons y allègrement au gode bien couvert de savon. Rincez au tuyau. Mais c'est qu'elle est propre comme une saoule neuve ! Combien de temps va t-elle le rester ? 

 

- Allez c'est le moment : on va encore voir comment cette catin aime la baise ! Ils l'attrapent. La maintiennent bras et jambes écartées sur la table. 

 

Quelqu'un arrive avec le maxi vibro. Il lui colle sur la chatte. Elle se débat, gémit, crie, essaie de se dégager, ne supporte pas, veut que ça s'arrête, se cambre, sent des contractions puissantes dans son vagin et laisse échapper un flot. Elle a joui. 

 

- Et voilà, qu'est-ce qu'on disait ! Vraiment une sale putain. Tu aimes ça ! Rien ne te guérit... Sur le sol maintenant ! Rampe dans la boue salope. Ecarte tes cuisses pour ramper. C'est tout ce que tu sais faire. Un pied sur le dos vient lui écraser la poitrine au sol et l'empêcher d'avancer. Un autre se met devant son visage afin qu'elle le lèche en demandant pardon. Elle est attachée là, bras et jambes écartés, à quatre pieux fichés dans le sol. 

 

Elle reçoit une correction à coup de ceintures. 

 

Un manche de pioche lui est planté dans la chatte, un autre dans le cul. 

 

C'est vraiment une sale fille perverse, accroc au sexe et incapable de s'empêcher de jouir sous le vibro. 

 

Elle sera donc encore traitée comme elle le mérite. Aussi longtemps qu'il le faudra pour qu'elle comprenne. 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 08:00

- Demande pardon sale trainée ! Mieux que ça, tu vas voir ce qu'on fait aux chiennes lubriques pour les calmer. Ah tu aimes te faire baiser, je vais t'en donner ! 

 

Il l'attrape, l'attache sur un appareil muni de deux très longs godes. Une sorte de chaise sur laquelle il est impossible de s'asseoir. Un gode est fiché dans son cul et l'autre dans sa chatte. Et la machine commence sa danse. Inlassablement elle monte et descend dans les fondements. 

 

- Pitié, non, ne me laissez pas là-dessus. Je vous en supplie. 

 

- Quoi ? Tu es bien une sale chienne en chaleur qui gémit et crie quand on lui pose un vibro sur la chatte ? Tu aimes ça, non, te faire baiser ? Eh bien là tu vas avoir de quoi te calmer. 

 

- Oui, non, pardon. Vous avez raison. Je vous en supplie. Je vous demande pardon. Je ne le ferai plus. 

 

- Ne promet pas ce que tu ne pourras pas tenir. Tu es une chienne, c'est tout. Tu devrais plutôt me remercier : regarde comme tu en prends plein la chatte et plein le cul. Tu aimes ça, ne dis pas le contraire. Les chiennes comme toi ça n'en a jamais assez. Mais tu vois, comme je suis bon, je vais te libérer. Et tu vas essayer de te faire pardonner. Tu as intérêt à assurer. Cela repoussera d'autant le prochain essai... Je suis certain d'avance qu'une chienne de ton espèce gémira et se trémoussera lorsque tu recevras le vibro. Tu prouveras encore une fois ta perversité et que tu as le vice dans la peau. Mais je vais te laisser un peu de temps. 

 

Il la libère de la machine infernale. Elle sait ce qu'elle doit faire. Elle se colle face contre le sol, rampe jusqu'à ses pieds pour les lécher soigneusement, avec application et empressement. Elle remonte entre ses jambes pour lui lécher les couilles, avant de les lui aspirer toutes les deux dans sa bouche. Puis elle pompe sa queue. Fait des vas et viens rapides et profonds. Va jusqu'au fond de sa gorge. Lui suce le gland. Pompe. Aspire. Repend la queue bien au fond de sa gorge. Tout ça en affirmant entre deux gestes : 

 

- Oui, vous avez raison. Je suis une salope. Je suis une chienne. J'aime la baise. Je ne peux pas m'en passer. Oh, comme votre queue est bonne Monsieur. Comme votre queue est longue Monsieur. Comme j'aime votre queue Monsieur. Vous avez raison Monsieur, je suis une misérable. Je suis un vide couille Monsieur. Une trois trous. Vous pouvez faire de moi ce qui vous plait Monsieur. C'est ce que je mérite. J'espère que vous me ferez l'honneur de me baiser Monsieur. J'ai très envie de vous Monsieur. 

 

Et ses mains ne sont pas en reste, elles s'occupent alternativement de la bite de Monsieur, de ses couilles, et de son trou du cul qu'elle pénètre comme il aime qu'elle le fasse. Un doigt, deux doigts, ce qu'elle peut, mais elle ne doit pas lui faire mal. Elle lèche ses doigts, les mouille abondamment si cela ne rentre pas bien. Le remet dans son anus, puis dans sa bouche. Jusqu'à ce qu'il crache. Mais Monsieur ne jouit pas. C'est de la faute de Chiennasse. Elle aime se faire baiser. Mais elle ne sait pas donner du plaisir. Une sale putain égoïste qu'elle est. Qui ne pense qu'à Elle. Qui aime se faire baiser mais qui ne fait rien correctement pour Lui. 

 

Comme d'habitude elle n'a pas su le faire cracher. Il la repousse au sol et s'éloigne. Elle le suit en rampant, léchant le sol derrière ses pas. 

 

Il s'asseoit dans le canapé. Elle attend ses instructions : Dégage, va faire à manger, nous avons des invités tout à l'heure. 

 

 

Elle s'éloigne à quatre pattes. 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 4 mai 7 04 /05 /Mai 08:00

 

- De dix tu viens de passer à 20. 

 

- Monsieur, je vous en prie... 

 

- 30. On continue ? 

 

- Non. Punissez-moi Monsieur. 

 

- 50

 

- Vous avez raison Monsieur. Je suis une misérable. Je mérite la punition que vous voudrez bien me donner. Je suis une chienne, une trainée, une bonne à rien. Je vous demande de bien vouloir me corriger. Merci pour votre grande bonté Monsieur. 

 

- On va pouvoir commencer. Il prend une large et longue règle en bois, d'environ 50 centimètre. Et il commence : 

 

Splatch !... AAAAHHHH ! AAAH !...

 

Il reprend : "Celui-là compte pour dix. Qu'est-ce qu'on dit ?"

 

- 10. Merci Monsieur

 

Puis il continue. Plus doucement, mais plus longuement. La punition va jusqu'à son terme. Sans une pause. 

 

Une fois terminée, il laisse du mou dans la corde. Elsa peut reposer ses pieds sur le sol " Merci Monsieur. Merci beaucoup Monsieur". 

 

Le sol est maculé de merde. Pendant la correction et suite au plug précédemment inséré, Elsa s'est vidée. Elle patauge dedans mais n'ose rien dire. 

 

Il lui ordonne de s'allonger sur le dos et de lever les jambes. Elle s'exécute. Il lui ramène un concombre et elle doit se l'enfoncer. Si elle n'y parvient pas, c'est lui qui le fera. Mieux vaut qu'elle le fasse elle-même. Elle gesticule, se contorsionne, essaie mais n'y arrive pas : "Monsieur, s'il vous plait, dans votre grande bonté, me permettez-vous de me mettre à quatre pattes comme une chienne pour que je puisse m'enfoncer ce concombre dans le cul ?"

 

- Vas-y, fais le, sale catin prête à tout. 

 

- Merci pour votre grande bonté Monsieur. Elle se met en position, essaie à nouveau, n'y parvient pas plus : "Monsieur, je vous demande pardon. Je vous en prie, puis-je encore changer de position et m'asseoir dessus ?

 

  • Combien de fois tu vas changer la consigne de départ ? Fais-le et dépêche-toi : ma patience a des limites. 

 

Elle s'accroupit sur le légume, mais c'est difficile, il est trop large pour elle et sa longueur ne simplifie pas les gestes à faire. Elle abandonne. Elle sait qu'elle sera corrigée pour ça : "Je vous demande pardon Monsieur. Je suis désolée. Je n'y arrive pas. Je ferai tout pour vous. Regardez... Et elle se roule dans la fange, la prend dans ses mains, l'étale sur ses seins, son visage. "Je vous en prie, je ferai tout ce que vous voulez." Elle s'approche en rampant visage au sol et cul en l'air. Prête à lui lécher les pieds et les couilles par dessous ses jambes. 

 

- J'aurais du m'en douter. Vraiment bonne à rien. Faut que je fasse tout moi-même. Et puis, tu es crade, sale truie. Dégage, on réglera ça plus tard. Pour l'instant, tu restes à quatre pattes. Tu vas nettoyer ta merde sur sol, à l'eau chaude. Et tu te passeras à l'eau froide. Tu fais ça nickel et tu respectes mes instructions. Je ne veux pas avoir à te surveiller. Et dépêche toi. 

 

Elsa obéit. Elle part chercher un seau, une brosse, une serpillère. Elle s'interroge : doit-elle enlever ou laisser le reste de chemise salie qu'elle porte toujours sur les épaules ? Et le soutien-gorge ? Si elle décide quoi que ce soit sans permission, il dira qu'elle est en tort. Si elle lui demande, il pourra lui reprocher de le déranger alors qu'il l'avait envoyée travailler. 

 

Aux trois quarts nue, à quatre pattes, sale, fatiguée, battue et humiliée, elle passe devant la porte d'entrée... 

 

 

 

-----

 

A vous de continuer cette histoire dans les commentaires. 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 27 avril 7 27 /04 /Avr 08:00

- Mieux que ça. Faut vraiment tout de dire. D'abord tu demande pardon de ne pas t'exprimer correctement. Ensuite tu me remercie pour ma bonté à m'occuper de toi qui ne mérite même pas mon regard. Je t'écoute. 

 

- Oui Monsieur. Pardon Monsieur. Je vous remercie pour votre bonté... 

 

Il l'interrompt. "C'est tout ce dont tu es capable ? Bonne à rien ! J'espère qu'au moins maintenant tu vas être sage. Je n'en ai pas fini avec toi. Tu as intérêt à te tenir à carreau. Commence par t'enfiler ça dans le trou du cul." Il lui présente un plug anal. Tu t'asseois dessus et tu te l'enfonces. 

 

 

 

 

Il met du lubrifiant sur l'objet et Elsa s'exécute. Il lui faut faire quelques vas et vient et finalement elle parvient à s'asseoir dessus. 

 

- Voici au moins une bonne chose de faite. Suis moi, on va s'amuser. Il l'entraine par la corde fixée à son collier. Maintenant je vais attacher cette corde à l'anneau que tu vois au plafond. Et cette fois-ci, tu ne vas pas bouger pendant que je le fais. Est-ce bien clair ? 

 

- Oui Monsieur. 

 

Il fixe la corde et tire un peu. Elsa se retrouve sur la pointe des pieds. "Voilà, tu es bien comme ça. Au fait, comme je ne t'ai pas permis d'ôter ton gode, tu as intérêt à le garder dans ton trou du cul."

 

Elsa est debout, maintenue par son collier sur la pointe des pieds. Et elle sent déjà le plug glissant hors de son orifice. Elle tente de le maintenir avec les mains. 

 

- Maintenant je vais t'apprendre à me parler correctement. Tu veux bien ? 

 

- Oui Monsieur. 

 

Elle reçoit un coup de baguette sur le ventre "Tu crois que cela me suffit ?"

 

- Non Monsieur. Pardon Monsieur. 

 

Second coup de baguette. 

 

- Je vous demande pardon Monsieur. 

 

- C'est mieux. On recommence. Je vais t'aider. Lorsque je te demande si tu veux bien, tu réponds : "Oui Monsieur. Bien sûr Monsieur. Vos désirs sont des ordres. Ou bien encore : "Je ferai tout ce que vous voudrez". Tu veux bien ? 

 

- Oui Monsieur. Bien sûr Monsieur. Vos désirs sont des ordres. 

 

- Bien... Il s'approche. Caresse ses seins. Les lèche. Caresse son ventre. Caresse sa chatte. Il enfonce un doigt... avec lequel il fait une prise. 

 

  • Ahhh !... Vous me faites mal ! 

 

- Je sais. Et alors ? Ton avis ne compte pas. En plus, je viens de te caresser... Tu m'as remercié pour ma grande bonté ? 

 

- Non Monsieur. Pardon Monsieur... Je vous demande pardon Monsieur. Il pince sa chatte. Je vous demande pardon Monsieur. J'ai oublié de vous remercier. Je vous remercie pour votre grande bonté. 

 

- Continue. Je suis trop bon avec toi. Tu ne mérites pas mes caresses. 

 

- Oui Monsieur. Vous avez raison Monsieur. Vous êtes trop bon avec moi. Je ne mérite aucune des caresses que vous avez bien voulu me donner. 

 

Et c'est à ce moment là que le plug tombe sur le sol. Accompagné d'un écoulement anal le long de ses jambes, puis par terre. 

 

- Bravo. Regarde ce que tu viens de faire ! Non seulement tu enlève le plug sans permission, mais en plus tu salis tout. Tu es une truie !

 

- Je vous demande pardon Monsieur. Je ne l'ai pas fait exprès. Il est sorti tout seul Monsieur. Pardon, s'il vous plait... 

 

- Silence ! D'abord tu désobéis, ensuite tu me contredis ? Tu es une misérable ! Dis le. 

 

- Oui Monsieur. Vous avez raison Monsieur. Je vous demande pardon Monsieur. Je suis une misérable. Je vous en prie, ne me... 

 

- Ferme la. Tu es en tort et tu le sais. Demande-moi de te corriger. 

 

- Monsieur. Non... 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés