Dimanche 29 juin 7 29 /06 /Juin 08:00

Le gode disparait. 

 

Les spectres se transforment : ce ne sont plus seulement des visages, ils ont des corps. Bras sans mains. Sexes gigantesques. Ils se pressent sur moi. Et ils m'enfilent. En même temps et à la chaine. Ils me défoncent la chatte, le cul, la gorge. Ils collent chacun leur tour, sur mon visage d'énormes couilles molles. Je sais déjà que plus tard je devrais les leur bouffer avec avidité. Mais pour l'heure ils me baisent. Ils se servent avec force et je perds la notion du temps, de l'espace. Je ne perçois plus ce qui m'entoure. Je m'évanouis. Ou je m'endors. 

 

Je m'éveille, cotonneuse. Le corps engourdi semblant nager dans de la gelée. Semblant n'être plus. Reste ma tête. Toute ma tête. Ressentant toute l'horreur de ma situation. Ressentant la douleur. Ressentant l'humiliation, la honte, le dégout. Toute ma tête, reliée à un corps engourdi.

 

Et puis, tout autour, des culs. Des culs et des couilles monstrueuses. Je sais ce que je dois faire. 

 

Je presse mon visage entre ces fesses. Les unes après les autres. Leurs couillent s'aplatissent sur ma face. Mon nez dans leur cul. Je lèche en salivant abondamment. Puis je glisse ma langue dans leurs raies. Puis je leur bouffe l'anus. Encore. Et encore. 

 

Je m'étourdis. Je perds conscience. 

 

Je m'éveille, en apesanteur, dans une gigantesque pièce vide baignée de lumière. Des spots braqués sur moi. Un, en particulier, chauffe ma chatte et la fait couler. 

 

Je m'éveille un peu plus et je réalise : tout autour d'immenses écrans projettent des vues de mon corps. Mon anus, ma chatte, mes seins, ma bouche, mes yeux. Tout. Tout en très gros plan. Respirant. Palpitant. 

 

Et les écrans se multiplient. 

 

Et les détails se multiplient. 

 

L'intérieur de mon nez, de ma bouche, de mes oreilles. L'intérieur de mon cul, l'intérieur de mon sexe... 

 

De minis caméras infiltrées dévoilent les moindres recoins de mon intimité. 

 

Et puis... stop ! Pfiouu ! 

 

Tout disparait. 

 

A la place, une entreprise de nettoyage est commencée. De l'eau me pénètre, me pénètre, me remplit par l'anus. 

 

Un bouchon est posé. 

 

Et le temps passe. Long, long, long. Je me tortille. Je crie. Je pleure. Je hurle. 

 

Je peux enfin me libérer. 

 

Des centaines de regards inquisiteurs, méprisants, malfaisants, posés sur moi. 

 

Foin de pudeur et de honte ! Je suis trop heureuse de pouvoir me soulager. Je ne pourrai de toutes façons pas faire autrement. Je laisse exploser mon jeyser. 

 

Je me réveille. Je suis attachée sur un lit trempé. Bras et jambes écartées. 

 

Quelqu'un me bouffe la chatte. 

 

Quelqu'un d'autre manoeuvre un long et large baton au bout arrondi dans mon cul, le faisant aller et venir. 

 

J'ai des pinces sur les seins. 

 

 

Qui suis-je ? 

 

Qu'est-ce que je fais là ? 

 

Que m'est-il arrivé ? 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Dimanche 22 juin 7 22 /06 /Juin 08:00

-  Nous avions rendez-vous et tu es en retard.

 

Pensée silencieuse : Nous n'avions pas rendez-vous et je ne te connais même pas. Qu'est-ce que je fais là ? 

 

- Met toi en position, là, les bras sur le bureau pour recevoir ta correction. Soulève ta jupe. Baisse ta culotte. Et cambre-toi.

 

Pensée silencieuse : Et puis quoi encore ? 

 

Mais deux mains puissantes, invisibles, me saisissent par les bras. Et je me retrouve le torse collé sur le bureau. 

 

Une voix tonitruante répète l'ordre. Il n'y a personne pourtant. 

 

J'ai peur. J'obéis. Des éclats de rire fusent. Je sens des dizaines de doigts sur mes fesses, entre mes cuisses. Ils tapotent, fouillent, écartent mon intimité.

 

Puis, l'instant d'après, plus rien. 

 

- Tu vas recevoir ta correction pour m'avoir fait attendre.

 

Pensée silencieuse : Je n'ai fait attendre personne. Qu'est-ce que c'est que ce délire ? 

 

Et les coups pleuvent sur les fesses : "Non ! Ahhh ! S'il-vous-plait !"

 

La voix gronde : Silence !

 

Les coups s'arrêtent. 

 

Apparaît devant moi un tabouret. 

 

Sur le tabouret, un gode. 

 

- Maintenant tu t'asseois là-dessus. Et tu te l'enfiles dans le cul. Plus tu seras longue et plus la suite de ta correction sera terrible. Suce le avant. Bouffe le correctement. Et met y du coeur. Nous te regardons et jugerons ta performance. Action !

 

Une foule de visage agressifs apparaissent. Ils observent. Pas le temps de penser. Obéir ? Ne pas obéir ? Fuir ? Comment ?

 

Peur. 

 

 

 

- C'est trop long ! Tu devrais déjà être en train de bouffer le gode. Il devrait être trempé de ta bave. Punition ! Position ! Tu as le choix : ou tu restes bien gentiment sans bouger pour encaisser, ou ce sera multiplié d'autant. Tu n'est pas encore en position ? Bien ! Les dix premiers sont gratuits. 

 

Et surgi  de je ne sais où, un fouet commence son oeuvre. Je me mets à quatre patte. Je pose la tête au sol pour lever mon cul. Je me cambre. J'écarte mes cuisses. 

 

- Bien ! Nous allons pouvoir commencer. Dix. Et tu comptes. 

 

- Ahhh ! Un. Deux... Trois... C'est trop dur. Je quitte ma position pour me recroqueviller. 

 

- On recommence ! Vingt. Et tu comptes. 

 

Tenir. Ne pas bouger. Tenir. Ne pas bouger. Tenir. Ne pas bouger. Pleurs. 

 

Puis de nouveau le tabouret. Me précipiter. Le bouffer consciencieusement. Le lécher, saliver. Vite. Bien. Au fond de ma gorge. Baver. Devant ces visages spectraux. Qui apparaissent. Qui disparaissent. Qui rient. Qui bavent. Qui me touchent le cul. Qui me touchent les seins.

 

M'empaler sur le gode. Ne pas y arriver. Essayer encore. Frénétiquement. Comme si j'en mourrais d'envie. Et ces doigts qui me palpent. Longs. Fins. Véritables cordes vivantes glissant sur mon corps. Entourant mes cuisses tels des serpents rampants. Enserrant mes seins. Fouillant ma chatte. 

 

ça y est, j'ai réussi. Le gode est dans mon cul. L'exploration de mon corps ne finit pas pour autant. 

 

Ils pénètrent dans mes oreilles. Ils pénètrent dans mon nez. J'étouffe. 

 

Soudain, tout s'arrête. Je suis soulevée dans les airs. 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Dimanche 15 juin 7 15 /06 /Juin 08:00

 

Joe commence. Il la prend par la chatte. il la bourre soigneusement. Balourd, excité, lui pétrit violemment les seins pour patienter. Et chacun la baise : une chatte étroite, chaude, brulante. Et les cris étouffés de Célia : "Oui, on sait que tu aimes ça. Attend, y'en a encore."

 

Les quatre hommes sont passés dans la pompe à foutre, reste à s'occuper de son trou à merde. Il est bien serré. 

 

Ils retournent Célia et la plaquent face contre la table. Balourd repose son gros cul sur son dos pour la maintenir. 

 

Joe commence. Il empoigne les fesses à deux mains. Il les écarte. Il crache sur l'anus : "Voilà un bon trou bien serré pour ma bite". Il fait aller son gland sur la rosette : "Allez, tu vas t'ouvrir et me laisser entrer. C'est compris ?" Il s'accroche aux hanches de Célia, il pousse, force et pénètre : "Oh putain, c'est bon ! Oh, oui, vas-y, gueule salope, tu m'excites !" Et il l'encule encore plus profond. Il va et vient. Va et vient encore. Et encore. Tout fier de lui démonter le cul à fond. Au moment de gicler, il se retire pour lâcher sa purée sur la raie. Ensuite il la récolte à la cuillère. Il met le sperme dans un verre. Après la besogne, ils récompenseront la catin en lui faisant boire leur jus. Ensuite c'est le tour de Max, puis Karl. Et c'est balourd, le plus membré qui termine, ainsi il n'élargit pas le fourreau avant que ses amis n'en profitent. 

 

C'est fini. Les quatre ont bien baisé Célia, par la chatte et par le cul : "N'est-ce pas salope que c'était bon ?" Ils la relèvent, l'asseoient sur un mini tabouret. "Bois maintenant : les chiennes ça aime le foutre." Joe sort une caméra et la filme : "Voilà, c'est bien : tout avalé sans discuter. On savait bien que tu allais adorer ça." Max lui accroche une pancarte autour du cou. C'est écrit : "J'aime les bites". Puis, chacun leur tour, toujours en filmant, ils lui collent leur queue dans la gorge, jusqu'à la garde. Lorsque Célia vomit elle doit le ravaler ou bien se rouler dedans avant de nettoyer de sa langue le sol qu'elle a sali. 

 

 

Voilà. Célia a été corrigée et baisée par les trois trous. Il reste à l'élargir. Ils la font entrer dans une cage minuscule. Elle s'y retrouve enfermée à quatre pattes, sans pouvoir bouger. Une fois là, ils l'équipent : des écarteurs sont insérés. Un dans le trou qui pète. Et un autre dans la moule. Au fur et à mesure le diamètre sera élargi. 

 

Mais l'heure passe et les estomacs se creusent. Balourd réalise qu'il est déjà tard : ils se sont occupés de la pouf et ils n'ont pas mangé. Balourd a faim. A cause de cette garce personne n'a songé à préparer quoi que ce soit à manger : "Faudrait peut-être que la bonniche s'en occupe, au lieu de faire la feignasse juste capable d'attendre qu'on la baise." Alors ils la sortent de sa cage. Elle doit les remercier en leur léchant les pieds. Puis ils l'envoient en cuisine, les fers aux pieds et des poids accrochés à la chatte. 

 

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A vous d'écrire la suite de cette histoire. 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Dimanche 8 juin 7 08 /06 /Juin 08:00

 

L'un des hommes s'adressant au patron : "Combien elle te doit la truie ? Ah oui, tant que ça ! Ok, c'est bon : on te paie". Puis se tournant vers Célia, il lui met des billets sous le nez : "Tu vois salope : on rembourses tes dettes. Alors tu vas nous en donner pour notre argent et nous remercier. T'avises pas d'essayer de nous rouler, y'en a pour un paquet d'oseille !"

 

- Pour les pipes, on verra plus tard. Pour l'instant on va t'attendrir un peu la peau. Histoire que enregistres qu'il ne faut pas faire de dettes. Et histoire aussi qu'ensuite tu sois bien sage avec tes bienfaiteurs qui ont payé pour toi. Mais d'abord, tire la langue. Et voilà : une pince ! Ce serait bien un anneau pour pouvoir t'attacher par là ! Voilà, tu commences à baver comme la truie que tu es et on ne risque pas de t'entendre. 

 

- Attend, attend, Joe ! Célia est à genoux au milieu du cercle masculin. Je veux lui en mettre deux là : regarde ses narines ! Rires gras. 

 

- Allez, debout ! Célia est relevée par la chatte. 

 

- Tu as payé combien, Max ? Qu'est-ce que tu veux ? Dix coups de baguettes sur les seins ? Ok. Attend : je lui met un collier et je l'attache à l'anneau du plafond. On va la faire danser ! 

 

C'est parti ! Qui a droit à quoi ? Et si on la jouait aux dés ? Ah oui, mais pour que ce soit drôle, faut quatre dès au moins ! Ok, ça marche, on fait comme ça. Quatre fois six. Quatre fois six. Quatre fois six. Quatre fois six ! Hey, truands ! Qui a sorti les dés truqués ? Eclats de rires. 

 

Ceinture. Fessées. Martinet. Règle en fer. Sur les fesses. Sur la chatte. Sur les seins. Sur les doigts. Sur la plante des pieds. 

 

  • Voilà, c'était bien, ça, pour commencer ! Qu'est-ce que tu en penses, sale putain ? Tu nous as bien excité, chienne ! On va se soulager un petit peu. 

 

 

Joe détache Célia. Deux la plaquent sur le dos sur une table. Célia déjà épuisée réagit à peine. "Ah, ah, tu es couverte de bave ! Je t'enlève les pinces." Puis de ses grosses paluches Balourd étale la bave et la morve sur le visage et le torse de Célia. Puis il baisse son froc et s'asseoit sur sa tête pour la maintenir. Il lui colle ses larges fesses et ses couilles sur la face, l'étouffant presque : "T'inquiète pas, là c'est que pour te tenir. Plus tard tu nous nettoiera quand on sortira des chiottes. C'est tout ce qu'une trainée comme toi mérite." Karl ramène sa fraise : Fais gaffe avec ton gros cul, laisse la au moins respirer. Si tu nous la tue, elle ne pourra plus payer ce qu'elle nous doit. Et j'ai bien l'intention d'en profiter jusqu'au bout."

 

 

Joe : "Pour l'instant on va se la baiser. Tant qu'elle est encore bien étroite." Il s'approche de l'oreille de Célia : "Et quand on aura bien défoncé tous tes trous, alors on prendra tout le temps nécessaire pour te les élargir au maximum."

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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Dimanche 1 juin 7 01 /06 /Juin 08:00

- Espèce de sale pute ! Explique-moi pourquoi il manque de l'argent dans ma caisse. 

 

Mais Celia n'en sait rien. Celia est bien incapable d'expliquer ce qui s'est passé. Cela n'empêche pas son patron de la considérer comme responsable. Manque t-il vraiment de l'argent dans la caisse ? 

 

Il l'entraine dans l'arrière boutique. Puis dans la réserve : "Je vais te corriger, garce ! Tu vas apprendre qu'on ne me vole pas. Et ensuite tu vas me rembourser ce que tu me dois, avec les intérêts."

 

Il attrape une corde. Il lui lie les poignets dans le dos. Il la gifle. Il soulève son pull souple et le passe par dessus sa tête. Ce faisant il découvre sa poitrine. Il lui gifle les seins. Il les pince. Il les empoigne. Il enlève le pull de dessus sa tête et lui fourre un chiffon dans la bouche. Il relève à nouveau le pull. Il lui baisse d'un coup le pantalon et la culotte. Il tire sur la chatte. Il lui met un doigt. Il 'asseoit sur une chaise tout en attrapant Célia par le bras. Il la retourne sur ses genoux. Il la fesse vigoureusement de ses mains en forme de battoir. Puis il la doigte. Puis il lui met un doigt dans le cul. 

 

Puis il l'entraine par les cheveux vers une autre pièce. Il pousse une lourde porte en fer. Là, plusieurs hommes jouent aux cartes : "Regardez ce que je vous amène ! Cette salope m'a volé. Elle doit me rembourser. Je vous la vend."

 

Il pousse Célia vers le centre de la pièce. Les hommes se lèvent, l'entourent. Elle est les seins à l'air, un chiffon toujours dans la bouche, son pull lui recouvrant la tête, pantalon et culotte sur les chevilles. Les commentaires fusent : "Attend, faut qu'on voie la marchandise. Qu'est-ce qu'elle vaut ta pute ?"

 

 

 

Ils soupèsent les seins : "Oui, ça va : elle a des bonnes mamelles. Et puis y'a des tétons." Ils la soulèvent, la posent sur une table et continuent : "Regardons un peu cette chatte. Ce que ses lèvres sont petites ! On va lui étirer ! Et cette chatte, ce cul : ils sont bien étroit. De quoi bien la sentir quand on va l'enculer avant de l'élargir. Et sa bouche, faut qu'on voie sa bouche ! Ils la remettent au sol. Une lame de couteau vient ouvrir le pull avant que des mains l'arrachent. Le chiffon est ôté de la bouche de Célia qui, en pleurs, commençait à étouffer : "Ah, voilà la gueule de la poufiasse ! Regardez-moi comme elle est rouge. Comme elle souffle. Comme elle est sale. Attends, je vais te nettoyer". Un des salopards lui colle de grands coups de langue sur les joues, là où les larmes et le maquillage se mélangeaient. "Ouvre ta gueule, qu'on regarde !" Une petite lampe torche vient éclairer sa gorge. Un autre ordonne : "Ouvre mieux que ça !" Il lui colle une règle sur la langue, vers le fond de la gorge. Célia a un haut le coeur. "Oui, elle va pouvoir nous faire de bonne pipes cette chienne !

 

 

(A suivre)

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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