Dimanche 8 juin 7 08 /06 /Juin 08:00

 

L'un des hommes s'adressant au patron : "Combien elle te doit la truie ? Ah oui, tant que ça ! Ok, c'est bon : on te paie". Puis se tournant vers Célia, il lui met des billets sous le nez : "Tu vois salope : on rembourses tes dettes. Alors tu vas nous en donner pour notre argent et nous remercier. T'avises pas d'essayer de nous rouler, y'en a pour un paquet d'oseille !"

 

- Pour les pipes, on verra plus tard. Pour l'instant on va t'attendrir un peu la peau. Histoire que enregistres qu'il ne faut pas faire de dettes. Et histoire aussi qu'ensuite tu sois bien sage avec tes bienfaiteurs qui ont payé pour toi. Mais d'abord, tire la langue. Et voilà : une pince ! Ce serait bien un anneau pour pouvoir t'attacher par là ! Voilà, tu commences à baver comme la truie que tu es et on ne risque pas de t'entendre. 

 

- Attend, attend, Joe ! Célia est à genoux au milieu du cercle masculin. Je veux lui en mettre deux là : regarde ses narines ! Rires gras. 

 

- Allez, debout ! Célia est relevée par la chatte. 

 

- Tu as payé combien, Max ? Qu'est-ce que tu veux ? Dix coups de baguettes sur les seins ? Ok. Attend : je lui met un collier et je l'attache à l'anneau du plafond. On va la faire danser ! 

 

C'est parti ! Qui a droit à quoi ? Et si on la jouait aux dés ? Ah oui, mais pour que ce soit drôle, faut quatre dès au moins ! Ok, ça marche, on fait comme ça. Quatre fois six. Quatre fois six. Quatre fois six. Quatre fois six ! Hey, truands ! Qui a sorti les dés truqués ? Eclats de rires. 

 

Ceinture. Fessées. Martinet. Règle en fer. Sur les fesses. Sur la chatte. Sur les seins. Sur les doigts. Sur la plante des pieds. 

 

  • Voilà, c'était bien, ça, pour commencer ! Qu'est-ce que tu en penses, sale putain ? Tu nous as bien excité, chienne ! On va se soulager un petit peu. 

 

 

Joe détache Célia. Deux la plaquent sur le dos sur une table. Célia déjà épuisée réagit à peine. "Ah, ah, tu es couverte de bave ! Je t'enlève les pinces." Puis de ses grosses paluches Balourd étale la bave et la morve sur le visage et le torse de Célia. Puis il baisse son froc et s'asseoit sur sa tête pour la maintenir. Il lui colle ses larges fesses et ses couilles sur la face, l'étouffant presque : "T'inquiète pas, là c'est que pour te tenir. Plus tard tu nous nettoiera quand on sortira des chiottes. C'est tout ce qu'une trainée comme toi mérite." Karl ramène sa fraise : Fais gaffe avec ton gros cul, laisse la au moins respirer. Si tu nous la tue, elle ne pourra plus payer ce qu'elle nous doit. Et j'ai bien l'intention d'en profiter jusqu'au bout."

 

 

Joe : "Pour l'instant on va se la baiser. Tant qu'elle est encore bien étroite." Il s'approche de l'oreille de Célia : "Et quand on aura bien défoncé tous tes trous, alors on prendra tout le temps nécessaire pour te les élargir au maximum."

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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