Dimanche 15 juin 7 15 /06 /Juin 08:00

 

Joe commence. Il la prend par la chatte. il la bourre soigneusement. Balourd, excité, lui pétrit violemment les seins pour patienter. Et chacun la baise : une chatte étroite, chaude, brulante. Et les cris étouffés de Célia : "Oui, on sait que tu aimes ça. Attend, y'en a encore."

 

Les quatre hommes sont passés dans la pompe à foutre, reste à s'occuper de son trou à merde. Il est bien serré. 

 

Ils retournent Célia et la plaquent face contre la table. Balourd repose son gros cul sur son dos pour la maintenir. 

 

Joe commence. Il empoigne les fesses à deux mains. Il les écarte. Il crache sur l'anus : "Voilà un bon trou bien serré pour ma bite". Il fait aller son gland sur la rosette : "Allez, tu vas t'ouvrir et me laisser entrer. C'est compris ?" Il s'accroche aux hanches de Célia, il pousse, force et pénètre : "Oh putain, c'est bon ! Oh, oui, vas-y, gueule salope, tu m'excites !" Et il l'encule encore plus profond. Il va et vient. Va et vient encore. Et encore. Tout fier de lui démonter le cul à fond. Au moment de gicler, il se retire pour lâcher sa purée sur la raie. Ensuite il la récolte à la cuillère. Il met le sperme dans un verre. Après la besogne, ils récompenseront la catin en lui faisant boire leur jus. Ensuite c'est le tour de Max, puis Karl. Et c'est balourd, le plus membré qui termine, ainsi il n'élargit pas le fourreau avant que ses amis n'en profitent. 

 

C'est fini. Les quatre ont bien baisé Célia, par la chatte et par le cul : "N'est-ce pas salope que c'était bon ?" Ils la relèvent, l'asseoient sur un mini tabouret. "Bois maintenant : les chiennes ça aime le foutre." Joe sort une caméra et la filme : "Voilà, c'est bien : tout avalé sans discuter. On savait bien que tu allais adorer ça." Max lui accroche une pancarte autour du cou. C'est écrit : "J'aime les bites". Puis, chacun leur tour, toujours en filmant, ils lui collent leur queue dans la gorge, jusqu'à la garde. Lorsque Célia vomit elle doit le ravaler ou bien se rouler dedans avant de nettoyer de sa langue le sol qu'elle a sali. 

 

 

Voilà. Célia a été corrigée et baisée par les trois trous. Il reste à l'élargir. Ils la font entrer dans une cage minuscule. Elle s'y retrouve enfermée à quatre pattes, sans pouvoir bouger. Une fois là, ils l'équipent : des écarteurs sont insérés. Un dans le trou qui pète. Et un autre dans la moule. Au fur et à mesure le diamètre sera élargi. 

 

Mais l'heure passe et les estomacs se creusent. Balourd réalise qu'il est déjà tard : ils se sont occupés de la pouf et ils n'ont pas mangé. Balourd a faim. A cause de cette garce personne n'a songé à préparer quoi que ce soit à manger : "Faudrait peut-être que la bonniche s'en occupe, au lieu de faire la feignasse juste capable d'attendre qu'on la baise." Alors ils la sortent de sa cage. Elle doit les remercier en leur léchant les pieds. Puis ils l'envoient en cuisine, les fers aux pieds et des poids accrochés à la chatte. 

 

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A vous d'écrire la suite de cette histoire. 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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