Dimanche 1 juin 7 01 /06 /Juin 08:00

- Espèce de sale pute ! Explique-moi pourquoi il manque de l'argent dans ma caisse. 

 

Mais Celia n'en sait rien. Celia est bien incapable d'expliquer ce qui s'est passé. Cela n'empêche pas son patron de la considérer comme responsable. Manque t-il vraiment de l'argent dans la caisse ? 

 

Il l'entraine dans l'arrière boutique. Puis dans la réserve : "Je vais te corriger, garce ! Tu vas apprendre qu'on ne me vole pas. Et ensuite tu vas me rembourser ce que tu me dois, avec les intérêts."

 

Il attrape une corde. Il lui lie les poignets dans le dos. Il la gifle. Il soulève son pull souple et le passe par dessus sa tête. Ce faisant il découvre sa poitrine. Il lui gifle les seins. Il les pince. Il les empoigne. Il enlève le pull de dessus sa tête et lui fourre un chiffon dans la bouche. Il relève à nouveau le pull. Il lui baisse d'un coup le pantalon et la culotte. Il tire sur la chatte. Il lui met un doigt. Il 'asseoit sur une chaise tout en attrapant Célia par le bras. Il la retourne sur ses genoux. Il la fesse vigoureusement de ses mains en forme de battoir. Puis il la doigte. Puis il lui met un doigt dans le cul. 

 

Puis il l'entraine par les cheveux vers une autre pièce. Il pousse une lourde porte en fer. Là, plusieurs hommes jouent aux cartes : "Regardez ce que je vous amène ! Cette salope m'a volé. Elle doit me rembourser. Je vous la vend."

 

Il pousse Célia vers le centre de la pièce. Les hommes se lèvent, l'entourent. Elle est les seins à l'air, un chiffon toujours dans la bouche, son pull lui recouvrant la tête, pantalon et culotte sur les chevilles. Les commentaires fusent : "Attend, faut qu'on voie la marchandise. Qu'est-ce qu'elle vaut ta pute ?"

 

 

 

Ils soupèsent les seins : "Oui, ça va : elle a des bonnes mamelles. Et puis y'a des tétons." Ils la soulèvent, la posent sur une table et continuent : "Regardons un peu cette chatte. Ce que ses lèvres sont petites ! On va lui étirer ! Et cette chatte, ce cul : ils sont bien étroit. De quoi bien la sentir quand on va l'enculer avant de l'élargir. Et sa bouche, faut qu'on voie sa bouche ! Ils la remettent au sol. Une lame de couteau vient ouvrir le pull avant que des mains l'arrachent. Le chiffon est ôté de la bouche de Célia qui, en pleurs, commençait à étouffer : "Ah, voilà la gueule de la poufiasse ! Regardez-moi comme elle est rouge. Comme elle souffle. Comme elle est sale. Attends, je vais te nettoyer". Un des salopards lui colle de grands coups de langue sur les joues, là où les larmes et le maquillage se mélangeaient. "Ouvre ta gueule, qu'on regarde !" Une petite lampe torche vient éclairer sa gorge. Un autre ordonne : "Ouvre mieux que ça !" Il lui colle une règle sur la langue, vers le fond de la gorge. Célia a un haut le coeur. "Oui, elle va pouvoir nous faire de bonne pipes cette chienne !

 

 

(A suivre)

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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