Dimanche 26 janvier 7 26 /01 /Jan 08:00


Tu prends ta voiture. Te rends jusque dans cette maison isolée, impasse de l'amour. Te gares. Descends. Ramasses le paquet devant la porte. Ouvres, puis refermes la porte derrière toi. Tu poses un chèque en blanc sur la commode de l'entrée et mets par dessus cette très jolie pierre presse-papiers, posée là juste exprès.

 

Tu ouvres le colis. Découvres son contenu. Ta respiration s'accélère t-elle ? Ton souffle te semble t-il coupé ? Quelles sont tes instructions ? Peu de choses en somme. Je le sais. C'est moi qui te les ai fait parvenir.

 

Alors, quels sont donc tes impératifs ? 

 

 

D'abord, je ne veux pas que tu puisses me voir. Alors, il te faut mettre cette cagoule en latex masquant parfaitement tes yeux. Tu dois aussi te lier toi-même. Des menottes te sont fournies. Tu t'arranges comme tu veux, mais il faut que tu sois attaché, sans pouvoir aucunement te libérer et aveugle. Je viendrais m'assurer que tout est bien comme je l'ai ordonné.

 

Et donc, tu fais ce que j'ai décidé. Il te faut me faire confiance, entièrement. Ceci, sans me connaître. Sans rien savoir de moi. Je tiens à ce qu'il en soit ainsi. Je t'ai simplement assuré que je n'ai pas l'intention de te torturer. Ceci ne fait pas partie de mon programme. Je veux m'assurer que tu seras l'esclave parfait, tout en gardant un anonyma total. Je cherche aussi à me protéger. Sait-on jamais, tu pourrais être en réalité un dangereux sadique. J'ai besoin d'être certaine que personne d'autre n'est mêlé à ça. Que tu as su tenir ta langue. J'espère bien que tu n'as pas cherché à couvrir tes arrières ! Si tel était le cas, je disparaitrais sans appel.

 

Une nouvelle heure passe depuis que tu as réalisé ce que je t'ai demandé. Quelle est donc ta perception du temps ainsi prisonnier, de surcroit privé de ta vue ? Une fille arrive. Elle te trouve à l'étage. Tu as choisi de t'installer sur le lit. Tu es donc allongé, les bras levés retenus à un barreau. Tout est comme je le voulais. J'aurais dû en profiter, ordonner que tu sois pantalon baissé sur les chevilles. Sans slip. Mais nous avons tout notre temps. Aujourd'hui n'est qu'une première rencontre, pour vérifier ta fiabilité.

 

J'observe tranquillement de l'extérieur. C'est la fin de la journée. La fille a pour mission de te donner à boire, ce qu'elle fait. Ensuite, tu restes seul. Sans avoir la moindre idée de la suite du programme. Quelles sont donc tes pensées dans ces moments ? J'aimerais pouvoir les percer. Mais tout cela sera pour plus tard. Satisfaite, je m'en vais dormir à mon hôtel. Je t'abandonne là...

 

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Je vous laisse m'indiquer les suites de votre choix dans les commentaires. :)


Par XXX - Publié dans : Soumission masculine - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 22 janvier 3 22 /01 /Jan 08:00

 

 

Marianne est dans le lit. Allongée sur le côté. Son bras gauche dans le dos. Les seins nus. Léon empoigne sa culotte. La resserrant devant et derrière, il la tire brusquement entre les chairs. Puis, tout en le maintenant tirée vers le haut, de son autre main il prend fermement la chevelure de Marianne : « Salut ma pétasse, dit-il dans un souffle sur son visage. Tu ne m'attendais pas ? Ce n'est pas prudent de ne pas fermer ta porte à clefs. Tu m'as manqué. Montre-moi comme tu es chaude. Bouge ta chatte. Dépêche-toi. »

 

Marianne obéit et fait bouger son bassin d'avant en arrière. Marianne se sent excitée. Envie qu'il l'a prenne. Elle sait pourtant qu'il ne s'occupera pas de son plaisir. « Lève-toi » lui ordonne t-il. Lui, reste sur le lit : je veux te voir nue devant moi, salope excitée prête à tout pour que je la baise. Tu sais pourtant que je n'en ai rien à faire de toi. Tu sais que tu n'es rien qu'un trou dont je me sers. Si tu es bien sage peut-être que je te baiserais. Soulève tes seins avec les mains. Bouge ton corps. Chauffe-moi si tu veux que j'aie envie. Je vais te mettre des pinces sur les tétons.

 

 - Non, non, s'il-vous plait !... Elle protège sa poitrine de ses bras.

 

Il la gifle : « Tshhht ! Laisse-toi faire. Mets tes bras dans le dos. Voilà. ! Je me moque que tu ne les supportes pas. Tes mamelles de femelle en chaleur m'appartiennent. Tu as intérêt à laisser les pinces. Et maintenant montre-moi à quel point tu as envie que je te baise. Et assure : selon que j'estimerais que tu as été bonne ou non, je serais doux ou non. »

 

 

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Et Marianne fait son show. A quatre pattes sur le sol elle lève ses fesses face à Léon. Elle les fait bouger. Elle les écarte. Elle tortille du cul. Puis elle se tourne vers lui. Elle s'approche doucement, commence par caresser les pieds de Léon. Les embrasse doucement, puis les lèche à grands coups de langue, puis « S'il-vous plait : vous pouvez enlever les pinces ? »

 

Léon se relève à demi, sur son bras, le visage courroucé. Il l'amène vers lui en l'attrapant par les cheveux : « Tu m'emmerdes ! Tu crois que c'est le moment de te plaindre ? Tu dois obtenir que j'accepte de te baiser. Tu crois que c'est comme ça que tu vas y arriver ? »

 

Il lui arrache brusquement les pinces : «  Aahhh ! »

 

- Maintenant bouffe ma queue, sale pute !

 

Marianne se positionne entre les cuisses de Léon. Elle prend son sexe en bouche. Elle lèche le gland, la tige, les couilles. Elle met la bite dans sa gorge. Mais Léon ne crache pas. Elle remet la queue bien dans sa gorge et léon pose sa main sur la tête pour l'empêcher de se retirer. Marianne s'étouffe, bave. Léon ne jouit toujours pas :

 

- Tu n'y mets vraiment pas du tien, sale égoïste ! Tu sais ce que j'aime. Allez : dis les mots.

 

- Je suis une pute. Je suis une catin. J'aime me faire baiser. Je...

 

- Tu pourrais y mettre du coeur. Si ça ne marche pas comme ça, essaie autrement.

 

- Je... Tu es une larve. Tu es une merde. Tu es une pédale...

 

- Tsss ! Tu dis ça comme si tu pensais à autre chose. Tu n'en as vraiment rien à faire que je prenne mon pied. Tu n'en as rien à faire de moi. Allez, pousse toi : je vais faire un tour !

 

 

      Et Léon s'en va. Marianne reste là. 

 

Quelles sont leurs pensées respectives ? 

 

Qu'arrivera t-il au retour de Léon ? 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 19 janvier 7 19 /01 /Jan 08:00

 

Je recevais aussitôt le portrait exigé et les renseignements. Je ne fournissais aucune information en retour. Après tout, c'est moi qui dirigeais !

 

Et puisque tous les risques étaient pris par toi, que tous les efforts seraient à ta charge. Je décidais rapidement d'organiser une rencontre. Rapidement ? Oui.

 

 

15 janvier.

 

Très cher Paul.

 

Je veux que vous vous rendiez à Curiéroise, jeudi, dix-heures précises. Prenez une table au café du Mal-passant, rue des envies secrètes. Et attendez là.

 

Faites-moi parvenir un taxi et prévoyez une enveloppe afin de me dédommager pour mon déplacement, mes frais et le temps passé.

 

Leïla.


 

Taxi - Copie

 

 

 

Le jour dit, je me rends à la ville voisine. Prends le véhicule qui m'attend. M'arrête à quelques rues et vais à pied jusqu'au café. Je rentre, anonyme. M'installe au bar et observe, discutant de choses et d'autres avec les autres clients. Certains se demandent qui est ce type étrange restant là, immobile. Cela fait plusieurs heures qu'il est ainsi, regardant son verre, sans même lever les yeux.

 

Une fille entre. Elle traverse la salle et lui apporte un pli. Il la remercie. Ouvre la lettre. Lit. Se lève de table et sort en saluant. « Il n'a pas l'air net celui- là ! » dit un client.

 

Quand à moi, je reste là encore pas mal de temps. Je ris, discute, plaisante. Qui pourrait bien se douter que je te contrôlais ? Pour tous, je suis une fille sympathique passant par là. Enfin, pour ceux auxquels j'ai plu. Pour les autres, je serais simplement une personne antipathique. Ou bien de celles oubliées aussitôt. Comme si on ne les avait jamais vus. Il suffit de bien présenter pour que tous vous jugent normal.

 

Par contre, si vous avez le malheur de ne pas ressembler à tout le monde, pour une raison ou pour une autre, alors, c'en est fini de vous. En une seconde, vous voici, classé, catalogué. Et pour longtemps.

 

Mais la plupart du temps, cela ne change rien. Sortez de leur champ de vision et vous serez aussitôt oublié, effacé. Rayé de leur réalité. Et c'est aussi bien. Combien se souviendront t'avoir aperçu, ce jour ?

 

 

 

(A suivre)

 

 

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Amis lecteurs, partagez donc vos pensées immédiates dans les commentaires. 


Par XXX - Publié dans : Soumission masculine - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Jeudi 16 janvier 4 16 /01 /Jan 11:40

Il est 7 heures du matin. Léa est nue. Elle prend son petit-déjeuner. Elle est déjà passée sous la douche. Elle trouve qu'il fait chaud. 

 

Elle décide de téléphoner à Lucien : 

 

- Salut mon amour. Dis-moi : pourquoi n'es-tu pas dans mon lit ? 

 

- Parce que je t'ai dit que je ne veux plus te voir. Laisse-moi tranquille. 

 

- Voyons chéri : tu sais bien que je t'aime. Tu sais bien que je ferais n'importe quoi pour toi. D'ailleurs, j'ai mis mes boules de geisha. J'ai un plug dans l'anus. Comme tu m'as appris à le faire. Tout ça me manque. Viens me baiser. Viens avec tes copains comme tu l'a déjà fait. A quatre vous me prendrez. Vous m'utiliserez comme votre vide-couilles. Comme vous l'avez fait tant de fois. Mon amour, viens : je suis en manque. Mon cul t'attend. Il veut ta queue bien profond, bien fort. Il veut tes mains. Viens me doigter le cul. Et après je lécherai tes doigts. Vous pourrez me faire exactement tout ce que vous voudrez, tes potes et toi. Je suis la chienne que tu as dressé. 

 

Et pendant ce temps, Lucien commence à se caresser. Il ne pense pas à Lucie qui l'attend chez elle. Il commence à avoir une furieuse envie de baiser Léa. Mais Léa est une cinglée prête à n'importe quoi. Lucien y est peut-être pour quelque chose. Lorsqu'il l'a prise à Son service elle était toute jeune. A peine 20 ans et complétement inexpérimentée. Lucien avait envie de tout vivre et il en a bien profité. Il a fait à Léa tout ce qu'il était possible de faire. Il en a fait une bonne chienne, une bonne salope, une bonne putain et une véritable esclave. Il l'a parfois amené à l'obéissance à coup d'arguments frappants. Mais jamais Léa n'a cherché à s'échapper : elle était complétement sous son emprise. 

 

 

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Et puis un jour, Lucien a décidé que c'était terminé. Alors il l'a virée. Sans autre forme de procès. Il aurait pu la donner à un autre. Ou même la vendre. Peut-être que cela aurait été mieux pour Léa puisqu'elle était complétement détruite. Incapable de vivre autrement. Mais il ne s'est pas préoccupé d'elle. Et Léa est devenue complétement folle. 

 

N'empêche : elle baise bien cette salope. Et Lucie n'est pas à sa hauteur dans ce domaine. Rien à tirer de Lucie qui reste froide. Lucie qui arrive si bien à rester droite devant Lucien. D'ailleurs : il court, Lucien, derrière Lucie. Elle obtient ce qu'elle veut de lui. Lucien fait les courses, le ménage, se comporte comme un gentil toutou avec Lucie. Avec Lucie qui n'aime pas le sexe. Avec Lucie qui ne couche pas avec Lucien. 

 

Et Lucien craque : bon sang, il a bien envie de se refaire ce trou à bites qu'est Léa. 

 

Il se masturbe, se blanle un bon coup. Il crache. Mais rien ne le calme. Fichue envie de défoncer Léa. De la faire se trainer à terre, ramper et lécher ses pieds pour qu'il consente à lui donner un gros coup de bite. Envie d'attraper Léa par les bras, avant de la choper par la tignasse. Envie de la mettre à genoux et de lui coller sa queue tout au fond de la gorge. 

 

Oubliée Lucie qu'il peut juste prendre dans ses bras. 

 

Il ordonne à Léa d'allumer sa webcam. Elle obéit pour mieux l'attirer. 

 

Léa est à poil. Léa a un vibromasseur, mais ça ne lui suffit pas : Allez viens Lucien ! 

 

Léa lèche son vibro. Elle le lèche après se l'être mis dans la chatte. Elle le lèche après se l'être mis dans le cul. 

 

Elle l'avale goulûment, avidement. 

 

Et Lucien se paluche sérieusement : "Allez, viens ici Léa : je vais te faire ta fête !"

 

Mais pour une fois elle refuse : 

 

- Non, c'est toi qui va venir. Regarde, j'ai un cadeau pour toi. J'ai une soumise. Tu vas la baiser d'abord et tu me prendras ensuite. Tu me prendras avec tous tes potes comme tu m'as appris à le faire. Et comme ça me manque tant. 

 

- D'abord, pétasse : je ne t'ai pas permis de me tutoyer. Ensuite, quand je t'ordonne de venir : tu ramènes tes fesses. Oui, je t'ai viré. Et je te fais encore une faveur en venant te baiser, sale trainée. Tu ne mérites même pas que je te parle. Je vais te mettre une correction monumentale. 

 

- Oui, je sais. Mais viens ici : regarde la bonne catin que je tiens à ta disposition. Elle est prête : y'a plus qu'à. 

 

Léa dirige la caméra sur la soumise : 

 

Elle est bien attachée. Elle est bâillonnée. Elle a les jambes écartées. Une machine lui baise la chatte et le cul, à un rythme soutenu, avec régularité. Ses fesses zébrées montrent le châtiment déjà subi. 

 

- Regarde Lucien : elle est prête, bien ouverte. C'est une vraie petite pute. Tiens, vois ses photos : Ici la soumise cagoulée bouffe un plug à ventouse fixé sur le sol, ici la soumise s'enfile le même plug dans le cul, là elle s'enfonce une courgette, ici la soumise a des pinces sur les tétons, là la soumise bouffe une chatte, ici encore la soumise lèche les pieds de Léa. Ici la soumise subit l'électricité sur la chatte. Et sur cette dernière en gros plan: le visage de Lucie, couvert de larmes. Dépêche toi Lucien : nous t'attendons. 

 

 

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Amis lecteurs, qui seriez-vous dans cette histoire ? Comment réagiriez-vous ? Quels seraient vos sentiments ? 

 

Exprimez-vous dans les commentaires. 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires) - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 08:00

 

Histoire de changer, moi qui ai toujours aimé ramper. Histoire de tirer le meilleur de la vie, facilement. Histoire de profiter, un peu. Et puis, si ça te dit, pourquoi pas ?

 

Tu cherches une maîtresse ? Tu aimes la soumission à l'extrème ? Donner sans même savoir ce que tu obtiendras en retour. En acceptant même d'avance de ne peut-être rien avoir du tout. Pour le simple plaisir d'appartenir entièrement à quelqu'un d'autre.

 

L'idée t'inspire ? Parfait ! Plantons donc le décor.

 

D'abord, il faut un nid pour nous accueillir. Enfin, pour Me recevoir... Si j'y consens. Alors, soigne le décor. Je veux une maison. A mon nom, évidemment. Tu dois l'acheter pour moi. Pour avoir, peut-être, la chance de lécher le sol où je marche. Débrouille-toi pour m'en trouver une dans un endroit calme. Que personne ne nous dérange. Avec un peu de terrain autour. Ce sera encore mieux ainsi.

 

Il faut une cave évidement. Je ne veux pas te voir à l'intérieur de mes murs. Sauf pour y faire le ménage en mon absence. A mon retour, tout doit être comme si tu n'existais pas. Même dans la cave. En fait, tu dois prévoir une pièce dissimulée derrière un mur. Tu ne seras plus rien ni personne. Juste mon bon serviteur. Apparaissant et disparaissant selon mes volontés pour réaliser mes souhaits. Invisible aux yeux des autres.

 

Dans ta pièce tu entreras et sortiras par un souterrain menant dans les bois. Personne ne devra jamais le savoir. Dans le cas contraire, je te chasserai, sans un regard ni la moindre pensée. Et, le cas échéant, tu risquerais d'avoir quelques difficultés à retrouver quelqu'un réellement capable de te posséder ainsi, à l'infini.

 

Tu acceptes donc d'être entièrement à ma merci... Car je pourrais bien décider de t'enfermer pour toujours et nul ne saurait où tu te trouver. A moins que je ne décide de revendre le tout et de partir loin, sans toi, lorsque tu auras cessé de m'amuser. Ou alors, je pourrais t'offrir à qui je le désire. Ou même, te mettre aux enchères ?

 

Es-tu prêt à te donner totalement ?

 

Folie---Copie.jpg


 

L'aventure commençait ainsi. Un pied de nez posé sur la toile virtuelle. Un jeu. Une plaisanterie. Un délire. Quelques idées lancées dans le champ des possibles. Et puis, toi. Tu étais là. Ce que j'écrivais t'excitait terriblement. Te correspondait parfaitement. Tu me lisais et ton désir s'exacerbait, obsédant.

Tu décidai de passer le pas et me contactais :

 

 

Aujourd'hui je suis là et je nous raconte. Lequel de nous deux était le plus fou ? Et à quel point le sommes-nous, à présent ?

 

 

Premier janvier, je reçois ton mail :

 

Chère Leïla. J'ai lu vos écrits. Ils résonnent au plus profond de moi. Si vous le voulez bien, je me ferais un plaisir de satisfaire le moindre de vos désirs. Paul.

 

 

Intriguée, amusée, un peu inquiète, je réponds :

 

Très cher Paul. Un peu courte votre entrée en matière. Montrez-moi donc ce dont vous êtes capable pour me servir. Immédiatement, sans plus attendre, faites-moi parvenir vos noms, adresse, photo (habillée et en pied). Et débrouillez-vous pour devancer mes désirs, sans jamais rien faire que je ne vous autorise. Leïla.

 

 

S'ensuivit une correspondance.

 

 

(Partie 1 - A suivre)

 

 

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Amis lecteurs, spontanément, qu'imaginez-vous qu'il arrive ensuite ? 

 

J'attends vos réponses dans les commentaires. 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission masculine - Communauté : De la soumission virtuelle
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