Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 08:00

 

Tes vêtements glissent sur le sol. Tu es nue, offerte à ma vue. Alors que nous nous rencontrons pour la première fois. Ta peau, laiteuse. Tes seins, ronds. Je glisse un doigt, juste sur le pourtour gauche de ton sein gauche. Puis, trop vite, trop fort, ma bouche, ma langue te dévorent. Glissant par dessous. Avidement. Cependant que ma main droite agrippe ton sein droit. Le presse, trop fort. Dans un spasme, je te mords et relâche aussitôt. Je t'ai fait mal. Tu as émis un cri. Ton corps se raidit. Je te pousse brusquement contre le mur. Mon regard te transperce. Tu ne sais comment réagir. La porte est juste derrière. Mes mains s'égarent sur toi. Descendent jusque sur ton sexe. S'y glissent d'un coup. Tu n'es pas prête, mais le désir est là, quand même. Ce n'est pourtant pas ainsi que tu avais imaginé la scène. A son tour, ma bouche descend, avide... Et la tienne ne peut réprimer ces quelques mots : « Non, attends, s'il te plait... ». Je m'interromps aussitôt avec une expression mauvaise, suivie d'un sourire semblable. Je sens ton affolement montant, les battements de ton coeur s'accélérant.

 

Je m'écarte de toi. T'ordonne du bras, plus que je ne t'invite à passer dans la pièce à côté. Ma voix t'interrompt alors que tu t'apprête à ramasser ton linge : « Laisse donc ça ici et avance. ». Tu t'approche, tente de m'amadouer des yeux, d'un baiser, d'un sourire angélique, de... : « Allez, j'ai froid, tu sais. Réchauffe-moi de tes bras. » - Dépêche-toi ! Je réplique d'une façon brève n'admettant pas la répartie. Tu te recules d'un pas. Je peux presque sentir cette étrange sensation parcourant ton ventre à cet instant. Tu n'oses discuter plus et passe devant. Ma mains s'égare un instant sur ta croupe rebondie et mes doigts ne peuvent se retenir de glisser plus avant. Ton pas s'accélère pour s'éloigner de moi. Nous sommes maintenant dans le salon.

 

C'est une grande pièce ordinaire. Meublée de canapés en cuir, d'une table basse en bois. Un splendide écran géant orne un mur. Version cinéma. Et plusieurs portes. De l'une d'elle des voix parviennent jusqu'à nous. Je l'ouvre, te demande d'avancer. Ton inquiétude est palpable. Excitante.

 

Et deux hommes vêtus arrivent. Leur visage caché derrière d'horribles masques ridicules. Cela les rend tout de même plus effrayants qu'ils ne le seraient en temps normal. D'où sont-ils sortis ? Qu'importe. Ils t'agrippent chacun par un bras, t'entrainant dans un long couloir. Ton visage se tourne vers moi, m'appelle au secours sans un mot. « Je veux que tu les suive. », parole sans appel. L'aurais-tu refusé que j'ignore comment il t'aurait été possible de leur résister. Mais tu as bien essayé, n'est-ce pas ? Même dans le silence. Comment expliquer autrement tes jambes s'agitant, tes pieds semblant vouloir s'accrocher sur le sol ? Et encore une fois, ton expression implorante se retournant vers moi. Mais c'est de ta faute après tout. Il ne fallait pas. Tu voulais m'appartenir ? Je ferai donc ce qu'impose le désir qui me possède.

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires) - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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