Attention : les histoires de ce blog peuvent comporter des passages violents et choquants.
Ils te poussent au milieu d'une autre salle. Tu atterris, bien plus qu'effrayée au centre d'une assemblée. Des personnes, combien ? Habillées. Toutes le visage couvert. Terrifiantes. Hommes et femmes observant ta nudité. Faisant un cercle autour de toi. J'observe. Comme de l'extérieur. Moi, l'instigatrice.
Tu es debout, au centre. Sans possibilité de te protéger de leur vue. Leurs yeux sont comme des mains. Tu peux les sentir toucher ta peau. Je le sais. Tu me cherches et je ne ferai pas un geste pour te venir en aide. J'énonce : « Fais ce qu'il te disent. ». Tu ne veux pas. Je le sais. Oseras-tu résister ? Jusqu'où ?
Tu tentes de sortir du cercle, mais ils t'en empêchent. Ils n'ont pas encore prononcé de parole. La peur monte en toi. Puis d'un coup ils se mettent à rire. Commencent à s'amuser à te pousser. De l'un à l'autre. De l'une à... Comme un jouet. Une vulgaire balle. Tu te laisses tomber sur le sol pour arrêter ça. L'homme au masque de diable te relève, par les cheveux. Sa voix résonne : « Reste debout ! ». Puis une femme : « Ecarte tes jambes ! ». Tu ne le fais pas. Un rire mauvais éclate : « Elle va apprendre à obéir... ».
A quoi penses-tu ? Plus à rien probablement. Déjà... Je ne parviens pas à percer ton esprit. Et tes yeux ne me cherchent plus. Je suis là, pourtant. Tout près. Mauvaise. Tellement. Je n'interviendrais pas. Je pourrais arrêter ça, pourtant. Si je le voulais.
Une sangle est passée autour de ton cou, tenue vers le haut. Ce doit être un géant qui te tient. Des mains attrapent tes chevilles, les éloignant l'une de l'autre. Tes bras battent l'air. Pas longtemps. Quelqu'un attrape tes poignets et les maintient serrés dans ton dos. Une femme ôte son masque. Maintenue de la sorte, tu ne peux voir son visage. Mais elle s'avance sous toi. Approche sa bouche de ton sexe. Puis choisis de se reculer. Elle pince tes lèvres entre ses doigts et les tire. Puis tu es penchée. Un ou une autre arrive par derrière. Tu le sens arriver sans en savoir plus. Et d'un coup, une décharge te vrille. Moi je peux voir. C'est un bâton électrique qui t'a été apposé. Une fois. Deux. Trois. Peut-être que c'est moi qui fais ça. Puis des mains empoignent tes fesses. Les écarte à leur tour. Et c'est ton anus qui est visé. Pile contre lui. Deux fois.
Bien sur, chaque choc te fait crier et te débattre. Mais que pourrais-tu faire d'autre ? Ceci n'était que pour te montrer. Tu es lâchée. Avec ordre de te tenir à genoux. Puis coude et front au sol. Bien cambrée. L'assemblée rit et s'amuse. Tu pleures. Quelle bande de porcs ! Et moi, que suis-je ?
Cela ne suffit pas. Il faut que tes jambes
soient écartées aussi. Brusquement, deux godes emplissent tes orifices, te faisant mal. Du second dépassent des lanières, te faisant une queue d'animal. « Ils vaudrait mieux pour toi qu'ils
restent en place et que tu ne les perde pas » sont les mots qui accompagnent cette double pénétration. Un ordre suit : « Met toi à quatre
pattes et avance ! »
... M'aimes-tu encore ? Me pardonneras-tu lorsque je viendrais t'embrasser et te consoler ? Lorsque je viendrais te dire combien tu es belle ? Et lorsque je viendrais te dire combien, moi aussi,
je t'aime ?