Attention : les histoires de ce blog peuvent comporter des passages violents et choquants.
ça y est, j'ai réussi. Le gode est dans mon cul. L'exploration de mon corps ne finit pas pour autant.
Ils pénètrent dans mes oreilles. Ils pénètrent dans mon nez. J'étouffe.
Soudain, tout s'arrête. Je suis soulevée dans les airs.
Le gode disparait.
Les spectres se transforment : ce ne sont plus seulement des visages, ils ont des corps. Bras sans mains. Sexes gigantesques. Ils se pressent sur moi. Et ils m'enfilent. En même temps et à la chaine. Ils me défoncent la chatte, le cul, la gorge. Ils collent chacun leur tour, sur mon visage d'énormes couilles molles. Je sais déjà que plus tard je devrais les leur bouffer avec avidité. Mais pour l'heure ils me baisent. Ils se servent avec force et je perds la notion du temps, de l'espace. Je ne perçois plus ce qui m'entoure. Je m'évanouis. Ou je m'endors.
Je m'éveille, cotonneuse. Le corps engourdi semblant nager dans de la gelée. Semblant n'être plus. Reste ma tête. Toute ma tête. Ressentant toute l'horreur de ma situation. Ressentant la douleur. Ressentant l'humiliation, la honte, le dégout. Toute ma tête, reliée à un corps engourdi.
Et puis, tout autour, des culs. Des culs et des couilles monstrueuses. Je sais ce que je dois faire.
Je presse mon visage entre ces fesses. Les unes après les autres. Leurs couillent s'aplatissent sur ma face. Mon nez dans leur cul. Je lèche en salivant abondamment. Puis je glisse ma langue dans leurs raies. Puis je leur bouffe l'anus. Encore. Et encore.
Je m'étourdis. Je perds conscience.
Je m'éveille, en apesanteur, dans une gigantesque pièce vide baignée de lumière. Des spots braqués sur moi. Un, en particulier, chauffe ma chatte et la fait couler.
Je m'éveille un peu plus et je réalise : tout autour d'immenses écrans projettent des vues de mon corps. Mon anus, ma chatte, mes seins, ma bouche, mes yeux. Tout. Tout en très gros plan. Respirant. Palpitant.
Et les écrans se multiplient.
Et les détails se multiplient.
L'intérieur de mon nez, de ma bouche, de mes oreilles. L'intérieur de mon cul, l'intérieur de mon sexe...
De minis caméras infiltrées dévoilent les moindres recoins de mon intimité.
Et puis... stop ! Pfiouu !
Tout disparait.
A la place, une entreprise de nettoyage est commencée. De l'eau me pénètre, me pénètre, me remplit par l'anus.
Un bouchon est posé.
Et le temps passe. Long, long, long. Je me tortille. Je crie. Je pleure. Je hurle.
Je peux enfin me libérer.
Des centaines de regards inquisiteurs, méprisants, malfaisants, posés sur moi.
Foin de pudeur et de honte ! Je suis trop heureuse de pouvoir me soulager. Je ne pourrai de toutes façons pas faire autrement. Je laisse exploser mon jeyser.
Je me réveille. Je suis attachée sur un lit trempé. Bras et jambes écartées.
Quelqu'un me bouffe la chatte.
Quelqu'un d'autre manoeuvre un long et large bâton au bout arrondi dans mon cul, le faisant aller et venir.
J'ai des pinces sur les seins.
Qui suis-je ?
Qu'est-ce que je fais là ?
Que m'est-il arrivé ?