Soumis, pauvre petite merde que tu es... Tu ne vaux rien. Tu ne pense qu'à toi et à ton petit plaisir de merde.
Je te hais. Et je me déteste.
Soumis, tu ne l'es en rien.
Viens donc par ici, que je te baise.
Soumis de merde. Que penses-tu donc que j'aie à faire de ton trou de balle, de tes couilles, de ta bite.
Tu es laid jusqu'au fondement. Et moi aussi.
Dégoût. Ecoeurement. Perdue. Et néanmoins là.
Je vais te baiser jusqu'à la moëlle.
Vois cette cage : elle est pour toi.
Tu rêves que je te voie à poil... Et puis quoi encore ?
Entre dans cette cage... nous allons rire.
Tu vois ce plug ? Tu le veux dans ton cul, n'est-ce pas ?
Prend le dans ta bouche. Et garde le, jusqu'à ce que je te permette de le lâcher...
Mais la permission ne viendra jamais. Tu fauteras, obligatoirement.
Pauvre merde. Je te hais parce que tu veux m'utiliser, tout en prétendant m'être soumis.
Salopard. Qui je suis, ce que je veux, tu t'en branles. Mes peines, mes joies, mes difficultés, idem.
Seul ton désir compte. Soumis prédateur de merde. Et moi je reste là, quand même.
Pauvre type. Tu n'as pas intérêt à lâcher ce plug qui est dans ta bouche.
La cage est juste à ta taille. Tu y tiens, vêtu, à quatre pattes. Tu ne peux bouger, te relever ou t'asseoir.
La punition va être rude. J'ajoute une barre, posée sous tes genoux.
Je n'ai plus qu'à te laisser mijoter, à petit feu.
Bientôt tu laisses tomber le plug de ta bouche. La punition sera terrible.
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