Mercredi 22 janvier 3 22 /01 /Jan 08:00

 

 

Marianne est dans le lit. Allongée sur le côté. Son bras gauche dans le dos. Les seins nus. Léon empoigne sa culotte. La resserrant devant et derrière, il la tire brusquement entre les chairs. Puis, tout en le maintenant tirée vers le haut, de son autre main il prend fermement la chevelure de Marianne : « Salut ma pétasse, dit-il dans un souffle sur son visage. Tu ne m'attendais pas ? Ce n'est pas prudent de ne pas fermer ta porte à clefs. Tu m'as manqué. Montre-moi comme tu es chaude. Bouge ta chatte. Dépêche-toi. »

 

Marianne obéit et fait bouger son bassin d'avant en arrière. Marianne se sent excitée. Envie qu'il l'a prenne. Elle sait pourtant qu'il ne s'occupera pas de son plaisir. « Lève-toi » lui ordonne t-il. Lui, reste sur le lit : je veux te voir nue devant moi, salope excitée prête à tout pour que je la baise. Tu sais pourtant que je n'en ai rien à faire de toi. Tu sais que tu n'es rien qu'un trou dont je me sers. Si tu es bien sage peut-être que je te baiserais. Soulève tes seins avec les mains. Bouge ton corps. Chauffe-moi si tu veux que j'aie envie. Je vais te mettre des pinces sur les tétons.

 

 - Non, non, s'il-vous plait !... Elle protège sa poitrine de ses bras.

 

Il la gifle : « Tshhht ! Laisse-toi faire. Mets tes bras dans le dos. Voilà. ! Je me moque que tu ne les supportes pas. Tes mamelles de femelle en chaleur m'appartiennent. Tu as intérêt à laisser les pinces. Et maintenant montre-moi à quel point tu as envie que je te baise. Et assure : selon que j'estimerais que tu as été bonne ou non, je serais doux ou non. »

 

 

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Et Marianne fait son show. A quatre pattes sur le sol elle lève ses fesses face à Léon. Elle les fait bouger. Elle les écarte. Elle tortille du cul. Puis elle se tourne vers lui. Elle s'approche doucement, commence par caresser les pieds de Léon. Les embrasse doucement, puis les lèche à grands coups de langue, puis « S'il-vous plait : vous pouvez enlever les pinces ? »

 

Léon se relève à demi, sur son bras, le visage courroucé. Il l'amène vers lui en l'attrapant par les cheveux : « Tu m'emmerdes ! Tu crois que c'est le moment de te plaindre ? Tu dois obtenir que j'accepte de te baiser. Tu crois que c'est comme ça que tu vas y arriver ? »

 

Il lui arrache brusquement les pinces : «  Aahhh ! »

 

- Maintenant bouffe ma queue, sale pute !

 

Marianne se positionne entre les cuisses de Léon. Elle prend son sexe en bouche. Elle lèche le gland, la tige, les couilles. Elle met la bite dans sa gorge. Mais Léon ne crache pas. Elle remet la queue bien dans sa gorge et léon pose sa main sur la tête pour l'empêcher de se retirer. Marianne s'étouffe, bave. Léon ne jouit toujours pas :

 

- Tu n'y mets vraiment pas du tien, sale égoïste ! Tu sais ce que j'aime. Allez : dis les mots.

 

- Je suis une pute. Je suis une catin. J'aime me faire baiser. Je...

 

- Tu pourrais y mettre du coeur. Si ça ne marche pas comme ça, essaie autrement.

 

- Je... Tu es une larve. Tu es une merde. Tu es une pédale...

 

- Tsss ! Tu dis ça comme si tu pensais à autre chose. Tu n'en as vraiment rien à faire que je prenne mon pied. Tu n'en as rien à faire de moi. Allez, pousse toi : je vais faire un tour !

 

 

      Et Léon s'en va. Marianne reste là. 

 

Quelles sont leurs pensées respectives ? 

 

Qu'arrivera t-il au retour de Léon ? 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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