Soumission féminine

Samedi 22 février 6 22 /02 /Fév 08:00



 

Cette fille. Cela fait des mois déjà que nous correspondons. Que cherchait-elle au départ ?


Elle dit qu'elle m'aime. Le jure. Le hurle. Affirme ne plus pouvoir se passer de moi.


Elle veut son rendez-vous. Elle n'y tient plus. Affirme être prête à tout. Acceptera dorénavant la moindre de mes décisions. Je l'ai prévenue pourtant. Ce n'est pas une bonne idée. Je ne suis pas une gentille fille. Mais rien n'y fait. Quoi que je fasse. Quoi que je dise. Elle reste là. Accrochée. Comme engluée. Alors, puisqu'elle y tient tant, pourquoi ne pas le faire ?...

 

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Nous avons discuté pourtant, de tout. Des choses que je pourrais être capable de faire. De mes trop peu nombreuses limites. Ces dernières se résumant à ne pas torturer, ni donner dans la scatologie. Cela laisse une marge d'action confortable. Se rend elle réellement compte de ce dans quoi elle va s'embarquer ? Mais elle en est au point où elle a déjà tout accepté. Sans même savoir de quelle façon j'agirai véritablement. J'ai son accord. Elle l'aura voulu. Même si elle ne le désire pas réellement. Il est parfois des ruelles sombres qu'il vaut mieux éviter d'emprunter sans précautions.


« Leïla, tu es là ? S'il te plait, réponds-moi ! » Mon msn clignotte dans tous les sens : « Je t'en prie. J'ai débloqué du temps. Une semaine entière ! Nous ferons tout comme tu voudras. Allez, s'il te plait. Je t'en prie. »


Elle croit quoi ? Que je n'ai que ça à faire que de lui répondre ? Et puis, ça lui fait du bien d'attendre. Plus elle attend et plus elle monte. Curieux rouages que ceux de l'esprit humain, parfois. Elle devrait s'enfuir. Je lui en laisse toute latitude. L'y encourage. Et plus j'agis de la sorte, plus elle insiste. En moi nait un curieux sentiment de toute puissance. Rien de bon. Que du mauvais. Des tréfonds de mon inconscient remue toute cette vieille boue. A la surface remonte tout ce que je peux avoir de plus laid en moi. La monstrueuse bête maîtrisée au prix de nombreux efforts s'éveille. Elle semble avoir retrouvée intacte toute sa vigueur d'antant. Saurai-je la contrôler ? Le voudrais-je encore ?


« A partir de lundi je suis disponible. Jusqu'au suivant. Alors, dis-moi : je peux venir ? Donne-moi l'heure, l'endroit. J'y serai. » Je tente de la raisonner. Tout autant que de me réfréner. Je ne suis pas ainsi normalement. Mais je sais ce qui va arriver : « Non, laisse tomber. Je vais te faire du mal. Et tu n'es pas prête. Pas de cette façon. ». Mais pour autant, je ne la préviens pas de ce que j'ai en tête. « Ce n'est pas grave. Je veux ce que tu désires. Et j'ai tant envie d'être dans tes bras. » insiste t'elle. Dernier avertissement : « Les événements se passeront peut-être autrement que tu ne l'imagines. ». Rien n'y fait : « Peu importe ! Merci. Merci. Donne moi l'adresse. »


Je secoue la tête, tu n'es pas folle. Inconsciente surement. Mais moi, je suis quoi ? Viens-y donc, puisque tu y tiens. Pour une semaine entière tu m'appartiendras. Surement la plus longue de toute ta vie. Je crois que tu n'as pas bien compris...




 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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Jeudi 20 février 4 20 /02 /Fév 08:00

 

Léa est amoureuse de Léo. Et elle le désire, passionnément.

 

Léa aime aussi être « prise de force ». En réalité elle aime qu'Il fasse semblant de la contraindre.

 

Léo aime Léa. L'aime t-il vraiment ?

 

Léo aime que Léa aime les scénarios de viol.

 

Léo aime prendre brutalement Léa.

 

Léa veut Lui appartenir.

 

Léa veut que Léo fasse d'elle tout ce qu'Il veut...

 

dans la mesure où cela concorde avec ses désirs à Elle.

 

Mais Léa n'a que très peu de limites. Léa aime tout ce qu'elle fait avec Léo.

 

Léa aime tout ce que lui fait Léo.

 

Petit à petit Léa devient la chose de Léo.

 

S'oublie t-elle dans ce jeu qui n'en est plus un ?

 

Cage.

 

Léa est enfermée.

 

Léo vaque à ses occupations.

 

Cage.

 

Une caméra filme Léa en permanence.

 

Cage.

 

Les heures passent.

 

Cage.

 

Léa est enfermée.

 

Cage.

 

Léa attend son heure de sortie.

 

Cage.

 

La grille s'ouvre automatiquement.

 

Cage.

 

Léa, nue, se dirige à quatre pattes vers la cuisine.

 

Faim.

 

Léa s'agenouille tête baissée près de sa gamelle et attend silencieusement.

 

Attente.

 

Léa reste à sa place le temps qu'il faut.

 

Manger.

 

Léo se décide enfin à la nourrir.

 

Léo met les restes de ses repas dans la gamelle de Léa : « Tu as cinq minutes, pas une de plus. »

 

Léa mange comme une chienne. C'est infect mais elle a faim. Elle finit tout, vite et bien.

 

Léo la sort dans le jardin.

 

Léa fait, devant Léo, ses besoins dans la pelouse.

 

Les deux n'ont pas encore échangé un seul mot.

 

Léo nettoie Léa au jet. Puis il la laisse dehors le temps qu'elle sèche.

 

Enfin Léo fait rentrer Léa dans le salon.

 

Léa connait sa place.

 

Léa s'installe en position : à quatre pattes, torse vers le sol et fesses en l'air, tête relevée, dos cambré, cuisses écartées.

 

Son cul est tourné vers Léo, sa tête vers la télévision. Elle a les yeux fermés, comme l'obligation lui est faite. Et elle attend.

 

Soudain elle reçoit un coup de cravache sur la croupe. Elle lâche un cri mais ne bouge pas.

 

Un objet pénètre son anus et l'ouvre.

 

L'objet est retiré et Léo la pénètre.

 

Il l'encule. Il libère son sperme à l'intérieur du fondement.

 

Puis il lui enfile un rosebud.

 

Puis il décroche un coup de pied à Léa : « Dégage au coin ! »

 

Léa obéit. Elle s'éloigne à quatre pattes et se pose à genoux devant le mur.

 

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Le temps est long, ses genoux sont douloureux. Léa voudrait quitter sa position mais une caméra surveille en permanence le moindre de ses gestes. Chaque faute est sévèrement punie.

 

Mais il y a toujours des fautes : les exigences de Léo sont impossibles à tenir.

 

Léa est donc punie : Léo l'attache par les poignets à un crochet fixé au plafond.

 

Ses pieds reposent à peine sur deux blocs de bois.

 

Léo sort le paddle et frappe, sur les fesses.

 

Léa pleure.

 

Léo lui pince les tétons.

 

Léo lui tire la chatte.

 

Léo lui ordonne de subir en silence.

 

Léo détache Léa et lui fait sucer sa queue.

 

Léo impose le rythme et la profondeur.

 

Léo colle sa bite tout au fond de la gorge de sa femelle.

 

Léo étouffe sa putain avec son sexe.

 

Léo fait vomir sa catin et la contraint à nettoyer avec sa langue.

 

Léo fait bouffer ses couilles à sa salope. Il les lui fait lécher, aspirer, sucer.

 

Puis il la retourne, la pose sur la table, lui ôte le rosebud, lui colle l'objet dans la bouche et l'encule à nouveau. Il jouit sur son cul et l'abandonne là sans un mot. Léa sait qu'elle doit rester à cette place sans bouger aussi longtemps qu'elle ne recevra pas d'ordre.

 

Une heure passe. Léo revient et la sodomise encore une fois. Léa a toujours son rosebud en bouche.

 

Léo l'attrape par le bras et l'entraine.

 

Léo attache Léa sur une sorte de tréteau bien solide.

 

On sonne à la porte. Léa entend des voix masculines.

 

Quelqu'un l'encule.

 

Et puis un autre.

 

Et encore un autre...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Vendredi 14 février 5 14 /02 /Fév 08:00

 

 

  Non elle ne cédera rien. Arghhh, un jet de douche vient l'asperger. Ni prévu, ni voulu ça. Froide en plus. Elle déteste ça. Son visage noyé, elle a du mal à respirer. Se débat, crache : « Non, cela suffit ! ». Elle est trempée et gelée maintenant.

 

Sans plus de résistance, elle le laisse baisser son pantalon à ses chevilles. Et cherche en vain à éviter le bandeau qui vient lui cacher la vue. La voici aveuglée maintenant. Noir, attente, silence... L'oreille aux aguets. - Vous êtes là ? Rien. Pas un mot. C'est quoi la suite du programme ? Elle a froid.

 

Et puis ces liens sur ses poignets... une corde, plusieurs fois enroulée. Légèrement trop serrée. Bouger un peu les bras. Tenter de se dégager. Peine perdue. S'agiter plus. Finir par se laisser aller au sol. Réfléchir. Il doit être encore là. A l'observer. Elle l'aurait entendu partir autrement. Et puis, Il ne l'aurait pas laissé ainsi ?

 

Même si cela paraît long, elle le sait, cela ne fait que peu de temps : - Répondez-moi ! Vous m'avez entendu ? Je veux savoir si vous êtes là ! Enfoiré !... Aïe !...

 

Elle se relève à demi, empêchée d'aller plus haut par la barre qui la retient. Une main entrainant ses cheveux vers le haut. Lui plaquant le visage contre le mur. Puis Sa Voix, lui intimant l'ordre de rester ainsi et de n'en plus bouger.

 

Un coup tombe... Sa ceinture ?... Deux, trois. Toujours aussi incapable de résister à ça. Elle l'a cherché pourtant. - Non, je vous en prie. Arrêtez !... Mais Il continue.

 

Lucy se recroqueville au sol, autant que possible : - Debout ! - Non, s'il-Vous-plait, je ne peux pas !... Elle craque : « Cela suffit. Je vous en prie. Arrêtez !... Maître... »

 

Il cesse. Prend une serviette. L'essuie. Ote ses vêtements mouillés. L'essuie encore. La réchauffe... Et s'éloigne, déposant un drap de bain pour couvrir ses épaules nues. Elle reste là. Avec toujours son pantalon au bas des chevilles, entravant ses jambes. Impossible de réussir à l'ôter seule. Et encore ce fichu bandeau cachant sa vue. C'est agaçant au bout d'un moment. En plus, ça gène. Lucy aimerait pouvoir l'enlever, mais elle ne peut rien faire. Il est parti. Où ça ? Pour quoi faire ? Elle n'a plus qu'à rester là et attendre.

 

Et puis... une voix. Inconnue. Non. C'est quoi ce plan ? Ecouter, tenter de saisir les paroles parvenant d'au-delà de la porte. Ne pas parvenir à les comprendre. Et enfin... Sa Voix. On ne peut plus rassurante à cette seconde précise, même si...

 

Ils se rapprochent. Lucy les entend entrer. A ce moment, elle pourrait remercier d'avoir encore la vue cachée. L'autre ne compte pas. Il n'est rien. Ne surtout pas le voir. Rien d'autre qu'un élément de jeu apporté par Lui. Il ne va pas avoir le mauvais goût de lui demander son avis à cet instant précis ? Que pourrait-elle répondre d'autre qu'un « Non ! » rageur ?

 

Ils sont là. Tous deux. Tout proches. Elle peut les sentir au dessus d'elle. Lui et un autre. Insignifiant. Et la serviette s'envole dévoilant son corps.

 

  • Maintenant, debout ! Il la lève par le bras, dos contre le mur. Pourvu qu'Il laisse le bandeau. Surtout ne pas voir, l'autre.

 

Lucy redresse la tête. Tenter d'avoir l'air fière alors su'on voudrait disparaître. Essayer de se réassurer. Ses mots tombent : « Baisse la tête ! » Et merde. Pas le moment de jouer au con. Elle s'exécute. Ses boyaux se tordent.

 

Il ôte son pantalon de ses chevilles. Ecarte brusquement ses jambes avec le pied. Les deux hommes restent là, à discuter, l'observer, commenter... Inventer d'éventuelles suites.

 

Une main sur son entre-jambe. C'est qui ? Lui ? L'autre ? Glisse vers son intimité... Non !... Elle est trempée. Elle ne veut pas.

 

Baiser sur sa bouche. Dans son cou. Mains sur son torse. Son ventre. Ses fesses. A peine quelques instants. Cela s'arrête.

 

- Tourne-toi. Ce sont Ses mots. Ne même plus essayer de réfléchir. Le faire. Jambes écartées, encore...

 

 




Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 12 février 3 12 /02 /Fév 08:00

 

 

 

Ce soir c'est le grand moment... Je rencontre mon maître. Enfin, un substitut de lui. Un autre. Car depuis que mon seigneur est parti je ne parviens pas à combler l'immense vide qu'il m'a laissé.


Evidement, m'en allant à la rencontre de celui-ci, je sais que l'acabit n'est pas le même. Que le jeu est plus dangereux. Mais en même temps, je suis très attirée.


Il est déjà parvenu à un certain degré de pouvoir sur moi. Même virtuellement. Il me manquerait s'il partait. Je n'ai trouvé personne d'autre avec qui j'aime m'amuser de cette façon pour l'instant. Pourtant il veut trop pour moi. Beaucoup trop. Je le sais.


Cependant, je suis là.


Il m'a demandé de l'attendre dans la chambre. Je suis au milieu de la pièce, droite, immobile, dos à la porte. Je me sens un peu oppressée. Je sais que je l'ai maintes fois provoqué et qu'il déteste ça. Cette fois cela risque d'être plus compliqué...


J'entends la porte s'ouvrir. Il entre. Je ne bouge pas. Je ferme les yeux pour ne pas céder à l'affolement. Il est derrière moi. Je le sens. Ses mains attrapent mes poignets, me les mettent dans le dos... Et je sens des bracelets se refermer dessus. Il a serré un peu fort. J'ouvre d'un coup mes paupières toujours immobile. Expression effarée de mon visage.


Il tourne autour de moi. N'a pas encore prononcé un mot. Je le regarde ou pas ? Je n'ose. Mes yeux s'enfuient sur les côtés de la pièce. Mais qu'est-ce que je fais là ? Il est sûr de lui... Forcément, c'est facile à sa place. Je sens mon tempérament rebelle monter et ai la très nette impression qu'il vaut mieux que je me tienne tranquille. Mais je suis là parce que je l'ai voulu. J'aime cette ambivalence. Pourvu juste qu'il n'abuse pas de la situation.


Seulement, j'ai déjà une petite idée de son caractère. Je me doute bien que si je fais la maligne, je risque fort de le regretter.


D'un coup ses mots claquent : «Regarde-moi. » Mais mon regard fuit, je n'y parviens pas. Il me prend par les cheveux : « Je t'ai déjà demandé de faire ce que je te dis. Cette fois, tu ne te déroberas pas. Sais-tu que tu m'as bien énervé avant même notre rencontre ? » Mon estomac se noue. Ma respiration s'accélère. Je le regarde et il peut lire l'inquiétude dans mes yeux. Assurément il aime ça : « Baisse la tête maintenant. ». Une tape sur mon menton accompagne ces dernières paroles. Je m' éxécute. J'ai un peu peur. Pourquoi est-ce que le désir monte en moi ?


Reprenons : « Qu'es-tu sensée dire pour me saluer? »... « Répond ! » Pas un mot ne sort de ma bouche. « Mais qu'est-ce que tu fais ? Dis-lui » me crie une petite voix dans ma tête. Mais rien à faire, c'est trop dur. Il faut qu'il me laisse du temps. Ce n'est pas dans ses intentions. « Ne me cherche pas... » Je recule doucement. Il me retient par le col : « Alors ? » Enfin ça sort : « Je vous baise les mains, maître. Bonjour. »


A quoi il répond : « Enfin ! Ne me fais plus attendre parce que ça va aller mal. J'ordonne et tu obéïs. J'espère que c'est clair. Tu as compris ? » Dans un souffle je dis : « Oui. » Une gifle tombe. J'ai un regard noir qu'il ne remarque pas : « Oui maître. » Il se radoucit un instant : Voilà qui est mieux... » et reprend aussitôt : « Comment se fait-il que tu ne m'aies pas accueilli comme il se doit ? ». Sans réfléchir je dis : « Mais rien n'était précisé... ». Je prends une autre gifle : « Maître ! Maître ! Tu dis maître ! Et ne répond pas. » Je reprends dans un geste de recul : « Maître. Oui maître. Rien n'était précisé Maître. » Il semble furieux. « Je vous demande pardon Maître. » - Je sens que ça va aller mal ! - Je vous prie de bien vouloir me pardonner Maître. Je me rapetisse sur moi-même. - A genoux ! - Maître... Je vous en prie. Regard dur. Je cède aussitôt. M'agenouille. Je prends ses mains pour les baiser. Il me les retire : « Mes pieds, baise mes pieds maintenant ! » - Maître, je vous en prie... J'ai toujours mes mains attachées dans le dos. Je fais ce qu'il m'ordonne.


Je suis sûre que mon entre-jambes est trempée.


Je me retrouve ainsi, tête au sol, avec pour instruction de ne pas bouger. Mon maître glisse mon pantalon, tout en emportant mon sous-vêtement jusqu'aux chevilles. M'allongeant au passage. De son pied chaussé il écarte mes cuisses, appuie contre mon sexe, le « masturbe », écrase mon fessier.

Puis il s'éloigne. Je n'ose faire un geste. J'attends. Il revient. Passe un collier autour de mon cou. Le relie à une laisse. M'abandonne. Je n'ose me risquer à me déplacer. Le temps passe et je reste là. J'entends ses pas...


Et puis... des voix s'approchent. Un homme et une femme que je ne connais pas, en plus de mon maître. Ils sont près de moi maintenant. Quelqu'un attrape la laisse brusquement pour me redresser : « Debout chienne ! »... Oh non !...


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Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : MultiCommunauté Porno Sexe
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Jeudi 6 février 4 06 /02 /Fév 08:00

Mais Cléa ne pouvait pas tenir la position. C'était trop dur. Après avoir dodeliné. Après qu'il la pousse. Après... Cléa avait envie de caresses. Cléa avait envie qu'il la prenne doucement. Cléa avait envie qu'il la doigte. Cléa était excitée, malgré tout. Cléa avait envie de son sexe dans sa chatte. Doucement et même plus fort, mais là où ça fait du bien. Cléa avait envie de caresses, de baisers...

A quatre pattes sur le lit, elle demande : « Enculez-moi Jack, faites-moi mal. Je suis une sale chienne. Je mérite et j'ai envie que vous fassiez cela ». Et Jack le fait : il lui colle d'un coup sa queue dans son cul. Cléa a mal. Elle pleure et proteste mais il continue. Il met tout son poids sur elle, la bloquant sur le ventre. Il lui défonce l'anus. Cléa se chie dessus. Jack la retourne. Il lui fait nettoyer sa queue avec la bouche. Il la retourne encore. Il l'encule bien profond. Et il éjacule à l'intérieur. Il reste collé sur son dos quelques temps. Puis il se retire : « Sale femelle : je n'oublie pas que je te dois encore une correction pour t'apprendre à obéir. Reste comme ça. »

Cléa ne bouge pas. Elle reste ainsi : les fesses à l'air, jambes écartées en travers du lit défait. L'anus suintant. Envie d'aller aux toilettes pour déféquer et uriner. Elle reste là. Attendant la permission de Jack pour bouger. Jack est à la cuisine. Il fait une pause et se restaure. Il prend tout son temps.

Après une heure passée, il revient voir Cléa : « Eh bien voilà : je crois que tu commences à comprendre. On va continuer, histoire que ça rentre bien dans ton crâne de piaf. »

Attendez : j'ai besoin d'aller aux toilettes...

Ferme-là : tu parleras quand je te le permettrai ! Tiens : bois un peu d'eau, ça va être long.

Il lui colle un bon plug dans l'anus. Il lui lie les poignets et l'entraine. Dans le mur un piquet rond est scellé à l'horizontale. Il asseoit Cléa dessus. Ses pieds ne touchent pas terre. Il prend les poignets de Cléa et les attache à un crochet fixé plus haut : « Voilà, là tu vas apprendre la patiente et l'obéissance. Et je pourrai aussi finir là ta correction en étant assuré que tu ne bougeras pas. Mais ce serait trop facile, n'est-ce pas ? Remercie-moi de si bien m'occuper de toi : 
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 - Merci Jack de Vous occuper si bien de moi.

Son envie de caresses et baisers a disparu au profit de douleurs dans le ventre et d'une violente envie de se soulager : « Pitié Jack ! J'ai besoin d'aller aux toilettes. Je Vous en supplie. Libérez-moi juste le temps de faire mes besoins. Pitié !... »

Jack sourit : « Oui, je sais : le plug et le reste font des punitions efficaces. Tu restes là le temps qu'il me plaira. Médite... Je suis sûr que tu réfléchiras un peu la prochaine fois avant même d'oser imaginer Me désobéir pour quoi que ce soit... »

 
Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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