Soumission féminine

Dimanche 2 février 7 02 /02 /Fév 08:00

     attachee dans la douche - Copie 

 

Est arrivé ce jour... Suffisamment de temps qu'elle et Lui se connaissent. Et puis cette idée, venue de Lucy. C'était au tout début. Comment cette image était-elle parvenue dans son esprit ? Eh bien, à la faveur d'un scénario qui ne l'inspirait pas particulièrement. Etrange comme les idées s'enchainent parfois. Et comme elle peuvent finir par influencer la réalité des choses.


Et puis, elle lui avait raconté. Qu'en ferait-Il ? Elle l'ignorait. Ce qu'elle savait, par contre, c'est qu'elle avait confiance en ses réactions. Que probablement Il saurait ce qui convient et à quel moment.


Le temps a passé. La relation évolué. Lucy se sentait suffisamment en confiance pour oser pousser la provocation. Aller plus loin qu'en d'autres temps. Cela faisait déjà un moment que les « problèmes d'attirance » étaient réglés. Que leurs corps se connaissaient. Et Il avait appris à voir, entendre, comprendre si c'est le bon moment où pas. Il savait à présent jusqu'où Il pouvait pousser ou non. Juste en l'observant. Et ce qui aurait échappé à d'autres, Il était capable de le deviner.


Et donc ce lundi, Lucy l'a provoqué comme jamais. Pourquoi ? Que cherchait-elle ? Que risquait-elle ? En avait-elle seulement la moindre petite idée ? Quoi qu'il en soit, elle a poussé autant que possible.


L'a t-elle entrainé par là pour lui suggérer ?... Ils se sont retrouvés dans la salle-de-bain. Et cette histoire de punition dans la douche est resurgie. Elle n'avait aucune intention de se laisser faire. Juste pousser et pousser encore. Pour aller jusqu'où ?


Toujours est-il qu'elle a réussi à se retrouver liée à la barre. A cette poignée fixée à hauteur, celle qui permet de se retenir, au cas où l'on glisse. Attachée habillée là, et peu décidée à se calmer. Que peut-elle faire à présent à part cracher ses mots et envoyer quelques coups de pieds dans le vide ? Il va pourtant bien falloir qu'elle s'arrête. La fatigue et la situation auront raison d'elle.

 



En attendant, Lui, comment décide t-Il d'agir ? Il peut laisser courir et régler le problème par la suite. Il lui est aussi possible de « profiter de la situation » et peut-être même, en plus, mettre les points sur les i, un peu plus tard. Encore que cela ait un côté « double peine ». Mais après tout, pourquoi pas ? Un tel degré d'insubordination ne mérite t-il pas repentance ?


Sur le moment, en tous cas, Il lui demande de se taire et d'arrêter avant que ça ne tourne mal. De se mettre à genoux... - Quoi ? Et puis quoi encore ? Pas de « je ne joue pas ». Ni de « s'il vous plait », ni de « ce n'est pas le moment ». Pas de crainte empêchant de s'exprimer non plus. Juste une espèce de fureur provocatrice. Avec un regard étrange à la fois rieur, amusé et... Quoi d'autre ? Qu'exprime t-elle à ce moment ? Mais juste « Non, non et non, je ne le ferai pas. ». Rien à voir avec le fait qu'elle ne tienne pas plus de trente secondes sur ses genoux. En cas de besoin et/ou d'envie, elle pourrait probablement le faire... Après, la façon dont cela serait reçu ne lui appartient pas. Il est plus que probable qu'elle n'échapperait pas à une demande de réparation et l'accepterait. Avec plus ou moins de facilité.


Et le ton monte. Pas de violence mais une dureté inhabituelle. Lui ne plaisante plus et sa voix le dit clairement. Ses paroles aussi se durcissent. Préviennent encore, mais plus pour longtemps.


Seulement, elle continue...

 

(A suivre)

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 29 janvier 3 29 /01 /Jan 08:00

Jack lui caresse les seins.

Cléa a le souffle court.

Jack la colle contre le mur froid. De ses pieds il lui écarte les jambes. Il ordonne : tu ne bouges pas.

Il la laisse là.
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Le temps passe.

Combien de temps ?

Cinq minutes ? Dix ? Quinze ? Vingt ? Trente ?...

Cléa quitte sa position. Elle va timidement voir ce qu'Il fait.

Jack est allongé sur le lit. Il la voit. Il se lève, le regard dur : « T'ai-je permis de bouger ? »

Il s'approche : « Répond ! »

Cléa bredouille : « Non, mais... »

Elle reçoit une gifle : « Il n'y a pas de mais ! Met-toi à quatre pattes et compte les coups que je vais te donner. Cela fera 50. Si tu protestes, si tu bouges : je double. Et s'il le faut je change de punition. Jusqu'à ce que tu cèdes et fasses exactement tout ce que je t'ordonne. Sans la moindre discussion. Sans la moindre objection. Sans la moindre question. »

Cléa se met en position. Mais après à peine trois bons coups de ceintures, elle bouge. Elle se couche sur le côté. Recule au sol tout en mettant sa main devant elle : « Non, Jack, s'il-vous-plait !... »

Il tonne : «En position ! »

Cléa prie, supplie : « Jack, s'il-vous-plait !... »

Position tout de suite où ça va aller mal. Déjà, tu viens de passer à 100... Tu en veux plus encore ? Non ? Alors obéis.

Cléa se remet à quatre pattes : « Quatre, cinq, six, sept, huit... Aaahhh ! Jack ! Jack ! »...

Et elle se laisse de nouveau choir sur le côté « Je vous en prie... » Elle tente de l'amadouer avec son regard, en venant baiser Ses pieds. Mais cela ne marche pas. Elle aimerait ses caresses. Il l'attrape durement par la pointe des seins. Cléa tente  de le faire lâcher. Il la pince encore plus fort : « J'arrêterai quand je le déciderai ! Met tes mains derrière la tête. » Il tire les seins vers le haut : « Met toi sur la pointe des pieds. Reste comme ça ! Aussi longtemps que je le voudrai. » Il lâche les seins : « Après je vais t'enculer. Tu n'es là que pour ça. Si tu tiens bien, peut-être que je le ferai doucement et que tu auras du plaisir. Sinon, je ferais en sorte que tu aies mal. Voyons de quoi tu es capable. » Et il lui pince un sein, puis l'autre. Il la pousse de sa main sur son épaule gauche. Il lui claque la fesse : « Mieux que ça sur la pointe des pieds ! » Il lui pince la chatte et rit. Il la pousse plus fort. Elle se déséquilibre. Il l'attrape par les cheveux : « J'aurais dû me douter que tu ferais tout ce qu'il faut pour que je te baise comme une chienne ! » Il lui crache au visage : « Demande moi de t'enculer d'un coup sec parce que c'est ce que tu aimes ça. Demande-moi de te faire mal, puisque c'est ce que tu veux. Autrement tu serais restée sur la pointe des pieds n'est-ce pas ? 
Comment Jack va t-il dresser cette femelle ? 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 22 janvier 3 22 /01 /Jan 08:00

 

 

Marianne est dans le lit. Allongée sur le côté. Son bras gauche dans le dos. Les seins nus. Léon empoigne sa culotte. La resserrant devant et derrière, il la tire brusquement entre les chairs. Puis, tout en le maintenant tirée vers le haut, de son autre main il prend fermement la chevelure de Marianne : « Salut ma pétasse, dit-il dans un souffle sur son visage. Tu ne m'attendais pas ? Ce n'est pas prudent de ne pas fermer ta porte à clefs. Tu m'as manqué. Montre-moi comme tu es chaude. Bouge ta chatte. Dépêche-toi. »

 

Marianne obéit et fait bouger son bassin d'avant en arrière. Marianne se sent excitée. Envie qu'il l'a prenne. Elle sait pourtant qu'il ne s'occupera pas de son plaisir. « Lève-toi » lui ordonne t-il. Lui, reste sur le lit : je veux te voir nue devant moi, salope excitée prête à tout pour que je la baise. Tu sais pourtant que je n'en ai rien à faire de toi. Tu sais que tu n'es rien qu'un trou dont je me sers. Si tu es bien sage peut-être que je te baiserais. Soulève tes seins avec les mains. Bouge ton corps. Chauffe-moi si tu veux que j'aie envie. Je vais te mettre des pinces sur les tétons.

 

 - Non, non, s'il-vous plait !... Elle protège sa poitrine de ses bras.

 

Il la gifle : « Tshhht ! Laisse-toi faire. Mets tes bras dans le dos. Voilà. ! Je me moque que tu ne les supportes pas. Tes mamelles de femelle en chaleur m'appartiennent. Tu as intérêt à laisser les pinces. Et maintenant montre-moi à quel point tu as envie que je te baise. Et assure : selon que j'estimerais que tu as été bonne ou non, je serais doux ou non. »

 

 

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Et Marianne fait son show. A quatre pattes sur le sol elle lève ses fesses face à Léon. Elle les fait bouger. Elle les écarte. Elle tortille du cul. Puis elle se tourne vers lui. Elle s'approche doucement, commence par caresser les pieds de Léon. Les embrasse doucement, puis les lèche à grands coups de langue, puis « S'il-vous plait : vous pouvez enlever les pinces ? »

 

Léon se relève à demi, sur son bras, le visage courroucé. Il l'amène vers lui en l'attrapant par les cheveux : « Tu m'emmerdes ! Tu crois que c'est le moment de te plaindre ? Tu dois obtenir que j'accepte de te baiser. Tu crois que c'est comme ça que tu vas y arriver ? »

 

Il lui arrache brusquement les pinces : «  Aahhh ! »

 

- Maintenant bouffe ma queue, sale pute !

 

Marianne se positionne entre les cuisses de Léon. Elle prend son sexe en bouche. Elle lèche le gland, la tige, les couilles. Elle met la bite dans sa gorge. Mais Léon ne crache pas. Elle remet la queue bien dans sa gorge et léon pose sa main sur la tête pour l'empêcher de se retirer. Marianne s'étouffe, bave. Léon ne jouit toujours pas :

 

- Tu n'y mets vraiment pas du tien, sale égoïste ! Tu sais ce que j'aime. Allez : dis les mots.

 

- Je suis une pute. Je suis une catin. J'aime me faire baiser. Je...

 

- Tu pourrais y mettre du coeur. Si ça ne marche pas comme ça, essaie autrement.

 

- Je... Tu es une larve. Tu es une merde. Tu es une pédale...

 

- Tsss ! Tu dis ça comme si tu pensais à autre chose. Tu n'en as vraiment rien à faire que je prenne mon pied. Tu n'en as rien à faire de moi. Allez, pousse toi : je vais faire un tour !

 

 

      Et Léon s'en va. Marianne reste là. 

 

Quelles sont leurs pensées respectives ? 

 

Qu'arrivera t-il au retour de Léon ? 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Soumission féminine - Communauté : Soumission et appartenance
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