Attention : les histoires de ce blog peuvent comporter des passages violents et choquants.
Samedi d'un mois de décembre, en une fin d’après midi pluvieuse. La nuit tombe et l'humidité me
glace les os. J'attends... J'attends à l'endroit convenu par Madame. J'attends son appel. Les minutes
s’égrainent lentement, trop lentement... Curieuse sensation, fruit de ma terrible excitation, puisque
le temps s'écoule invariablement et imperturbablement. Ce soir, après plusieurs rencontres
publiques, ma Maitresse m'a enfin donné enfin l'occasion de la voir chez elle.
J'attends donc son appel, avec ce collier de chien qui me gène le cou et que je tente de cacher à la
vue des passants que je croise sur le trottoir. Mais les ordres de Madame étaient parfaitement
limpides et m'astreignaient à porter cette entrave à mon arrivée, gage de ma soumission et de son
emprise sur moi.
Il y a déjà quelques semaines, Madame m'avait donné rendez-vous au JARDILAND de la ville. Je
l'attendais alors devant l'entée du magasin. Toujours être en avance pour l'attendre, cela était un
impératif qu'elle imposait pour chacune de nos rencontres. De toute façon, je n'imaginais pas la faire
patienter !
Nous voilà en train de déambuler dans les rayons au gré de ses envies. Mon esprit vagabondait et se
demandait bien ce qui allait arriver. Sans coup férir, nous nous retrouvons dans la partie du magasin
consacrée aux accessoires pour animaux. Un vendeur est là ; Maitresse va sa rencontre :
« Monsieur, bonjour, je cherche un collier et une laisse pour mon chien » dit-elle en jetant un regard
vers moi, le sourire en coin.
« Il me faut un collier bien large et bien épais avec une laisse solide ! C'est pour un chien qui doit
être dressé ! »
Le vendeur, interloqué la regard et lui dit que, au fond du rayon, elle trouvera son bonheur.
Je comprends donc la mise en scène d'aujourd'hui. Mon excitation est alors sa comble et produit sur
moi une belle érection rendue peu discrète par l’absence de sous-vêtement qu'elle m'oblige.
Il pleut toujours, une pluie fine peu agréable. Me remémorer cet épisode m'aide à patienter et
renforce mon excitation. Mon entrejambe s'en ressent...
Cet épisode m'en rappelle un autre, survenu il y a quelques mois.
Ce jour là, Maitresse m'avait convoqué pour faire le taxi sur la journée. Bien que je sache que je
devrais supporter de longues et épuisantes heures d'attentes, j'y goute un plaisir certain dans la
satisfaction des besoins de ma Maitresse et dans les quelques moments d'humiliations et
d'avilissement qu'elle me fait subir en me traitant comme un chien.
Alors, fourbu et épuisé mais heureux de l'avoir servi fidèlement, je la ramène chez elle, notre route
traverse une longue forêt. Nous roulons dans un silence assourdissant, moi concentré sur la route
tandis que Maitresse laisse ses doigts tapotés le clavier de son téléphone. Sans prévenir, elle
m'ordonne de prendre une route à l'écart et de s'y enfoncer.
Je m'exécute. Après quelques centaines de mètre parcourus, elle me fait arrêter. Voilà la voiture
plongée au milieu de la forêt. Nous sortons tous deux.
« Branle toi et jouis sur la voiture ! »
Ces quelques mots claquèrent comme un coup de fouet. Je m'exécute sans discuter, mon excitation
est à son comble. Il ne me faut que quelques dizaines de secondes pour sentir la sève monter.
Mon sperme sort par longues giclées. Elle saisit ma queue et la traie pour bien en faire sortir tout le
jus.
« Lèche maintenant ! Montre moi que tu es un bon soumis ! » Dit-elle alors en me regardant et avec
toujours se sourire en coin...
Plus tard, dans la voiture, elle me tapote le coup gentiment : « bon chien à sa maitresse... »
Mon GSM sonne, enfin, je décroche : « aux pieds ! ».
-Texte offert par Guillaume-