Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 08:00

Lise se promène dans les bois. Elle ne le voit pas arriver. Il l'attrape. Il l'attache les poignets liés par une corde passée sur une branche. Les bras levés. Elle est pratiquement sur la pointe des pieds. 

 

Elle pleurniche. Il la fait taire. Il ordonne : 

 

- Demande-moi de te déshabiller. 

 

Elle n'obéit pas. 

 

- Tu as raison. Ne fais pas ce que je te dis. Tu me fais plaisir. Je vais compter le nombre de coups de ceinture que tu vas recevoir. Et il commence : Un, deux, trois... Sans se démonter. Très calmement. S'interrompant parfois pour lui lécher la joue, le creux de l'oreille, la bouche... 

 

A vingt Lise prend peur : 

 

- Déshabillez-moi. 

 

Il lui tire la tête en arrière, la tenant par les cheveux : 

 

- Je crois que j'ai mal entendu. Je veux une formule de politesse. En fait je veux même que tu me supplies. 

 

- S'il-vous-plait, déshabillez-moi. Je vous en supplie. 

 

- Eh bien voilà : je savais bien que tu es une catin. Tu as envie que je te voie à poil, hein ? Tu as envie que je voie ton cul de pouffiasse et tes seins de salope. Par quoi est-ce que je vais commencer ? Il sort un couteau. Il passe la lame sur le cou de Lise. Il plante le couteau dans le sol. Il arrache son chemisier. Il sort les seins du soutien-gorge en commentant : Regarde-moi ces mamelles que tu as, sale femelle. Puis il baisse le pantalon de Lisa sur ses chevilles avant d'ordonner : Finis de l'enlever avec tes pieds maintenant. Elle s'exécute. 

 

Il lui met quelque claques sur les fesses. Il prend la culotte, la resserre entre les lèvres et la raie du cul, puis il tire dessus : 

 

- Qu'est-ce qu'une catin de ton genre fait avec une culotte pareille ? C'est pour les grands-mères, ça ! Tu ne devrais même pas en avoir. Puis il la fait aller d'avant en arrière, avant de la tirer à nouveau vers le haut. Plus fort cette fois-ci. Il arrache le sous-vêtement. Il passe ses mains sur les fesses de Lise. Il commence à effleurer sa raie. Il passe devant elle. Il l'attire tout contre lui, empoignant son cul tout en écartant ses fesses. 

 

- Je suis sûr que tu es une bonne catin. N'est-ce pas ? Dis que tu es une sale pute et que tu as envie que je te baise ! Lise ne répond pas. Bien ! Cela te fera cinq de plus. Il est temps que je passe à ta correction. Il enlève sa large ceinture de son pantalon. Et commence à la battre. Lise crie. Lise pleure. Lise supplie. Lise hurle. Hector poursuit la punition jusqu'au bout, sans mollir.  Puis, tout en lui pinçant les tétons :

 

- Alors, maintenant tu dis : "Je suis une sale pute en manque de sexe. Baisez-moi, s'il-vous-plait, Monsieur. J'en ai très envie."

 

Lise répète les paroles indiquées. Il rit : "Espèce de salope. Chienne. Je vais m'en occuper de tes trous, puisque tu es en manque."

 

Il enfonce deux doigts dans sa chatte. Puis en met deux de l'autre main dans son anus. Il les retire : "Tu m'as sali ! Le contraire m'aurait étonné. Tu es vraiment une truie. Nettoie maintenant" Il lui fourre les doigts dans la bouche : "Allez, vas-y : lèche ta merde. Et montre-moi comme ça te plait. Allez, fais pas ta dégoutée. Je sais que tu aimes ça, alors tu le montre."

 

- Maintenant je vais te détacher. Et on va recommencer : tu vas dire quelle truie tu es, tu vas me supplier de bien vouloir te baiser comme une chienne, tu vas dire combien je te plais et que tu aimes ma queue. Tu va dire que tu as très envie de la bouffer et de me lécher les couilles. Tu vas être très convaincante et moi je vais filmer tout ça. Est-ce que c'est clair ? Si tu réponds oui et que je te libère, tu n'as pas intérêt à me décevoir. Si tu réponds non, tu verras bien ce que je ferai de toi... 

 

...

 

Selon vous, que répond Lise ? Et qu'arrive t-il ensuite ? 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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