Dimanche 3 août 7 03 /08 /Août 08:00
Hiver. Froid. Pluie. Faim. Femme dans la rue, sous le vent. Pour ne pas mourir gelée sonner à la grille de cette grande demeure. Affamée. Le portail s'ouvre. Entrer. Marcher jusqu'à la porte pour demander un peu de pain. Etre invitée à entrer. Suivre le valet. Pénétrer dans un grand salon. Trouver là une grande tablée couverte de victuailles. Et des convives tout autour. Obtenir le droit de ronger un os sous les regards moqueurs. Ne plus pouvoir partir. Devoir remercier pour l'aumône reçue. 
A quatre pattes, sous la table, lécher les chaussures. Recevoir des coups de pieds. 
Probablement venue en quête de larçin. Jugée coupable. Condamnée aux travaux forcés ou sera jetée nue dans la cage de la cour extérieure, avec les chiens. 
A quatre pattes, à la brosse, frotter, brosser, récurer les sols. 
Recevoir un repas pour le labeur fourni : une belle assiette de restes. 
Une trop belle assiette. 
Devoir rembourser le trop perçu. 
Emmenée à quatre pattes jusqu'aux toilettes. 
Place désignée. Devoir rester là. 
Le maitre des lieux vient se soulager. 
Puis il se fait nettoyer le cul à grands coups de langue. 
Le maitre des lieux estime être encore trop bon avec cette engeance venue essayer de tirer profit de sa richesse. 
Le maitre des lieux jette la femme dans une cave. 
Le maitre des lieux l'attache dans une auge. 
Il lui pisse dessus. Il lui chie dessus. Il lui fait nettoyer son cul avec la langue. 
Tous font de même. Puis s'en vont. La laissant mariner dans la merde et l'urine. 
Puis reviennent. Devra se laver si elle veut avoir le droit de boire et de manger. 
Mais doit avant mettre sa tête dans la marinade. Une main puissante l'y plonge et maintient. 
Puis la même main l'entraine dans une bassine d'eau brulante, très savonneuse. 
Nettoyée partout. Les yeux. Les oreilles. Le nez. La bouche et la gorge. 
Le moindre interstice. A la brosse. A la main. Dans la chatte. Dans le cul. Bien profond. 
Laver correctement cette souillon dégénérée. Qu'il ne subsiste rien de sa crasse. 
Maintenue sous l'eau pour bien lui faire comprendre de se laisser faire ; 
lorsqu'on est crade comme cela, on ne la ramène pas. 
La langue percée. Un anneau posé. Une laisse reliée. 
Maintenue par le torse. Empêchée de bouger. Marquée au fer rouge. 
Propriété de Lord. Toujours par les poignets à ses pieds attachée. Parfois Lord ajoute la laisse de langue. 
Parfois, il la pose sur un chevalet. Toutes les personnes présentes peuvent alors se soulager comme elles le désirent. 
Parfois, elle sert de cible aux tomates ou aux oeufs. 
Parfois elle doit danser nue et sur la pointe des pieds, au son du fouet claquant sur sa peau
Parfois elle est utilisée pour soulager les chiens. 
Elle reçoit le gîte et le couvert : c'est tout de même bien le moins que cette ingrate puisse faire. 
Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires)
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