Jeudi 30 janvier 4 30 /01 /Jan 08:00

Dans les méandres des esprits se cachent nos noirceurs les plus sombres.

 

Dans les méandres de la vie arrivent les actes les plus horribles.

 

« Horrible » est un jugement. Pourquoi la nature, dieu ou l'univers laissent-ils cela se produire ?

 

Il serait loisible de se demander également pourquoi certains êtres sont carnivores. Les animaux dévorent leurs victimes encore vivantes. Et des êtres humains jouissent de faire souffrir.

 

Que de choses affreuses dans cette nature dont nous sommes issus.

 

Qu'est-ce qui est le pire ?

 

Parfois les écrits pourrait faire vomir.

 

Parfois, en rêve, ils excitent.

 

Pourtant, simples évocations sur le papiers, les maux portent à la nausée.

 

Là où certains pourraient réellement en jouir.

 

Et d'autres en jouent, simplement. Mettant en scène leurs désirs et leurs peurs. Ils agissent dans des cadres parfaitement sécurisés.

 

Mais...

 

Une queue dans la bouche. Les cuisses ouvertes, attachées. Camilia crève d'envie de se faire prendre. C'est une vraie pute. Elle a rencontré son Homme sur un forum de rencontres bdsm. Elle ne sait rien de Lui. Elle sait seulement que c'est Lui qu'elle désire.

 

Mais il n'a que faire de son désir comme de son plaisir. Elle n'est qu'un objet à utiliser, un trou à baiser. Il entretient sa frustration et en jouit. Et plus il en profite, plus elle lui appartient. Elle crève d'envie.

 

Il l'a attaché là, sur le lit, jambes bien écartées. Il lui a collé sa queue dans la bouche. Puis dans la gorge jusqu'à l'étouffer. Il lui a fait bouffer ses couilles. Puis il a jouit sur son visage. Camilia attend Ses mains sur son corps. Ses doigts, sa queue dans sa chatte. Elle est pleine de désir. Mais John s'en moque : il est déjà servi et il se servira quand il le désirera.

 

Elle ne connaît pas son nom. Elle l'appelle Monsieur. Elle sait qu'il attend qu'elle le supplie :

  

  • Monsieur, s'il-vous-plait : caressez-moi, prenez-moi.

 

Mais John se moque des envies de Camilia. Seules comptent les Siennes. Et il faudra bien qu'elle l'apprenne. Elle est là pour le servir Lui. Pour faire ce qu'Il désire, comme Il désire, quand Il désire. Et peu importe si elle n'est pas satisfaite. Bien au contraire : elle doit apprendre à obéir.

 

Camilia, excitée, fait bouger son bassin pour l'attirer, pour montrer son désir. Soumise elle essaie d'attirer les faveurs de son Maitre... Il défait Sa ceinture : « Je ne t'ai pas autorisé à quémander, sale catin. Tu n'es qu'un trou à baiser. Tu m'entends ? Et je te baise comme je veux, quand je veux. Je me sers de toi et tu n'a rien à demander. Maintenant je vais te corriger et après je t'enculerai comme une bonne pute. Ta chatte n'aura rien, sale chienne en chaleur. »

 

Il lui fourre une chaussette dans la bouche pour étouffer ses cris et la bat avec la ceinture. Ensuite, il la détache. Il la met sur le ventre. Il lui lie les bras dans le dos. Il écarte ses fesses. Il pousse rudement sur son anus. Il la pénètre. Il la bourre brutalement.

 

Puis il la traine au salon, à quatre patte, tirée par les cheveux : « Avance plus vite morue. »

 

 


 

 

Il lui fait descendre un escalier, l'emmène à la cave. Il l'enferme, nue, dans une petite cellule. Puis il la laisse là, dans le noir.

 

Les heures passent.

 

Soudain, de la lumière, plusieurs voix.

 

Des hommes entrent. Ils encerclent Camilia.

 

John ordonne : «A quatre pattes. Le cul en l'air. Ecarte tes fesses ».

 

Camilia n'obéit pas. Elle tente de se replier vers le mur du fond de sa cellule.

 

John s'approche. Il l'attrape par les seins, la pince durement. Puis il la prend par les cheveux avant de la gifler vigoureusement. Puis il la jette au sol : « Ne m'énerve pas ! Tu te mets en position, au milieu de la pièce, comme j'ai dit. Et puis tu fais bouger ton cul de chienne en chaleur, comme tout à l'heure tu faisais pour que je te baise. » Il lui hurle au visage : « Tout de suite ! »

 

Terrifiée Camilia s'execute. Les hommes rient, l'insultent : « C'est qu'elle en veut la garce ! »

 

Certains lui attrapent les seins. L'un s'écrase sur son dos pour lui bourrer le cul. Une bite s'enfonce dans sa bouche, Puis une autre. Et encore une. Pareil dans son cul. Les sexes tournent. Ils vont et viennent. Une pine et puis une autre, puis la suivante. Dans sa bouche et dans son cul. Seule sa chatte n'est pas visitée. Cela dure une éternité, puis finit par s'arrêter.

 

A tour de rôle ils lui pissent dessus. Ils l'obligent même à boire leur pisse : « Tu acceptes vraiment tout, salope... »

 

L'un des hommes demande : « Combien pour ta pute pour moi tout seul, toute la nuit ? »

 

John répond : « 500 et tu peux lui faire exactement tout ce que tu veux, Carlo. »

 

- ça marche. Je reviens ce soir m'occuper d'elle. Tu me nettoieras cette truie, avant. 

 

 

Que fera donc Carlo ? Et qu'arrivera t-il ensuite ? 



Par XXX - Publié dans : Histoires de viols (imaginaires) - Communauté : Soumission et appartenance
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