Dans une poignée de lignes j’aurai achevé un livre bien particulier, un roman où des éléments bien réels de la vie du romancier se mêlent à l’histoire de son personnage, histoire elle-même
traversée de moments d’irréalité.
C’est ainsi rodé que j’ai enfin abordé votre style, votre univers (j’en connaissais bien évidemment l’existence depuis un moment mais en reportais toujours l’exploration).
Honte à moi : j’avais jusqu’à aujourd’hui reculé le moment de vous lire intégralement… (la chose parait à peine possible)
Ce n’est qu’aujourd’hui que j’ai pris le temps nécessaire pour enfin vous lire.
Le temps du net s’écoulant toujours sans prévenir j’ai appris à me méfier des lieux que je soupçonne pouvant être pour moi de perdition, votre blog a été identifié de la sorte.
Pas de réjouissance hâtive : j’ai appris à l’usage du net à devenir un petit joueur et n’ai lu pour l’instant que cet « article » évoquant cette Léa passionnée par les expériences humaines et se
découvrant de multiples facettes.
Mais pour le petit Acetos Léa est une femme inquiétante : elle « soumine » pour extorquer à son sans doute trop complaisant dominant de la lecture. Pauvre homme, je n’aimerais pas être ainsi incité
à rogner encore sur mes précieuses heures de sommeil.
Je m’en vais poursuivre la découverte de vos écrits et peut-être de vous-même mais ignore encore dans quel ordre ou désordre procéder.
C’est ainsi rodé que j’ai enfin abordé votre style, votre univers (j’en connaissais bien évidemment l’existence depuis un moment mais en reportais toujours l’exploration).
Honte à moi : j’avais jusqu’à aujourd’hui reculé le moment de vous lire intégralement… (la chose parait à peine possible)
Ce n’est qu’aujourd’hui que j’ai pris le temps nécessaire pour enfin vous lire.
Le temps du net s’écoulant toujours sans prévenir j’ai appris à me méfier des lieux que je soupçonne pouvant être pour moi de perdition, votre blog a été identifié de la sorte.
Pas de réjouissance hâtive : j’ai appris à l’usage du net à devenir un petit joueur et n’ai lu pour l’instant que cet « article » évoquant cette Léa passionnée par les expériences humaines et se découvrant de multiples facettes.
Mais pour le petit Acetos Léa est une femme inquiétante : elle « soumine » pour extorquer à son sans doute trop complaisant dominant de la lecture. Pauvre homme, je n’aimerais pas être ainsi incité à rogner encore sur mes précieuses heures de sommeil.
Je m’en vais poursuivre la découverte de vos écrits et peut-être de vous-même mais ignore encore dans quel ordre ou désordre procéder.
Merci Reine.